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Serum IL-33, a new marker predicting response to rituximab in rheumatoid arthritis
Background. Recent works have suggested a possible link between IL-33 and B-cell biology. We aimed to study in different cohorts and with an accurate ELISA assay the possible association between serum IL-33 detection and response to rituximab (RTX) in rheumatoid arthritis (RA) patients. Method. Serum IL-33, rheumatoid factor (RF), anti-citrullinated cyclic peptide antibodies (anti-CCP), high serum IgG level were assessed in 111 RA patients receiving a first course of 2 grams RTX (cohort 1) in an observational study and in 74 RA patients treated with the same schedule in routine care (cohort 2). Uni and multivariate analyzes identified factors associated with a European League Against Rheumatism response at 24 weeks. Results. At week 24, 84/111 (76%) and 54/74 (73%) patients reached EULAR response in the cohorts 1 and 2, respectively. Serum IL-33 was detectable in only 33,5% of the patients. In the combined cohorts, presence of RF or anti-CCP (OR 3.27, 95%CI [1.13-9.46]; p=0.03), high serum IgG (OR 2.32, 95%CI [1.01-5.33]; p=0.048) and detectable serum IL-33 (OR 2.40, 95%CI [1.01-5.72]; p=0.047) were all associated with RTX response in multivariate analysis. Combination of these 3 factors increased the likelihood to response to RTX. When serum IL-33 detection was added to seropositivity and serum IgG level, 100% of the patients with the 3 risk factors (corresponding to 9% of the population) responded to RTX (OR versus patients with none of the 3 risk factors = 29.61; 95% CI [1.30-674.79] p=0.034) Conclusion. Detectable serum IL-33 may predict clinical response to RTX, independently of and synergistically with autoantibodies and serum IgG level
NK cells, lymphocytes at the interface between innate and adaptive immunity
Les cellules NK sont classiquement décrites comme des lymphocytes effecteurs du système immunitaire inné, dotées d’un jeu limité de récepteurs permettant la reconnaissance de cellules tumorales ou infectées par des pathogènes, et dépourvues de capacités de mémoire immunitaire. Des travaux récents montrent cependant que les cellules NK semblent douées de diverses propriétés « adaptatives » proches de celles des lymphocytes T (LT). L’étude princeps de ce nouvel aspect de la biologie des cellules NK a été réalisée dans un modèle murin d’hypersensibilité retardée (HSR) aux haptènes, et démontre qu’en l’absence des effecteurs classiques de ces réactions (LT), les cellules NK sont capablesd’induire des réactions d’HSR. La première partie de ce travail de thèse a consisté à étudier la contribution des cellules NK dans l’initiation et le développement des réactions d’HSR en présence des effecteurs classiques (LT). Nous montrons ainsi que bien que des cellules NK « mémoires » spécifiques de l’haptène soient retrouvées dans le foie des souris de type sauvage sensibilisées, leur contribution à la réaction d’HSR est mineure. Par contre, si ces cellules NK mémoires sont transférées à une souris receveuse dépourvues de LT nonsensibilisée, elles sont capables d’induire des réactions d’HSR lors d’un nouveau contact avec l’haptène. Dans la deuxième partie, nous avons comparé les réactions d’HSR induites par les cellules NK et les lymphocytes T mémoires dans ce système de transfert. Nous mettons en évidence que les réactions développées par les cellules NK sont d’une durée limitée et qu’elles impliquent un oedème avec peud’infiltration par les cellules immunitaires, au contraire des réactions induites par les cellules T mémoires. Enfin, dans la troisième partie de ce travail, nous avons analysé le compartiment cellulaire NK circulant chez des patients souffrant de pathologies inflammatoires cutanées dans lesquelles les LT ont un rôle clairement identifié à ce jour. Nous rapportons des modifications qualitatives et quantitatives de ces cellules, suggérant leur implication potentielle dans la physiopathologie de ces maladies. L’ensemble de ces données confirme donc l’existence de cellules NK « mémoires », dont le rôle physiologique en présence des effecteurs adaptatifs classiques reste encore aujourd’hui à démontrer.NK cells are classically defined as lymphocytes of the innate immune system, equipped with a limited set of receptors involved in the recognition of tumoral or infected cells, and devoid of immune memory. However, recent studies showed that NK cells seem endowed with various "adaptive" properties similar to those of T lymphocytes (TL). The original description of this new aspect of NK cell biology was made in a murine model of delayed-type hypersensitivity (DTH) to haptens. In this model, NK cells were found to be able to induce DTH reactions in the absence of classical DTH effectors (TL). The aim of the first part of this PhD thesis was to study the contribution of NK cells in the initiation and development of HSR reactions in the presence of classical effectors (TL). We show that although hapten-specific "memory" NK cells are generated in the liver of hapten-sensitized wild type mice, their contribution to HSR reactions is minor. By contrast, if "memory" NK cells are transferred to unsensitized recipient mice lacking T cells, they can induce DTH reactions upon a new contact with the hapten. In the second part, we compared the DTH reactions induced by NK cells and memory T lymphocytes in thistransfer system. We showed that hapten-induced skin reactions mediated by NK cells are of limited duration and associated with a weak cellular infiltrate, in contrast to memory T cell-mediated reactions. Finally, in the third part of this work, we analyzed the circulating NK cell compartment in patients suffering from inflammatory skin diseases thought to be induced by T cells. We report qualitative and quantitative changes of NK cells in patients in comparison with healthy controls, suggesting the potential involvement of NK cells in the pathophysiology of these diseases. Altogether, our data confirm the existence of "memory" NK cells, whose physiological role in the presence of conventional adaptive effectors still remains to be assessed
Les cellules Natural Killer entre immunité innée et immunité adaptative (étude dans un modèle murin d'hypersensibilité de contact)
LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF
An unexpected response to rituximab in a patient with rheumatoid arthritis
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Homéostasie des cellules
Les cellules natural killer (NK) forment une composante importante de l’immunité innée, dédiée à la défense de l’hôte contre les virus et également impliquée dans l’immunosurveillance des tumeurs. Les cellules NK sont distribuées dans tout l’organisme et leur nombre peut augmenter localement au site d’une infection. Elles se développent principalement dans la moelle osseuse et sont perpétuellement renouvelées à partir de ce tissu. Cette revue fait le point sur les facteurs qui régulent l’homéostasie des cellules NK, leur développement, leur différenciation et leur export vers la périphérie. L’accent est mis sur les éléments qui participent à leur homéostasie, en particulier leur renouvellement et leur prolifération. Enfin, nous discutons l’homéostasie des cellules NK dites « mémoire », récemment décrites
Characterization of the novel HLA‐DQA1 *01:19 allele by next‐generation sequencing
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Characterization of the novel HLA‐DPB1*1151:01 allele by sequencing‐based typing
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Characterization of the novel HLA-DQA1*01:01:10 allele by sequencing-based typing
HLA-DQA1*01:01:10 differs from HLA-DQA1*01:01:01:01 by a single nucleotide change in codon 7 in exon 2
Characterization of the novel HLA‐A *29:02:38 allele by sequencing‐based typing
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