66 research outputs found

    La Philanthropie à la Française: L'engagement au Service du Progres Social

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    The study delivered by The Observatory of Fondation de France was based on a collection of data on 261 philanthropist profiles, and the background, motivation and stories of 18 French philanthropists. The study also includes data on the economic weight of philanthropists in France, as well as a survey run by Mediaprism on French people and philanthropy

    Klein N., No Logo. La tyrannie des marques

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    Rozier Sabine. Klein N., No Logo. La tyrannie des marques. In: Politix, vol. 15, n°58, DeuxiÚme trimestre 2002. Guerres et paix, sous la direction de Annie Collovald et Pierre Lascoumes. pp. 202-207

    Chapitre 7. Le patron et l’enseignant : controverses autour des savoirs Ă©conomiques des Français

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    Il devrait y avoir des lois pour protĂ©ger les connaissances acquises. (
) VoilĂ  un Borniche ou un Christoufle quelconque, un amateur, un ignorant (
) qui vous dit que la terre est ronde, que ce qui ne bouge pas bouge et que ce qui bouge est ce qui ne bouge pas, que votre science n’est que paille et que vous n’avez qu’à retourner Ă  l’école ! Et alors toutes les annĂ©es que j’ai passĂ©es Ă  apprendre le systĂšme de PtolĂ©mĂ©e, Ă  quoi est-ce qu’elles m’ont servi, s’il vous plaĂźt ? Je dis que ces gens ..

    F. Eymard-Duvernay et E. Marchal, Façons de recruter

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    Rozier Sabine. F. Eymard-Duvernay et E. Marchal, Façons de recruter. In: Politix, vol. 10, n°39, TroisiÚme trimestre 1997. Se référer au passé, sous la direction de Jean-Philippe Heurtin et Danny Trom. pp. 182-187

    La fabrique du patrimoine : interprétations et usages de la citadelle de Blaye

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    Faire Ă©cole : des fondations au service d’un autre projet Ă©ducatif

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    “Ce qui fait le patron, c’est l’insatisfaction”. Du CAP de boulangerie à la grande entreprise

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    C’est dans un immeuble cĂŽtoyant un long bĂątiment surmontĂ© d’une immense enseigne lumineuse, comme on en voit des dizaines dans cette vaste zone commerciale, trace visible de l’empreinte qu’a laissĂ©e, dans la pĂ©riphĂ©rie des villes françaises, le dĂ©veloppement de la grande distribution, que se trouve le siĂšge de la sociĂ©tĂ© de JoĂ«l Dumez. Son bureau, Ă  l’angle du dernier Ă©tage, domine le parking oĂč se pressent les voitures des clients. Il vient de quitter, Ă©mu, l’un de ses anciens associĂ©s qui s’était lancĂ© avec lui dans la crĂ©ation de son tout premier magasin une quarantaine d’annĂ©es plus tĂŽt : il avait alors jetĂ© son dĂ©volu sur un vaste espace de 500 mĂštres carrĂ©s dĂ©couvert un peu hasard dans le renfoncement d’un boulevard parisien pour y lancer son activitĂ©. On Ă©tait en 1973. Une nouvelle forme de commerce Ă©tait apparue une vingtaine d’annĂ©es plus tĂŽt aux États-Unis pour promouvoir le « do it yourself ». Des quincailliers français s’en Ă©taient inspirĂ©s et les premiĂšres grandes surfaces Ă©taient sorties de terre peu aprĂšs. Des entrepĂŽts Ă  l’amĂ©nagement spartiate avaient poussĂ© loin des centres urbains. Les clients pouvaient s’y procurer des produits habituellement dispersĂ©s dans diffĂ©rents magasins de centre-ville : il y avait du choix, les articles Ă©taient en accĂšs libre et affichaient des prix particuliĂšrement attractifs. JoĂ«l Dumez, alors attachĂ© commercial dans une entreprise, mĂ»rissait depuis longtemps l’envie de s’installer Ă  son compte et s’était dit qu’il y avait lĂ , dans cette forme de commerce naissante, une occasion de se lancer dans la crĂ©ation de sa propre affaire
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