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    Getting by at the Benjamin Mays Black Branch: Library Access for African Americans in Jim Crow South Carolina, 1940-1971

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    This thesis examines a chapter of South Carolina history that has been neglected in the historical record, namely segregated libraries of the twentieth century. Previous works have covered the history of black libraries in the entire South, but details of South Carolina\u27s segregated libraries are incomplete. This study looks first at the broader context of segregated libraries in the American South and then reviews the history of African American libraries in South Carolina. Finally, this study provides a case study of the Benjamin Mays Library, a segregated, African American library in Greenwood, South Carolina. The case study uses primary source documents and oral history interviews to establish the library\u27s background and history, with a focus on progress toward integration. The record of this library and the broader background on South Carolina\u27s black libraries will illustrate that there was no one single catalyst for black library establishment in South Carolina. Rather several agents developed and maintained segregated libraries throughout the state until desegregation in the 1960s and 1970s

    L’Algérie et la langue française : l’altérité partagée

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    Dans nos ténèbres, il n’y a pas de place pour la beauté.Toute la place est pour la beautéRené Char Quarante ans après l’indépendance politique de l’Algérie, l’usage de la langue française s’est, non seulement maintenu, mais connaît, dans des pans entiers de la vie sociale comme la communication ou la presse écrite, un regain de vitalité. D’où lui provient un tel enracinement ? Et qu’est-ce qui fonde ce perpétuel mouvement ? Quelle est la place réelle de la langue française dans la société alg..

    Les formes de reconnaissance de l’autre en question

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    Sous ses différentes formes, la relation à l’autre fonde et travaille, depuis toujours tout ou partie des sociétés humaines. De connaissance, de méconnaissance ou d’inconnaissance, cette relation n’est pas à penser comme un tiers-être entre l’Un et l’Autre. Elle est bien plutôt ce qui, en deçà et au-delà de toute onticité, donne à être et l’Un et l’Autre ; mais elle n’a jamais été aussi problématique que depuis que les sociétés les plus distantes les unes des autres, sont en relation directe ou indirecte, que depuis que ce qui s’appelle "le village planétaire" tente, dans le discours au moins, de raboter les différences, niveler les cultures, standardiser les modèles de consommation, limer les aspérités, épurer la planète des doutes et des incertitudes devant la progression de l’économie-monde. Celle-ci, d’ailleurs, n’a de cesse, par un effet de perversion, de "marchandiser" la différence, c’est à dire la relation même à l’Autre. Ce mouvement tente donc de jouer sur deux tableaux contradictoires : dans le même temps qu’il pousse à l’uniformisation, il encourage la différenciation et la démassification, dont il évacue le sens pour n’en garder que les signifiants
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