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    « Grandes et petites misères du grand exode des Juifs nord-africains vers la France »

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    International audienceDistribution électronique Cairn.info pour La Découverte. © La Découverte. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit

    La prise en compte des besoins des femmes dans le cadre mutualiste (XIXe-XXe siècles)

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    La mutualité, grande oubliée de l'histoire sociale ?Direction de la revue Vie sociale, La mutualité : enjeux passés, défis actuels et perspectives d'avenir, 2008/4 (N° 4)

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    Direction de la revue Vie sociale, La mutualité : enjeux passés, défis actuels et perspectives d'avenir, 2008/4 (N° 4)International audienceLa mutualité, une histoire maintenant accessible1 , titrait en 1988 un ouvrage de Michel Dreyfus. Il a de fait fallu attendre la fin des années 1980 pour que la mutualité commence à rattraper son retard historiographique, grâce aux travaux de plusieurs historiens, en particulier Bernard Gibaud2 , André Gueslin 3 , Michel Dreyfus, précédemment cité, puis Patricia Toucas-Truyen4 . Ce retard est d’abord dû au fait que l’histoire sociale s’est surtout concentrée sur les aspects les plus « spectaculaires » du mouvement social, incarnés par le mouvement syndical et ses grandes luttes pour les acquis sociaux. En revanche, le versant réformiste du mouvement, chargé de la protection sociale, la mutualité, ne paraissait pas digne d’intérêt

    La tuberculose, fondement de l’action médico-sociale mutualiste enseignante (1902-1940)

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    International audienceDistribution électronique Cairn.info pour Comité d'histoire de la sécurité sociale. © Comité d'histoire de la sécurité sociale. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit

    La politique médico-sociale de la MGEN. Soigner autrement ? (1946-1991)

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    When it was founded in 1946, through the merger of nearly 130 friendly societies for teachers scattered across France, MGEN did not start from scratch. “In his basket of birth” appear, in addition to the mutualist traditions transmitted by the old local or national societies, three establishments founded at the beginning of the century by teaching friendly societies: at the two sanatoria of Sainte-Feyre (Creuse) and Saint -Jean d'Aulps (Haute-Savoie), founded in 1906 and 1932 by Union nationale des sociétés de secours mutuels de France et des colonies (UNSSMI or Union of Sana) added a dispensary antituberculosis located rue du Commandant Lamy, in Paris, managed by Antituberculeuse de la Seine since 1902. From this medico-social embryo, focused on the great social scourge of the time, tuberculosis, the Mutual activists at the head of the young MGEN engage in a large-scale medico-social policy, organized around a vast network of establishments. For forty years, they have constantly modernized and adapted these structures to the evolution of techniques and needs, exacerbated during the glorious Thirties.A sa fondation en 1946, par la fusion de près de 130 sociétés de secours mutuels d’instituteurs disséminées en France, la MGEN ne part pas du néant. « Dans sa corbeille de naissance » figurent, outre les traditions mutualistes transmises par les anciennes sociétés locales ou nationales, trois établissements fondés au début du siècle par des sociétés de secours mutuels enseignantes : aux deux sanatoria de Sainte-Feyre (Creuse) et de Saint-Jean d’Aulps (Haute-Savoie), fondés en 1906 et 1932 par l’Union nationale des sociétés de secours mutuels d’instituteurs et d’institutrices de France et des colonies (UNSSMI ou Union des sana) s’ajoute un dispensaire antituberculeux situé rue du Commandant Lamy, à Paris, géré par l’Antituberculeuse de l’enseignement public de la Seine depuis 1902. A partir de cet embryon médico-social, focalisé sur le grand fléau social de l’époque, la tuberculose, les militants mutualistes à la tête de la jeune MGEN s’engagent dans une politique médico-sociale de grande ampleur, organisée autour d’un vaste réseau d’établissements. Durant quarante ans, ils n’ont de cesse de moderniser et d’adapter ces structures à l’évolution des techniques et des besoins, exacerbée durant les Trente glorieuses

    « Crises ou transformation de la Mutualité (1791-1945) ? »

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    L'épopée médico-sociale de la mutualité : Un champ de recherche ouvert

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    International audienceDistribution électronique Cairn.info pour Érès. © Érès. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit
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