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Studies Of Pigeonpea Insect Pests And Their Management In Kenya, Malawi, Tanzania And Uganda
Systematic surveys were conducted in farmers' fields in Kenya, Malawi,
Tanzania, and Uganda to determine the incidence, distribution and
damage levels due to insect pests of pigeonpea seeds. Three surveys
were conducted in eastern Kenya, one in 1992 and two in 1995. Two
surveys, one per country per year - were conducted in Malawi, Tanzania,
and Uganda in 1995 and 1996. Key insect pests were pod sucking bugs
(dominated by Clavigralla tomentosicollis St\ue5l), pod and seed
boring Lepidoptera (Helicoverpa armigera H\ufcbner, Maruca vitrata (=
testulalis) Geyer, Etiella zinkenella Treitschke), and pod fly
(Melanagromyza chalcosoma Spencer). Seed damage due to insect pests
were 22, 15, 14, and 16% in Kenya, Malawi, Tanzania, and Uganda,
respectively. Damage levels indicated that pod sucking bugs were more
damaging in Malawi (caused 69% of total seed damage) and Kenya (43%),
while pod borers caused more damage in Tanzania (50%) and Uganda (54%).
Pod fly caused more damage in Kenya than in the other countries. Pod
borer damage was high in early maturing crops and pod fly in late
maturing crops, while pod sucking bugs damage was high regardless of
crop maturity period. Greater variations in seed damage were observed
between locations in Kenya, Malawi, and Tanzania than in Uganda. Warm
and dry locations had less seed damage than warm and humid, cool and
dry, or cool and humid locations in Kenya, Malawi and Tanzania. None of
the farmers visited in Malawi, Tanzania, and Uganda used conventional
pesticides on pigeonpea in the field. Over 80% of these farmers used
traditional methods in storage pest management. In contrast, 35 and 53%
of farmers in Kenya had used conventional pesticides on long-duration
pigeonpea genotypes in their fields.On a conduit une s\ue9rie d'enqu\ueates en champs paysans au Kenya,
au Malawi, en Tanzanie, et en Ouganda afin de d\ue9terminer
l'incidence et la r\ue9partition des ravageurs de pois d'Angole ainsi
que les taux de d\ue9g\ue2ts aux grains dus \ue0 ces ravageurs.
Trois enqu\ueates ont \ue9t\ue9 men\ue9es dans l'est du Kenya,
une en 1992 et deux en 1995. Chacun des trois pays - Malawi, Tanzanie
et Ouganda - ont fait l'objet d'enqu\ueates une fois en 1995 et une
autre fois en 1996. Les ravageurs importants ont compris des punaises
suceuses de gousse (surtout Clavigralla tomentosicollis Stal), des
foreurs des gousses et des grains (Helicoverpa armigera Hubner, Maruca
vitrata (=testulalis) Geyer, Etiella zinkenella Treitschke), ainsi que
des mouches des gousses (Melanagromyza chalcosoma Spencer). En milieu
r\ue9el, les d\ue9g\ue2ts aux grains dus aux ravageurs ont
\ue9t\ue9 22% au Kenya, 15% au Malawi, 14% en Tanzanie, et 16% en
Ouganda. Les taux de d\ue9g\ue2ts ont indiqu\ue9 que les punaises
suceuses de gousse ont \ue9t\ue9 les plus graves au Malawi (69% des
d\ue9g\ue2ts totaux aux grains) et au Kenya (43%), tandis que les
foreurs des gousses ont occasion\ue9 plus d'atteintes en Tanzanie
(50%) et en Ouganda (54%). Les mouches des gousses ont caus\ue9 plus
de d\ue9g\ue2ts au Kenya que dans d ' autres pays. Les foreurs des
gousses ont provoqu\ue9 des d\ue9g\ue2ts importants chez les
cultures pr\ue9coces et les mouches des gousses chez les cultures
tardives. Les punaises suceuses de gousse ont caus\ue9 des atteintes
graves sur tous les cycles de maturation. Il y a eu plus de variations
dans les taux de d\ue9g\ue2ts parmi les localit\ue9s au Kenya, au
Malawi et en Tanzanie qu'en Ouganda. Les localit\ue9s chaudes et
s\ue8ches ont eu moins de d\ue9g\ue2ts que les localit\ue9s
chaudes et humides, fra\ueeches et s\ue8ches, ou fra\ueeches et
humides au Kenya, au Malawi et en Tanzanie. Les paysans qu'on a
rencontr\ue9s au cours des enqu\ueates au Malawi, en Tanzanie et en
Ouganda n'ont pas appliqu\ue9 de pesticides conventionnels sur le
pois d'Angole aux champs. Plus de 80% de ces paysans emploient des
m\ue9thodes de lutte traditionnelles contre les insectes des
denr\ue9es. Par contre, 35% des paysans rencontr\ue9s au Kenya en
juillet 1995 et 53% en ao\ufbt 1995 ont appliqu\ue9 des pesticides
conventionnels sur les g\ue9notypes de pois d'Angole tardifs dans
leurs champs