94 research outputs found
Compte-rendu du colloque : « John Carpenter, “maître de l’horreur” »
Organisé par Mélanie Boissonneau, Quentin Mazel, Thomas Pillard (IRCAV, Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3) et Gaspard Delon (CERILAC, Université Paris Diderot), le colloque international « John Carpenter, “maître de l’horreur” » s’est déroulé les 30 et 31 octobre 2019 à l’Université Paris Diderot. Il comptait 17 interventions qui ont exploré l’œuvre du cinéaste selon des approches diverses, en éclairant sous un nouveau jour un certain nombre de ses films les plus connus (The Thing, Chris..
Congrès AFECCAV 2016 (6-8 juillet 2016) : « Images pour/suite : remake, franchise, filiation ».
Organisé par Jean-François Baillon, Pierre Beylot, Camille Gendrault, Alain Kleinberger, Barbara Laborde, Gwénaëlle Le Gras, Raphaëlle Moine, Geneviève Sellier et Benjamin Thomas, le congrès 2016 de l’AFECCAV intitulé « Image pour/suite : remake, franchise, filiation », accueilli par l’Université Bordeaux Montaigne, s’est déroulé dans les locaux de la MSHA du 6 au 8 juillet. Reflétant la politique de l’association, qui s’efforce notamment d’accompagner les doctorants et les jeunes docteurs da..
Compte-rendu : « Séries américaines de network des années 1990 »
Organisé par Claire Cornillon et Sarah Hatchuel, et soutenu par la MSH-Sud et le RIRRA21, le colloque « Séries américaines de network des années 1990 » s’est déroulé à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3, les 27 et 28 février 2020. S’inscrivant dans le cadre du projet GUEST, il fait suite à la journée d’étude « Séries de network des années 1950-1970 » (7 mai 2018, Montpellier) et au colloque « Séries américaines de networks des années 1980 » (21-22 février 2019, Montpellier). Dans la ligné..
Charles-Antoine Courcoux, Des machines et des hommes. Masculinité et technologie dans le cinéma américain contemporain
Ouvrage imposant de plus de 500 pages, Des machines et des hommes s’inscrit dans le prolongement d’une thèse de doctorat et de plusieurs articles de l’auteur, qui se trouvent ici retravaillés et significativement enrichis. Magnifiquement éditée, cette somme s’appuie sur de nombreux travaux d’historien.ne.s et de théoricien.ne.s du genre, des technologies et du cinéma, ainsi que sur des analyses de film approfondies, pour proposer une réflexion riche et stimulante sur les rapports entre mascul..
Le « cinéphile 2.0 » et ses autres : publics et réceptions de Drive sur AlloCiné
Cet article étudie le fil de discussion consacré au film Drive (N.W. Refn, 2011) sur le site français AlloCiné afin de mettre en évidence les stratégies de distinction mobilisées par les internautes qui s’autoproclament « cinéphiles ». Nous montrons ainsi comment leurs discours, qui défendent une conception élitiste de la cinéphilie, confortent l’ordre de genre en réaffirmant la supériorité de la masculinité hégémonique à travers la stigmatisation de figures repoussoirs conçues comme féminines et/ou comme des incarnations de masculinités marginalisées ou subordonnées. Notre analyse de la manière dont sont caractérisées ces figures repoussoirs (le « beauf », le « fanboy » et la « midinette ») permet en outre de souligner l’articulation entre représentations de genre, de classe, de génération et de sexualité, qui se cristallise dans ces discours.This article analyzes the discussion thread about the film Drive on the French website AlloCiné in order to highlight the strategies of distinction used by self-proclaimed “cinephile” internet users. We thus show how their discourses, which defend an elitist notion of cinephilia, reinforce gender norms by reaffirming the superiority of hegemonic masculinity through the stigmatization of “repoussoir” figures conceived as feminine and/or as incarnations of marginalized or subordinate masculinities. Our analysis of the way these repoussoir figures are characterized (the “beauf”, the “fanboy”, and the “screen-struck girl”) enables us to highlight how the articulation between representations of gender, class, age and sexuality, is crystalized in these discourses
Les instabilités quantiques de la masculinité blanche dans Code Quantum
Cet article analyse la série Quantum Leap (NBC, 1989-1993) dans une perspective culturelle, en se concentrant sur les représentations qu’elle propose des identités et des rapports de genre et de race. Il s’agit notamment de mettre en lumière la profonde ambivalence idéologique du portrait qu’elle brosse de la masculinité blanche, en la replaçant dans son contexte socio-historique de production, marqué notamment par plusieurs décennies de mouvements contestataires. Après s’être penché sur les épisodes dans lesquels le héros change de genre et/ou de race, particulièrement représentatifs des tensions idéologiques qui traversent cette production télévisuelle, l’article met notamment en lumière les effets contradictoires de la mobilisation d’une rhétorique de la crise de la masculinité blanche, renforcés ici par la nature « semi-feuilletonnante formulaire » de la série.This article examines Quantum Leap (NBC, 1989-1993) from a cultural perspective, focusing on its representations of gender and race identities and relations. The aim is to highlight the profound ideological ambivalence in the way the series represents white masculinity, through analysis of gender-bending plotlines and by placing it in the socio-historical context of its production, which occurred at a pivotal moment in the decades-long development of contemporary identity politics. After examining the episodes in which the hero changes gender and/or race, which are particularly representative of the ideological tensions that run through this TV show, the article highlights the ambivalent and contradictory effects of the show’s rhetoric on the crisis of white masculinity, which is reinforced here by the “semi-serialized, formulaic structure” of the series
Genre et comédie : stars, performances, personnages
Introduction L’immense popularité de certaines stars comiques contraste avec la rareté des travaux qui leur sont consacrés. Hormis quelques exceptions qui concernent presque toujours des vedettes comiques masculines également (re)connues comme cinéastes et auteurs (Charlie Chaplin, Buster Keaton, Jacques Tati, etc.), elles continuent de susciter un moindre intérêt que leurs homologues privilégiant un registre plus « sérieux », et les performances comiques sont souvent occultées des filmograph..
Elena de la Seigliere :comedia en cuatro actos
Representada con aplauso en el teatro del PrĂncipe el 24 de abril de 1852Copia digital. Madrid : Ministerio de Cultura. DirecciĂłn General del Libro, Archivos y Bibliotecas, 2010Pie de imprenta tomado del colofĂłnSign.:1-3(4Âş)Texto a dos col.ColecciĂłn de comedias representadas con Ă©xito en los teatros de Madri
- …