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Violence and mimicry in Earl Lovelace’s fiction: a social criticism in the anglophone Caribbean
In his book Domination and the Art of Resistance, James Scott defines “infrapolitics” as tactics of opposing oppression and ideological subordination. “Infrapolitics” include poaching, foot-dragging, pilfering, dissimulation, flight, etc. This study examines the resistance to colonial cultural oppression, cultural adaptation and retention, and community survival through such “infrapolitics” in Earl Lovelace’s fiction. Though the analysis incorporates Lovelace’s different novels, it will parti..
Réalités et représentations de la violence en postcolonies
On s'habitue - presque - Ă tout, mĂŞme Ă la violence ! On s'exaspère de tout, parfois des livres sur la violence ! On se proclame expert en tout, surtout quand il s'agit de dĂ©nonÂcer la violence ! On se veut cynique en tout, plus spĂ©cialement quand on administre la violence ! On se fatigue de tout, surtout des pratiques et reprĂ©sentations de la violence. Celle-ci est un dĂ©fi Ă l'intelligence, Ă l'Ă©thique et au sens de la responsabilitĂ©. Les formes de violence des histoires postcoloniales et leur perpĂ©tuation nous poussent Ă les (re)lire et Ă y traquer les confusions, les manipulations et les maquillages. Affectant l'histoire et la gĂ©ographie, le physique et le mental, les individus et les communautĂ©s, les États et les sociĂ©tĂ©s civiles, le sacrĂ© et le profane, le local et le global, les contemporains et leurs aĂŻeux, les violences nous rĂ©citent non seulement le chapelet de la construction de l'absurditĂ© de l'existence postcoloniale, mais aussi l'injustifiable permanence de l'injustice. La violence rĂ©vèle le fonds bestial qui sommeille en nous, chaque fois que, ivres de notre puissance ou de notre Ă©chec, nous mettons nos intelligences et nos responsabilitĂ©s en veilleuse