54 research outputs found

    Peschanski Denis, Les Tsiganes en France (1939-1946)

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    Témime Emile. Peschanski Denis, Les Tsiganes en France (1939-1946). In: Vingtième Siècle, revue d'histoire, n°54, avril-juin 1997. Dossier : Sur les camps de concentration du 20e siècle. pp. 145-146

    Le modèle espagnol : entre la solitude et la modernité

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    Voici déjà une dizaine d’années, Bartolomé Bennassar signait l’introduction d’un premier ouvrage collectif publié par les soins du CNRS, réflexion commune d’un groupe d’historiens français « spécialistes » de l’Espagne moderne et contemporaine sur les « origines du retard économique de l’Espagne ». Les auteurs tentaient d’appréhender ce phénomène dans sa totalité, se refusant à l’expliquer par les seuls « mécanismes » économiques qui auraient écarté la péninsule du monde industrialisé. Ils es..

    Actes du colloque organisé en 1997 par le Centre d’Histoire de l’Europe du XXe siècle de la Fondation des Sciences politiques, <i>Enfants de la guerre civile espagnole</i>

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    International audience[Actes du colloque organisé en 1997 par le Centre d’Histoire de l’Europe du XXe siècle de la Fondation des Sciences politiques, Enfants de la guerre civile espagnole. – Paris : L’Harmattan, collection Recherches et documents Espagne, 1999 – 224 p. ISBN : 2738473520

    Farcy Jean-Claude. Les camps de concentration français de la première guerre mondiale (1914-1920)

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    Témime Emile. Farcy Jean-Claude. Les camps de concentration français de la première guerre mondiale (1914-1920) . In: Vingtième Siècle, revue d'histoire, n°54, avril-juin 1997. Dossier : Sur les camps de concentration du 20e siècle. pp. 141-142

    Peschanski Denis, Les Tsiganes en France (1939-1946)

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    Témime Emile. Peschanski Denis, Les Tsiganes en France (1939-1946). In: Vingtième Siècle, revue d'histoire, n°54, avril-juin 1997. Dossier : Sur les camps de concentration du 20e siècle. pp. 145-146

    Pierre Milza, Voyage en Ritalie

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    Témine Émile. Pierre Milza, Voyage en Ritalie. In: Revue d’histoire moderne et contemporaine, tome 41 N°3, Juillet-septembre 1994. pp. 563-565

    Vieillir en immigration

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    International audienceImmigration is by nature precarious situation and even the expression « immigrant worker » supposes that the immigrant's presence is closely linked to his professional activity. Should this activity come to an end, the condition of the immigrant appears absurd. If the immigrant literally « kills himself » at work or returns to his country of origin, there is assuredly no question of « growing old in immigration » or at least until recently, this proved to be the exception to the rule. It is therefore a new and aberrant phenomenon which has become more apparent with the transformation of work migration into settlement migration and with the general rise in life expectancy affecting immigrant workers. These men know that they will not leave the country, but in becoming inactive following an illness, long-term unemployment or retirement, they have lost their « reason to exist ». This phenomenon is irreversible and surprising, whether the immigrant lives alone or with family. The unpreparedness to handle this new life situation results in a day-to-day confusion and an intensified feeling of solitude, which is experienced differently by an individual living alone - with the prolongation of his presence in the place of residence (household or other accommodation), or for the head of the household - whose social status undergoes a radical shift in light of his new situation. These ageing immigrants therefore form a separate category, unforeseen and forgotten, but whose significance is increasing and which, today we must take into account.La inmigración se presenta precaria por naturaleza, la propia expresión « trabajo inmigrante » implica que la presencia del inmigrante se halla estrechamente ligada su actividad profesional. Que ésta venga a terminarse, lo absurdo de la condición de inmigrante aparece absurda. Que « uno se mate » a trabajar o que, por el contrario, vuelva al país, en cualquier caso no se trata de « envejecer en la inmigración ». Hasta ahora la inversa constituía casos excepcionales. Así, nos hallamos ante un fenómeno novedoso que, desde hace algunos años, se acentúa con la transformación de la inmigración laboral en inmigración de residencia y con el aumento natural y general de la esperanza de vida de los trabajadores inmigrantes. Estos hombres saben que no volverán ; inactivos, enfermos, en paro de larga duración jubilados, han perdido « la razón de existir ». Se trata de un fenómeno irreversible y sorprendente, tanto si se vive en soledad como si se realiza en familia. La falta de preparación respecto a estas nuevas condiciones de vida se traduce en un desarraigo en relación con lo cotidiano y en la acentuación del sentimiento de soledad. Este último viene dado por dos tipos diferentes de expresión : el del individuo aislado que prolonga más allá de lo habitual su existencia en el centro de acogida o en el apartamento amueblado, y el del cabeza de familia cuyo estatuto social se halla radicalmente modificado a partir de su nueva situación. Los « viejos inmigrantes » forman, así, una categoría « a parte », imprevista olvidada largo tiempo pero cuya importancia se acrecienta demostrando la necesidad actual de tomarla en cuenta.L'immigration est par nature, de caractère précaire, et l'expression même de « travail immigré » suppose que la présence de l'immigré est étroitement liée à son activité professionnelle. Que celle-ci vienne prendre fin, et l'absurdité même de la condition de l'immigré apparaît à l'évidence. Que l'on « se tue » au travail ou que l'on retourne dans son pays, il n'est assurément pas question de « vieillir en immigration ». Ou du moins s'agissait-il jusqu'ici de cas exceptionnels. C'est donc un phénomène nouveau et aberrant qui s'accentue depuis quelques années avec la transformation de la migration de travail en migration de peuplement, avec aussi, l'augmentation générale de l'espérance de vie, qui touche naturellement les travailleurs immigrés. Ces hommes savent qu'ils ne repartiront pas ; mais ils ont perdu leur « raison d'exister » en devenant des inactifs, suite à la maladie, au chômage de longue durée ou à la retraite. C'est un phénomène irréversible et surprenant, que l'on reste seul ou que l'on vive en famille. L'impréparation à ces nouvelles conditions de vie se traduit par un désarroi au quotidien, par l'accentuation d'un sentiment de solitude, qui s'exprime de manière différente pour l'individu isolé, qui prolonge son existence au-delà de la norme dans le foyer ou le meublé, ou pour le chef de famille, dont le statut social va se trouver radicalement, modifié par sa situation nouvelle. Les « vieux immigrés » forment alors une catégorie « à part », imprévue et longtemps oubliée, mais dont l'importance s'accroît et qu'il faut bienaujourd'hui prendre en compte

    Liminaire

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    Quand on parle des « minorités » en histoire, ce n’est pas la chronologie qui fait problème, mais l’idée même de minorité. Il faut donc essayer de trouver une définition de ce terme pour en venir ensuite à un exposé plus précis. Le terme de minorité Peut-on donner une définition correcte ? Le thème des minorités nationales, ethniques ou religieuses qui s’affirment aujourd’hui brutalement, nous oblige à nous poser des questions. Max Weber a donné une définition en 1922, mais en consultant par ..
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