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    Interruptions de grossesse dans le canton de Vaud en 2016 : l’essentiel

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    Les interruptions de grossesse pratiquées en Suisse doivent obligatoirement être annoncées à l'autorité sanitaire compétente. Dans le canton de Vaud, des analyses approfondies sont menées sur les informations ainsi récoltées. Quelles sont les dernières données ? Quelles sont les caractéristiques des femmes ayant eu recours à ce type d'intervention en 2016 et quelles sont les caractéristiques de ces interventions

    Interruptions de grossesse dans le canton de Vaud en 2015: l’essentiel

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    Les interruptions de grossesse pratiquées en Suisse doivent obligatoirement être annoncées à l'autorité sanitaire compétente. Dans le canton de Vaud, des analyses approfondies sont menées sur les données ainsi récoltées. Quelles sont les dernières données? Quelles sont les caractéristiques des femmes ayant eu recours à ce type d'intervention en 2015 et quelles sont les caractéristiques de ces interventions

    Interruptions de grossesse dans le canton de Vaud en 2013

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    Sur mandat du médecin cantonal, les interventions effectuées dans le canton de Vaud font l'objet d'un monitorage continu et détaillé effectué par l'Institut universitaire de médecine sociale et préventive. En 2013, 1518 interruptions de grossesse ont été déclarées dans le canton de Vaud, soit une de plus que l'année précédente. Dans neuf cas sur dix, la femme enceinte était domiciliée sur le territoire cantonal, soit un total de 1316 femmes. Dans l'ensemble, les statistiques restent très stables. Rapporté à la population féminine en âge de procréer, le taux d'interruption de grossesse chez les résidentes vaudoises est de 7.1 pour mille femmes âgées de 15 à 49 ans (8.8 pour mille femmes âgées de 15 à 44 ansa). L'écart entre femmes de nationalité étrangère et femmes de nationalité suisse persiste avec un taux respectivement de 9.50/00 et 5.50/00. En 2013, on enregistre environ une interruption de grossesse pour six naissances. L'âge médian au moment de l'intervention est de 28 ans. Huit femmes avaient moins de 16 ans. La moitié des interruptions de grossesse réalisées concerne des femmes de nationalité étrangère : huit sur dix ont une autorisation de séjour B ou C, le reste se trouvant en statut précaire (sans permis ou au bénéfice d'un permis N/F/L)

    Inventaire et description des modalités de remise de matériel d’injection stérile en milieu carcéral en Suisse : Situation en 2016

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    Introduction : Les consommatrices et consommateurs de drogue par voie intraveineuse se retrouvent fréquemment en prison où ils tendent à poursuivre leur consommation. Au vu des prévalences élevées d’infection par le VIH et le VHC, la réduction des risques est indiquée ; elle passe notamment par la remise de matériel d’injection stérile (RMIS). L’objectif est également de respecter le principe « d’équivalence des soins » entre ce qui est proposé en dehors de la prison et à l’intérieur. La nouvelle loi sur les épidémies (LEp) et de son ordonnance (OEp) met l’accent sur cet objectif. Sa récente entrée en vigueur va inciter les établissements pénitentiaires à questionner leurs pratiques en la matière. Dans ce contexte, l’Office fédéral de la Santé publique (OFSP) a mandaté l’Institut universitaire de médecine sociale et préventive (IUMSP) de Lausanne pour faire un inventaire et une description des modalités de RMIS en vigueur dans les prisons suisses en 2016. Repères historiques : En 1992 la Suisse fait oeuvre de pionnière. Un médecin pénitentiaire prend l’initiative de remettre du matériel d’injection stérile aux détenus. Peu de temps après, un projet pilote soutenu par l’OFSP voit le jour à la prison pour femmes de Hindelbank où six distributeurs de seringues sont mis à disposition des détenues. La mise en oeuvre de ce projet pilote se passe sans difficulté et permet de conclure à la faisabilité et à l’utilité de mettre à disposition des détenu-e-s du matériel d’injection stérile. En 2001, sept établissements en Suisse proposent du matériel d’injection stérile aux détenu-e-s consommatrices et consommateurs de substances psychoactives par injection ; fin 2015, seuls 15 des 117 établissements pénitentiaires que compte la Suisse ont un dispositif de RMIS : deux dans le canton de Soleure, trois dans le canton de Berne, un dans le canton de St-Gall, un dans les Grisons et huit établissements dans le canton de Genève. Objectifs et méthode de l’étude : Afin de rendre compte des dispositifs de RMIS en Suisse nous avons opté pour une démarche compréhensive en recourant à des entretiens semi-directifs (N=7) dans chaque établissement concerné. Ces entretiens se sont déroulés avec la personne responsable du service de santé ou un-e professionnel-le impliqué-e dans la RMIS. Les entretiens ont été enregistrés avec l’accord de nos interlocuteurs et ont fait l’objet d’une synthèse, puis d’une analyse thématique transversale. Une revue ciblée de la littérature scientifique a complété cette démarche

    Consommation des jeunes et jeunes adultes en fin de semaine : Evolution entre 2011, 2013 et 2015

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    Parmi les 691 jeunes de 15 à 29 ans qui ont participé au module jeune en 2015, 629 sont sortis au cours des 30 jours précédant la passation de l’enquête. Les réponses données par ces derniers permettent de compléter les résultats déjà obtenus précédemment concernant les consommations des jeunes lors de leur dernière sortie de fin de semaine. De manière générale, il n’existe pas de tendance nette chez les jeunes vers une hausse ou une diminution de la consommation de substances entre 2011 et 2015. L’alcool reste la substance la plus consommée par les jeune

    Enquêtes populationnelles sur la victimisation et la délinquance chez les jeunes dans les cantons de Vaud et Zurich : Les jeunes non-exclusivement hétérosexuel∙le∙s : populations davantage exposées ?

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    Les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres (LGBT) sont nombreuses à être Les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres (LGBT) sont nombreuses à être confrontées à des violences psychologiques, verbales et/ou physiques. En effet, les jeunes faisantpartie de minorités sexuelles sont plus fréquemment victimisé·e·s à l’école que leurs pair·e·s. Ils·Elles sont par exemple plus nombreux·euses à avoir été victimes de vols ou à avoir eu leurs affaires cassées et sont également significativement plus nombreux·euses à avoir manqué l’école du fait qu’ils·elles ne s’y sentaient pas en sécurité. Relevons également que la part de jeunes lesbiennes, gays, bisexuel·le·s (LGB) ayant vécu des rapports sexuels non consentis est également plus importante. Les jeunes faisant partie de minorité sexuelles sont également plus souvent victimes de harcèlement. Les données de la dernière enquête « Youth Risk Behavior Survey » (YRBS, 2015) indiquent que 34% des jeunes LGB, 25% des jeunes en questionnement quant à leur orientation sexuelle et 19% des jeunes hétérosexuel·le·s ont été harcelé à l’école au cours de 12 derniers mois. Enfin, les adolescents et jeunes hommes faisant partie de minorités sexuelles sont plus souvent victimes de violences homophobes. Le premier objectif du présent rapport consiste à déterminer le taux de jeunes de 15 ans scolarisé·e·s n’ayant pas une attirance sexuelle exclusivement hétérosexuelle dans ces deux cantons et le second à déterminer dans quelle mesure ces personnes sont plus touchées par différentes problématiques comme la victimisation, la consommation de substances psychoactives, le harcèlement en milieu scolaire, la délinquance, ou encore les problèmes de santé

    Evaluation du projet SPAS-PMU REVIAC

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    Le projet REVIAC: Le projet REVIAC (Réinsertion vie active) est un projet de collaboration entre le Service de prévoyance et d'aides sociales (SPAS) et la Policlinique médicale universitaire (PMU) pour améliorer les possibilités de démarches de réinsertion chez les bénéficiaires du revenu d'insertion (RI) avec certificat d'incapacité de travail. En effet, certains bénéficiaires ont des certificats médicaux d'incapacité récurrents et les assistants sociaux (AS) ne peuvent entreprendre les démarches nécessaires. Le projet développé par le SPAS et la PMU comprend deux axesa : ? La création à la PMU d'une consultation pour les bénéficiaires du RI dont l'état de santé compromet toute démarche d'insertion/d'activation. ? Le développement de l'information et de la formation : a) des médecins, principalement de premier recours, sur les thématiques sociales liées au RI et le réseau socio-sanitaire existant, et b) des assistants sociaux sur les pratiques des médecins traitants. Les objectifs du projet sont : Encourager l'élaboration de projets favorisant l'autonomie des bénéficiaires (autonomie sociale comme professionnelle et financière), compatibles avec leur état de santé, réalistes et réalisables ; Apporter un soutien médical aux bénéficiaires entrant dans une démarche d'insertion ou en cours d'insertion, en collaboration avec leurs médecins traitants ; Fournir aux AS les informations nécessaires leur permettant d'initier, au besoin, une collaboration avec l'AI dans le cadre de mesures de prévention et d'insertion ; Permettre aux AS de diriger et accompagner les bénéficiaires dont l'état de santé est incompatible avec une démarche d'insertion vers d'autres types de mesures ou d'autres prises en charge plus adéquates (rentes AI, etc.) ; Améliorer la collaboration entre les médecins traitants des bénéficiaires et les assistants sociaux en charge de leur dossier ; Proposer, à terme, le développement de nouvelles mesures adaptées aux problématiques de santé des bénéficiaires

    Interruptions de grossesse dans le canton de Vaud en 2018 : l’essentiel

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    Les interruptions de grossesse pratiquées en Suisse doivent obligatoirement être annoncées au Médecin cantonal. Dans le canton de Vaud, des analyses approfondies sont menées sur les informations ainsi récoltées. Quelles sont les dernières données ? Quelles sont les caractéristiques des femmes ayant eu recours à ce type d'intervention en 2018 et quelles sont les caractéristiques de ces interventions

    Pointage annuel du profil des usagères et usagers des centres à bas-seuil d’accès du canton de Vaud : PAPU 2018.

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    L’étude PAPU (Pointage Annuel du Profil des Usagères et Usagers) s’inscrit dans le cadre des actions de santé publique et sociales pour lutter contre les méfaits de la consommation d’alcool, de stupéfiants et de médicaments non prescrits du Département de la santé et de l’action sociale (DSAS) du canton de Vaud. Elle a pour but de récolter les données nécessaires au renseignement régulier des indicateurs concernant le profil des usagers des centres à bas-seuil d’accès (CABS) pour les consommateurs de substances psychoactives du canton : La Fondation ABS à Lausanne (la Terrasse, le Passage, le Distribus et l’Espace de consommation sécurisé), Zone Bleue à Yverdon, Entrée de Secours à Morges et à Nyon et la Fondation AACTS à Vevey. L’étude PAPU est une enquête anonyme, transversale et multicentrique. Pour la troisième année consécutive, elle a été proposée sur une semaine entière (du 5 au 11 novembre 2018) à l’ensemble des CABS du canton, selon leurs jours et heures d’ouverture. Le questionnaire, auto-administré et disponible en français, était proposé par les collaborateurs des CABS à toute personne fréquentant leur structure. Les CABS estiment à environ 585 usagers fréquentant les structures vaudoises par semaine. Au total, 123 personnes (21%
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