The Athena-Marsyas Group of Myron in Stucco

Das Lünettenrelief des Stuckzimmers 8a im Hanghaus 2 von Ephesos wird in der Publikation der Wohneinheit 6 entgegen den früheren Vorschlägen von Orpheus und Eurydike oder Mars und Venus als Dionysos und Aphrodite gedeutet. Demgegenüber wird hier der Nachweis versucht, dass es sich um eine seitenverkehrte Wiedergabe der berühmten Athena-Marsyas-Gruppe des Myron auf der Athener Akropolis handelt. Das Thema passt als Warnung vor orgiastischem Treiben gut in den intimen Gelageraum. Dessen Entstehung fällt in die Bauphase III und damit in die Mitte des 2. Jhs. n. Chr. Die erhebliche Erweiterung der Wohneinheit 6 um den Apsidensaal 8 und das Stuckzimmer 8a dürfte mit dem erhöhten Repräsentationsbedarf zu erklären sein, den der nach 150 und vor 170 in den römischen Senat berufene T. Flavius Lollianus Aristobulus hatte.The lunette relief of stucco room 8a in Terrace House 2 at Ephesos is said – in the publication of Dwelling Unit 6 – to depict Dionysos and Aphrodite contrary to the earlier interpretations as Orpheus and Eurydike or Mars and Venus. Here by contrast we endeavour to show that what is depicted is the famous Athena-Marsyas group by Myron from the Acropolis at Athens, with the composition laterally reversed. The subject is fitting for the intimate setting of a banqueting hall as a warning against orgiastic conduct. The relief was created in Construction Phase III, thus in the middle of the 2nd cent. A.D. The substantial enlargement of Dwelling Unit 6 by the addition of apsidal hall 8 and the stucco room 8a could be due to T. Flavius Lollianus Aristobulus’ greater need for prestigious accommodation after his appointment to the Roman Senate after 150 and before 170

Beobachtungen an den Attikareliefs des severischen Quadrifons von Lepcis Magna

Nachtrag Es war mir nicht mehr möglich, in das März 1970 abgegebene Manuskript folgende Neuerscheinungen einzuarbeiten : Kohppel (G.), Profectio und Adventus, BJb. 169, 1969, 130-194 geht S. 185f leider nur beiläufig auf das Erste Triumphalrelief (NW) ein. Ganz richtig hebt er die neuartige triumphale Darstellung des Adventus hervor. Wiggers (H.B.), Caracalla-Geta-Plautilla (Das römische Herrscherbild, III 1 (1971), hrsg. von M. Wegner) behandelt S. 15, 22f, 88f, 96, 113 die Porträts Caracallas und Getas (Taf. 6, a-b, 7 c : D-SW, Caracalla ; Taf. 23b : D-NW, Cara- calla ; Taf. 24, a-b : D-SW, Geta), besonders die Bildnisse auf D-SW, wobei er im Caracallakopf mit Recht den Typus Gabii (nach Münzen 204-209 n. Chr.) erkennt, den Getakopf aber mit dem Typus München-Toulouse (nach Münzen 198-205 n. Chr.) gleichsetzt, was mich nicht überzeugt. So kommt er, indem er das herkömmliche Datum der Afrikareise (203 n.Chr.) belässt, auf exakt das Jahr 205 als Entstehungszeit der Friese. Da Plautianus und Plautilla aber erst in eben diesem Jahr aus dem Bildnisprogramm des kaiserlichen Hauses ausscheiden, wird der Spielraum für Entwurf und Ausführung zu eng. S. 166 Anm.2 wären fünf weitere Darstellungen von Rittern anzufügen, die durch ihre Trabeae bekräftigen, dass die Reiter auf A/B-NW und A/B-SO Togen tragen : Ara in Spello, S. Maria Maggiore (Tarchi (U.), L'arte etrusco-romana nell- Umbria e nella Sabina (1936) Taf. 224 r. oben), Relief vom Grabbau des Ritters T.Flavius Verus im Museum Lateranense, Vatikan (Helbig4 Bd. 1 Nr. 1150-51 (E .Simon und E. Meinhardt)), Grabrelief des M. Aurelius Verianus equo publico (Stuart Jones, Cat. Cons. Tensa 12, Taf. 79) Relief in Como, Museo Civico, (EAA, 2 (1959) 778 Abb. 1024), Grabrelief Ludovisi, Thermenmuseum (Helbig1 Bd. 3 Nr. 2365 (E. Simon)).L'auteur étudie les quatre reliefs qui ornaient l'attique du quadrifrons sévèrien de Lepcis Magna, aujourd'hui au Musée de Tripoli. Ils apportent une nouvelle illustration à une thèse encore discutée sur l'interprétation des reliefs historiques d'époque impériale. Selon cette thèse, ces reliefs ne décrivent pas fidèlement un événement « historique » donné mais tendent à le ramener à un type général, qui puisse servir d'allégorie pour la propagande impériale. Pour étayer cette thèse, l'auteur étudie la suite des sujets traités à l'intérieur des quatre frises, en proposant le cas échéant un ordre différent des fragments. Il utilise aussi l'identification, trop souvent négligée jusqu'ici, des personnages et des objets. L'interprétation des détails conduit à un résultat d'ensemble dont le sens se manifeste clairement. La frise du Nord-Ouest ne figure ni un triomphe à Rome, ni même l' Adventus à Lepcis Magna, mais une manifestation triomphale de la Gloria (ou bien de la Virtus) Augustorum dans la ville natale de l'empereur : souvenir en même temps de la visite de la famille impériale. Bien qu'elle soit disposée selon le même schéma, la frise du Sud-Est a encore moins de fondement historique. La participation au cortège de Julia Domma et des divinités protectrices en modifie la conception : la Virtus Domus Divinae se révèle victorieusement par la volonté des dieux. La frise du Sud-Ouest montre, à partir de la cérémonie de la dextrarum iunctio en présence de Géta et de Julia Domna, la Concordia Augustorum porteuse de paix, qui, garantie par les dieux, se manifeste aux yeux de tous à Lepcis Magna. La frise du Nord-Est représente un sacrifice solennel offert par la famille impériale à la Triade Capitoline, c'est-à-dire à Rome. Sacrifices nationaux de prière et d'action de grâces, sacrifice triomphal et nuncupatio votorum de la fête des Décenna- lies se confondent. La Domus Divina demeure, comme elle l'était dans le passé, sous la protection des dieux romains et sa Pietas se manifeste dans l'accomplissement exact de tous les devoirs dus aux dieux. L'absence de Plautianus et Plautilla, ainsi que le type de coiffure porté par Caracalla. conduisent l'auteur à dater ces frises des années 206-209. La fin de l'article comporte une étude de style souligant la diversité de composition des quatre reliefs.Strocka Volker Michael. Beobachtungen an den Attikareliefs des severischen Quadrifons von Lepcis Magna. In: Antiquités africaines, 6,1972. pp. 147-172