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    Off-Farm Work By Census-Farm Operators: An Overview of Structure and Mobility Patterns

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    The purpose of this paper is to provide descriptive statistics on off-farm labour supply and farm/off-farm labour reallocation for Canadian farmers using cross-sectional data and cross-sectional panel data, respectively, obtained from the Canadian Census of Agriculture. This report is part of a larger study on the off-farm labour supply and labour mobility of farm operators (Swidinsky, 1997). The data indicates that a growing proportion of operators worked off-farm between 1971 and 1991. As well, operators who work off-farm have allocated greater amounts of time to the off-farm labour market. The share of census-farm operators reporting 97-228 days of off-farm work has risen from 11 percent to 15 percent, while the share working more than 228 days off-farm has increased from 13 percent to 16 percent of all operators from 1971 to 1991. There is also some mobility between the status of full-time and part-time farming, but a high proportion of both types of operators exit farming over a five-year period. Less than 15 percent of operators farming full-time change to part-time, while approximately 20 percent of operators farming full-time change to part-time. In contrast, approximately 25 percent of full-time operators exit farming, while 35 percent of part-time operators exit farming over a typical five-year period.Labor and Human Capital,

    Estimating the Off-farm Labor Supply in Canada

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    Off-farm labor supply in Canada is modeled using separate off-farm labor participation and off-farm labor supply equations, which allows variables to affect participation and labor supply differently. The data used in this study are from Statistics Canada’s Agriculture-Population Linkage Database, which links the Population Census for 1986 to a 20% sample from the Census of Agriculture. Results indicate that age, education and wages have large, significant and opposite effects on participation and supply, and that government efforts to stabilize and supplement farm incomes through rural employment programs may have less effect on labor allocation decisions than do the underlying demographic factors and regional and farm characteristics

    The Relative Earnings of Visible Minorities in Canada: New Evidence from the 1996 Census

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    The Relative Earnings of Visible Minorities in Canada : New Evidence from the 1996 Census

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    Cet essai fournit une preuve additionnelle des imperfections du marché du travail liées au statut de minorité visible au Canada en s’appuyant sur les statistiques du recensement de l996. Bien que l’on dispose d’un corpus substantiel de travaux de recherche sur les gains relatifs des travailleurs appartenant à des minorités visibles au Canada (voir à ce sujet les études de Baker et Benjamin 1997 ; Pendakur et Pendakur 1998 ; Hum et Simpson 1999), il n’en demeure pas moins que des mésententes subsistent au sujet de l’ampleur de l’imperfection du marché du travail, son origine et sa persistance inter-générationnelle. La présente étude fait appel à une méthodologie de ventilation de l’écart salarial pour évaluer la différence des gains relatifs des minorités visibles et des minorités ethniques particulières selon leur statut d’immigrant. Elle aborde également l’évaluation des gains relatifs des immigrants selon l’âge au moment de l’immigration. C’est ici donner une portée plus étendue et importante aux travaux existants sur les imperfections du marché du travail à l’endroit des minorités visibles, puisque ce groupe de personnes (hommes et femmes) apparaît le plus à risque sur le marché du travail. Cela nous permet d’approfondir les sources de désavantages sur le marché du travail. Plus précisément, il nous est possible de confirmer l’impact de l’expérience de travail acquise au Canada et à l’étranger et du degré de scolarité sur les gains relatifs des minorités visibles. Enfin, nous effectuons une analyse exhaustive en expérimentant des configurations d’échantillons et des spécifications de modèle différentes.En 1996, l’écart des gains (hebdomadaire moyen) des Blancs versus les minorités s’établissait à 0,714 pour les immigrants et à 0,830 pour ceux nés au pays ; chez les immigrantes, il était de 0,911 et de 0,996 chez celles nées au pays. Parmi trois minorités ethniques étudiées, en l’occurrence, les Noirs, les personnes du Sud-Asiatique et les Chinois, l’écart constaté était plus bas pour les immigrants Noirs (0,676) et le plus élevé pour les femmes chinoises nées au pays (1,159).Les équations logarithmiques des gains qui sous-tendent les ventilations de l’écart de salaire se maintiennent lorsqu’on contrôle les variables suivantes : l’expérience de travail, la région, la région métropolitaine de recensement, l’état marital, la présence d’enfants (pour les équations concernant les femmes), les années depuis l’immigration, le statut de travailleur à temps partiel ou à plein temps, la distance entre le lieu de travail et la résidence, la mobilité, l’habileté à parler des langues, le secteur industriel et l’occupation. Nous n’apportons pas de correction pour le biais de sélection : la procédure de Heckman (1979) fournit des évaluations très instables et la procédure alternative que suggèrent Smith et Welch (1986) démontre que la sélection de l’échantillon ne produit probablement pas de biais sérieux dans la méthode classique des moindres carrés pour les estimés des gains.La ventilation des résultats montre que des différences de caractéristiques associées à la productivité expliquent dans le cas des immigrants 60,8 pour cent de l’écart observé en termes de gains sur une échelle logarithmique, 81,0 pour cent chez les hommes nés au pays, 73,4 pour cent chez les immigrantes et -65,0 pour cent chez les femmes nées au pays. Les écarts de gains une fois ajustés pour les Blancs versus les minorités s’établissent à 85,7 pour cent pour les immigrants, 95,1 pour cent chez les hommes nés au pays, 97,1 pour cent pour les immigrantes et 101,1 pour cent pour les femmes nées au pays. Les évaluations apparaissent relativement stables en dépit du caractère spécifique du modèle ou des limitations au plan de l’échantillon. Il apparaît donc que le problème des imperfections du marché du travail se pose avant tout pour les immigrants des minorités visibles.Pour analyser plus en profondeur les inconvénients du marché du travail vécus par les immigrants des minorités visibles, plus particulièrement les hommes, nous répartissons les échantillons d’immigrants en trois catégories quant à l’âge : les immigrants qui sont entrés au pays à l’âge de 15 ans et moins ; ceux qui avaient entre 15 et 25 ans ; ceux qui avaient 25 ans et plus. L’expérience de travail et la scolarité du groupe le plus jeune avaient été acquises en grande partie au Canada, alors que la majeure partie de la scolarité et de l’expérience de travail avaient été acquises dans leur pays d’origine pour le groupe des plus vieux. La ventilation pour les hommes démontre que les caractéristiques liées à la productivité rendent compte de seulement 51,3 pour cent de l’écart constaté chez les plus vieux, de 59,6 pour cent chez ceux d’âge moyen, de 88,8 pour cent chez les plus jeunes. Les différentiels des gains ajustés qui en découlent s’établissent à 0,819, 0,862 et 0,953 respectivement. Une analyse détaillée des structures de gains montre que l’expérience de travail chez les immigrants plus vieux demeure sous-évaluée. Chez les plus jeunes récemment entrés, il n’existe pas de preuve à l’effet que la rémunération tenant compte de l’expérience, de la scolarité et du nombre d’années depuis l’entrée présente des différences significatives chez les Blancs et chez les immigrants de sexe masculin. Les données pour les immigrantes sont moins certaines.Notre analyse des groupes des minorités ethniques montre des déficits au niveau des gains de l’ordre de 20,0 pour cent, de 12,1 pour cent et de 10,9 pour cent chez les Noirs, les Asiatiques du Sud et les Chinois respectivement. Parmi les hommes nés au pays, des structures d’écart de rémunération réduisent les gains des Noirs et des Chinois de sexe masculin d’un pourcentage qui s’établit à 14,0 pour cent et 5,7 pour cent respectivement, mais elles accroissent de 2,0 pour cent les gains relatifs des hommes de l’Asie du Sud. Ces derniers présentent des différences surtout au passage des générations d’immigrants et de personnes nées au pays. La perte au plan de la rémunération attribuable aux structures différentes diminue de 6,0 pour cent chez les Noirs, de 6,4 pour cent chez les Chinois et de 12,9 pour cent chez les personnes du Sud-Asiatique. Les différentiels de rémunération sont très modestes chez les immigrantes du Sud-Asiatique et de Chine et chez les femmes nées au pays. Les gains relatifs des femmes immigrantes de race noire et de celles nées au pays sont plus faibles de 8,8 pour cent et de 5,8 pour cent respectivement. Par contre, les femmes chinoises nées au pays obtiennent une prime de 3,7 pour cent pour des caractéristiques liées à leur productivité.Brièvement, bien que nous constations que les minorités visibles soient l’un des groupes désavantagés sur le marché du travail au Canada, nos observations méritent d’être grandement nuancées. Les imperfections du marché du travail sont largement limitées aux immigrants de sexe masculin. Ceux qui sont le plus affectés appartiennent au groupe le plus âgé au moment de l’immigration. Les désavantages en termes de rémunération des hommes nés au pays appartenant à une minorité et des immigrantes ne sont pas seulement modestes, mais ils peuvent être entièrement attribués à la présence de la minorité ethnique noire. Il n’y aucune preuve d’un désavantage au plan de la rémunération chez les femmes nées au pays et appartenant à une minorité. Les désavantages apparaissent le plus critique chez les Noirs (immigrants de sexe masculin) indépendamment de l’âge de l’immigration et chez les Noirs nés au pays. Ces observations viennent corroborer celles qu’on retrouve dans plusieurs études antérieures. Les minorités visibles constituent un groupe diversifié. Les législateurs qui se préoccupent des gains relatifs de ce segment croissant du marché du travail au Canada devraient tenir compte d’une telle diversité.This article presents new evidence on the relative earnings of visible minority immigrant and native-born paid workers in Canada using data from the 1996 Census. Our findings show that labour market disadvantages associated with visible minority status are largely confined to immigrant men. The earnings deficits imputed to minority native-born men and immigrant women are fairly modest, and it appears that native-born women are paid a premium. Among immigrant men, labour market disadvantages are apparent primarily among those who were older when they arrived in Canada. There is some evidence that foreign work experience is relatively undervalued, but there is little evidence that immigrants receive lower compensation for foreign-based schooling. Finally, our analysis of individual ethnic minority groups reveals that Black men are most profoundly affected by labour market discrimination: The earnings deficit they must contend with is both significant and inter-generationally persistent.A partir de los datos del Censo 1996, este documento presenta nuevas evidencias sobre los ingresos relativos al interior de los trabajadores asalariados de minorías visibles comparando los inmigrantes respecto a los asalariados de minorías visibles nacidos en Canadá. Nuestros resultados muestran que las desventajas del mercado de trabajo asociadas al estatuto de minoría visible son en gran parte limitadas a los hombres inmigrantes. El déficit de ingreso imputado a las minorías nativas de sexo masculino y a las mujeres inmigrantes son francamente modestos, y se percibe que las mujeres nativas son mejor remuneradas. Entre los hombres inmigrantes, las desventajas del mercado de trabajo son aparentes principalmente por los trabajadores que son de edad avanzada al momento de llegar en Canadá. Ciertos indicios indican que la experiencia extranjera es relativamente subvaluada, pero hay poca evidencia que los inmigrantes reciban une compensación inferior por la escolaridad extranjera. Finalmente, nuestro análisis de los grupos de minoría étnica revela que los hombres negros son profundamente más afectados por la discriminación del mercado de trabajo. El déficit de ingresos que ellos deben soportar es significativo y persistente entre generaciones

    Off-farm Work by Census-farm Operators: An Overview of Structure and Mobility Patterns

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    The purpose of this paper is to provide descriptive statistics on off-farm labour supply and farm/off-farm labour reallocation for Canadian farmers using cross-sectional data and cross-sectional panel data, respectively, obtained from the Canadian Census of Agriculture. This report is part of a larger study on the off-farm labour supply and labour mobility of farm operators (Swidinsky, 1997). The data indicates that a growing proportion of operators worked off-farm between 1971 and 1991. As well, operators who work off-farm have allocated greater amounts of time to the off-farm labour market. The share of census-farm operators reporting 97-228 days of off-farm work has risen from 11 percent to 15 percent, while the share working more than 228 days off-farm has increased from 13 percent to 16 percent of all operators from 1971 to 1991. There is also some mobility between the status of full-time and part-time farming, but a high proportion of both types of operators exit farming over a five-year period. Less than 15 percent of operators farming full-time change to part-time, while approximately 20 percent of operators farming full-time change to part-time. In contrast, approximately 25 percent of full-time operators exit farming, while 35 percent of part-time operators exit farming over a typical five-year period

    Off-Farm Work By Census-Farm Operators: An Overview of Structure and Mobility Patterns

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    The purpose of this paper is to provide descriptive statistics on off-farm labour supply and farm/off-farm labour reallocation for Canadian farmers using cross-sectional data and cross-sectional panel data, respectively, obtained from the Canadian Census of Agriculture. This report is part of a larger study on the off-farm labour supply and labour mobility of farm operators (Swidinsky, 1997). The data indicates that a growing proportion of operators worked off-farm between 1971 and 1991. As well, operators who work off-farm have allocated greater amounts of time to the off-farm labour market. The share of census-farm operators reporting 97-228 days of off-farm work has risen from 11 percent to 15 percent, while the share working more than 228 days off-farm has increased from 13 percent to 16 percent of all operators from 1971 to 1991. There is also some mobility between the status of full-time and part-time farming, but a high proportion of both types of operators exit farming over a five-year period. Less than 15 percent of operators farming full-time change to part-time, while approximately 20 percent of operators farming full-time change to part-time. In contrast, approximately 25 percent of full-time operators exit farming, while 35 percent of part-time operators exit farming over a typical five-year period
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