149 research outputs found
Building On Our Strengths: Inner-city priorities for a renewed tri-level development agreement
The purpose of the study is to develop a mandate from the inner city community on which a renewed, tri-level inner city revitalization agreement could be based, and to identify the principles, priorities and preferred program delivery models that the inner-city community believes should shape such an agreement. The study is based on personal interviews with representatives of 100 organizations, approximately 80 percent of which are community-based organizations working in Winnipeg’s inner city
Review of \u3ci\u3eIntegrating Aboriginal Perspectives into the School Curriculum: Purposes, Possibilities, and Challenges.\u3c/i\u3e By Yatta Kanu.
This is an excellent book about an issue of importance for the future of cities in the Canadian prairies and Great Plains. It examines the difficult task of integrating Aboriginal cultural knowledge into school curricula. In the first chapter Yatta Kanu explains why this matters. In subsequent chapters she draws upon field research over the period 2003- 2007 with 84 Aboriginal students and 18 teachers in six low-income, inner-city schools in a Canadian prairie city with a large Aboriginal population. She brings together the results of an integrated series of research studies, each building on the one before, and the existing academic literature, and she draws upon the voices of Aboriginal students and their teachers
Aboriginal Education in Winnipeg Inner City High Schools
This study investigates "the educational circumstances of Aboriginal students in Winnipeg inner city high schools... Responses by Aboriginal people to our questions about their experiences in school reveal the existence of what we have identified as a cultural/class/experiential divide between Aboriginal students and their families on the one hand, and the school system on the other. The life experiences and cultural values of many Aboriginal students and their families differ significantly from what they experience in the schools, which are run largely by non-Aboriginal, middle class people for the purpose of advancing the values of the dominant culture. The educational system marginalizes Aboriginal students, does not adequately reflect their cultural values and their daily realities, and feels alien to many Aboriginal people... The face that schools present to Aboriginal students is decidedly non-Aboriginal: for example, there are few Aboriginal teachers, and little Aboriginal content in the curriculum.
The evidence that we have gathered suggests to us that Aboriginal people want the education that is needed to enable them to participate fully in Canadian society and in their own self-governance, but they do not want to abandon what it is to be Aboriginal in order to do so. What Aboriginal people have said to us about the educational system is not that Aboriginal people should be forced to change in order to fit into and ‘succeed’ in school—this is what the residential schools attempted, unsuccessfully, to do—but rather that schools and the educational system generally need to change in order to better reflect the rapidly changing demographic and cultural realities of our community
Contradictions and Limitations of Final Offer Selection: The Manitoba Experience
En juillet 1977, le gouvernement NPD du Manitoba modifia la Loi des relations du travail de cette province de façon à permettre le recours à l'arbitrage des propositions finales (APF). Il s'agissait d'une solution de compromis à une revendication du mouvement syndical qui demandait l'adoption d'une mesure contre les briseurs de grève. La loi fut promulguée le 1er janvier 1988. En novembre 1988, un gouvernement minoritaire progressiste-conservateur proposa le projet de loi 41 en vue d'abroger cette mesure. Ce projet de loi est encore en suspens (sept. 89), mais il est presque assuré que l'APF sera aboli avant que ne se termine le mandat de ce gouvernement.L'expérience de l'APF a soulevé bien des conflits et des controverses au Manitoba. Le monde des affaires s'y est opposé. De même, il a suscité des contestations de la part des grands syndicats et a entraîné des dissensions au sein du mouvement syndical.Le présent article analyse l'expérience manitobaine en matière d'APF afin de clarifier les causes du conflit qu'il a généré. L'arbitrage des propositions finales visait à régler un problème réel, soit la nécessité d'aider les travailleurs de petites unités, dont le pouvoir de négociation est faible, dans les secteurs en forte croissance de l'économie. Les syndicats espéraient retirer un avantage potentiel d'un tel arbitrage en l'utilisant comme outil pour contrer le déclin des effectifs syndicaux résultant des changements dans la structure de la main-d'oeuvre. Mais cette législation comportait aussi un double risque: celui de miner leur volonté et leur capacité de mobiliser leurs membres en vue de la grève; celui de voir des gouvernements dans l'avenir modifier cette législation de façon à la dépouiller des avantages limités qu'elle pouvait apporter aux syndicats. L'examen de la controverse au sujet de l'APF confirme que le déchirement qui s'est produit au sein du mouvement syndical provient de ses résultats contradictoires. Les syndicats qui le favorise se trouvent dans les secteurs de l'économie où la capacité de faire la grève est limitée par les conditions du marché du travail. Ils soutiennent que la crainte de l'arbitrage des propositions finales procurerait aux syndicats plus faibles les mêmes avantages que la menace de grève parmi les syndicats plus puissants: il forcerait les employeurs à négocier en vue d'en arriver à un règlement.Les syndicats qui s'y opposent appartiennent au secteur public car ils redoutent l'intervention d'une tierce partie. Il en est de même des syndicats très militants, lesquels craignent que l'arbitrage des propositions finales affaiblissent leur capacité de maintenir le militantisme de leurs membres.Les résultats du fonctionnement de l'APF pendant sa première année d'activité ont donné raison dans une certaine mesure à ceux qui le préconisaient. En premier lieu, la majorité des différends soumis ont été réglés avant la nomination ou les décisions des arbitres. Ainsi, des 42 demandes d'arbitrage réclamées jusqu'au 9 janvier 1989, 27 des différends se sont réglés avant l'intervention de l'arbitre, alors que deux seulement ont donné lieu à des décisions. En deuxième lieu, la majorité des requêtes provenaient d'unités de négociation relativement faibles, soit de petits groupes peu importants concentrés dans le commerce, les services, les collectivités locales et l'industrie manufacturière et situés à l'extérieur de Winnipeg.L'analyse des tendances de la main-d'oeuvre au Manitoba démontre une concentration croissante des travailleurs, surtout les femmes, dans des emplois non syndiqués dans les entreprises commerciales, financières ou autres activités et services qui s'y rattachent. Ces travailleurs ont peu de pouvoir de négociation et sont extrêmement difficiles à syndiquer. C'est le groupe que l'APF voulait favoriser.L'arbitrage des propositions finales est une pièce législative défectueuse qu'il faut abroger. Toutefois, cette législation répondait à un besoin évident, principalement à accroître la capacité du syndicalisme d'obtenir l'adhésion des travailleurs plutôt démunis et de défendre leurs intérêts. Ce besoin va s'intensifier dans l'avenir. Y répondre efficacement constitue sans doute un défi majeur pour le mouvement syndical au Manitoba.This paper analyses Manitoba's experiment with final offer selection for the purpose of clarifying the roots of the conflict it has generated
- …