32 research outputs found

    Death of a Headman or Shaman\u27s Logic

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    Histoire des guerres du Vietnam. Préface du colonel du Puy-Montbrun

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    Sagant Philippe. Histoire des guerres du Vietnam. Préface du colonel du Puy-Montbrun. In: Revue française d'histoire d'outre-mer, tome 73, n°272, 3e trimestre 1986. pp. 372-373

    H. Stoddard, Le Mendiant De I'amdo

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    Sagant Philippe. H. Stoddard, Le Mendiant De I'amdo. In: L'Homme, 1988, tome 28 n°106-107. Le mythe et ses métamorphoses. pp. 357-359

    Dasaĩ and dual power among the Yakthumba

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    DasaÄ© is a Yakthumba popular festival. The cult of Durgā legitimates the authority of the political headmen, the subbā, who appeared after the Gurkha conquest (having been delegated by the “kings”, called hang). The hang was in fact an ordinary head of house (tumyang) like any other. The subbās seem to have taken over from the former kings. But because he enjoyed the favor of Nahangma, the yakthumba goddess of the mountain, he was recognized as primus inter pares (tum tumyang) and was brought to power. Nahangma is not present at DasaÄ© but is replaced by another goddess called Yuma (the grandmother) with whom she has always been fighting. But this does not mean she is not still worshipped in each house on her own dates. And just as Durgā and Yuma legitimate the subbā’s monopoly of power over arms, Nahangma legitimates this same power for each household head under the subbā; thus a contradiction arises. And so we find the Yakthumba living under the twofold antagonistic power of the gods (Durgā and Nahangma), which is the foundation of the twofold antagonistic power of men (subbā and tumyang). If this hypothesis is correct, then the hang of the past, also a head of house, has not disappeared, which is what the author has shown.Dasaῖ chez les Yakthumba est une fĂȘte populaire. Le culte de Durgā rend lĂ©gitime l’autoritĂ© de chefs politiques appelĂ©s subbā qui sont apparus aprĂšs la conquĂȘte gurkha : ayant reçu dĂ©lĂ©gation des pouvoirs du roi du NĂ©pal, ils auraient pris la succession d’anciens « rois » appelĂ©s hang. Ces hang Ă©taient en fait des chefs de maison (tumyang) comme les autres. Mais par la faveur de Nahangma, divinitĂ© de la montagne yakthumba, ils Ă©taient reconnus les premiers parmi leurs pairs (tum tumyang) et portĂ©s au pouvoir. Nahangma n’est pas prĂ©sente Ă  Dasaῖ, remplacĂ©e par une autre dĂ©itĂ© appelĂ©e Yuma (la Grand-MĂšre) avec laquelle elle fut toujours en guerre. Mais elle n’en continue pas moins d’ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ©e dans chaque maison, Ă  des dates qui lui sont propres. Et de la mĂȘme façon que Durgā et Yuma rendent lĂ©gitime ce mĂȘme pouvoir, Nahangma lĂ©gitime ce mĂȘme pouvoir pour chaque chef de maison qui dĂ©pend du subbā : il y a contradiction.On se trouve donc chez les Yakthumba dans une situation de double pouvoir antagoniste des dieux (Durgā et Nahangma) qui fonde le double pouvoir antagoniste des hommes (subbā et tumyang). Si cette hypothĂšse est fondĂ©e, alors le hang d’autrefois, chef de maison lui aussi, n’a pas disparu. C’est ce que montre l’auteur

    Myron Weiner, Sons of the Soil, Migration and Ethnic Conflict in India

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    Sagant Philippe. Myron Weiner, Sons of the Soil, Migration and Ethnic Conflict in India. In: Annales. Économies, SociĂ©tĂ©s, Civilisations. 38ᔉ annĂ©e, N. 2, 1983. pp. 299-300

    Dambar Doj (Mundhunge) et le monopole du jeu

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    Un subbā ne peut devenir grand, Ă  moins qu’il ne soit riche. Au dĂ©but, quand le grand-pĂšre de Motta Ă©tait jeune, il Ă©tait pauvre. C’est le jeu qui l’a enrichi. À Tiwar, Ă  Dasai, les jours de fĂȘte, on a le droit de jouer. Mais le reste du temps, c’est interdit par la loi nĂ©palaise, par le gouvernement de Katmandou. Ceux qui se font prendre par la police vont en prison. Mais Ă  cette Ă©poque-lĂ , vers 1910, quand Dambar Doj, le grand-pĂšre de Motta, a succĂ©dĂ© Ă  son pĂšre comme subbā, l’administratio..

    M. HoppĂĄl, ed., Shamanism in Eurasia

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    Sagant Philippe. M. Hoppål, ed., Shamanism in Eurasia. In: L'Homme, 1987, tome 27 n°104. pp. 123-125

    P. Dollfus, Lieu de neige et de genévriers. Organisation sociale et religieuse des communautés bouddhistes du Ladakh

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    Sagant Philippe. P. Dollfus, Lieu de neige et de genévriers. Organisation sociale et religieuse des communautés bouddhistes du Ladakh. In: L'Homme, 1992, tome 32 n°121. Anthropologie du proche. pp. 206-208

    La mort d’un chef ou la logique des chamanes

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    Pierres dressĂ©es, vallĂ©e de la Mewa Pierre dressĂ©e en pays bhote (Ă  gauche) ; tombes et pierres dressĂ©es Ă  Thanku (Ă  droite) ClichĂ©s Philippe Sagant, 1970 ; sources : LESC_FPS_7.1.12 et LESC_FPS_7.1.4 L’histoire qui suit s’est passĂ©e dans les annĂ©es 1960, au nord-est du NĂ©pal, chez les Yakthumba, une population de langue tibĂ©to-birmane que les NĂ©palais appellent Limbu. Deux chefs qui Ă©taient frĂšres s’affrontaient dans le mĂȘme village, luttant pour le pouvoir. Le premier, l’aĂźnĂ©, avait abando..
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