8 research outputs found

    Science et culture en temps de guerre (XIXe-XXe siècles)

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    International audienceCulture et science n’échappent pas aux bouleversements imposés à l’ensemble des activités des sociétés humaines par le temps de guerre. Provoquant la destruction de biens, de savoirs et de savoir-faire, dispersant les équipes de recherche, celui-ci peut aussi, paradoxalement, générer des sollicitations, des séquences ou des lieux de travail et de rencontres inédits. Le présent ouvrage, aboutissement d’un colloque international organisé à Toulouse en 2020, entend explorer ces voies complexes et contradictoires. Il procède d’un choix assumé d’élargissement des focales, visible dans le large spectre des conflits contemporains abordés (guerres napoléoniennes, Première et Deuxième Guerre mondiales, guerre d’Éthiopie de 1935-36, Guerre froide, guerre d’Indochine), dans le grand nombre des pays retenus (Allemagne, France, Etats-Unis, Ethiopie, Grande-Bretagne, Indochine, Italie, Paraguay, Roumanie) ainsi que dans la palette des disciplines scientifiques convoquées (astronomie, agronomie, mécanique des fluides, médecine, physique nucléaire, géographie, sciences sociales, ethnographie, etc.). Sont ainsi analysées les différentes facettes de la confrontation entre la temporalité heurtée du conflit et celle plus ample de la vie scientifique et culturelle. La mise à contribution des différentes disciplines scientifiques aux processus de mobilisation opérationnelle, le statut de la culture dans le cadre de la captivité de guerre sont interrogés dans le cadre d’une histoire dialectique mettant en évidence la part de jeu ou de confrontation qui sous-tend les rapports entre les acteurs en présence. Au bilan, l’interaction des sphères militaires et scientifiques apparaissent bien plus complexe qu’on ne pourrait le penser, les réponses à la volonté organisatrice de l’appareil politico-militaire et au poids des contraintes matérielles n’excluant pas la mise au point de stratégies d’adaptation riches et multiples

    Science et culture en temps de guerre (XIXe-XXe siècles)

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    International audienceCulture et science n’échappent pas aux bouleversements imposés à l’ensemble des activités des sociétés humaines par le temps de guerre. Provoquant la destruction de biens, de savoirs et de savoir-faire, dispersant les équipes de recherche, celui-ci peut aussi, paradoxalement, générer des sollicitations, des séquences ou des lieux de travail et de rencontres inédits. Le présent ouvrage, aboutissement d’un colloque international organisé à Toulouse en 2020, entend explorer ces voies complexes et contradictoires. Il procède d’un choix assumé d’élargissement des focales, visible dans le large spectre des conflits contemporains abordés (guerres napoléoniennes, Première et Deuxième Guerre mondiales, guerre d’Éthiopie de 1935-36, Guerre froide, guerre d’Indochine), dans le grand nombre des pays retenus (Allemagne, France, Etats-Unis, Ethiopie, Grande-Bretagne, Indochine, Italie, Paraguay, Roumanie) ainsi que dans la palette des disciplines scientifiques convoquées (astronomie, agronomie, mécanique des fluides, médecine, physique nucléaire, géographie, sciences sociales, ethnographie, etc.). Sont ainsi analysées les différentes facettes de la confrontation entre la temporalité heurtée du conflit et celle plus ample de la vie scientifique et culturelle. La mise à contribution des différentes disciplines scientifiques aux processus de mobilisation opérationnelle, le statut de la culture dans le cadre de la captivité de guerre sont interrogés dans le cadre d’une histoire dialectique mettant en évidence la part de jeu ou de confrontation qui sous-tend les rapports entre les acteurs en présence. Au bilan, l’interaction des sphères militaires et scientifiques apparaissent bien plus complexe qu’on ne pourrait le penser, les réponses à la volonté organisatrice de l’appareil politico-militaire et au poids des contraintes matérielles n’excluant pas la mise au point de stratégies d’adaptation riches et multiples

    LINE-1 retrotransposons in healthy and diseased human brain

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    Long interspersed element-1 (LINE-1 or L1) is a transposable element with the ability to self-mobilize throughout the human genome. The L1 elements found in the human brain is hypothesized to date back 56 million years ago and has survived evolution, currently accounting for 17% of the human genome. L1 retrotransposition has been theorized to contribute to somatic mosaicism. This review focuses on the presence of L1 in the healthy and diseased human brain, such as in autism spectrum disorders. Throughout this exploration, we will discuss the impact L1 has on neurological disorders that can occur throughout the human lifetime. With this, we hope to better understand the complex role of L1 in the human brain development and its implications to human cognition. © 2017 Wiley Periodicals, Inc. Develop Neurobiol 78: 434-455, 2018
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