34 research outputs found

    Efficacité théorique d'un indice de sélection sur collatéraux pour le foie gras de l'oie Landaise

    Get PDF
    L’efficacité théorique d’un indice de sélection sur collatéraux pour améliorer le poids du foie gras de l’oie Landaise est étudiée. Sur m oisons disponibles par oie et saison de reproduction, n sont gavés et abattus pour servir de test des reproducteurs, m - n animaux contemporains (dont la moitié de chaque sexe) sont candidats à la sélection. Cela revient à chercher l’optimum pour n, de façon à maximiser le produit de l’intensité de sélection par la corrélation entre la valeur génétique additive et celle estimée par l’indice de sélection. Une solution sub-optimale est trouvée, pour un intervalle de génération de un an. Une solution pratique est proposée pour un noyau de sélection de faible effectif (160 oies).Theoretical efficacy of a selection index to increase fat liver production of Landaise goose is studied. For m goslings per goose in each reproductive season, n are force feeded and slaughtered for the test of breeding animals, m - n contemporaneous animals (half of each sex) are candidates for selection. We have to look for an optimum for n, number of animals of test, in order to maximise the product of selection intensity and correlation between additive genetic value and the one estimated by the selection index. A sub optimum solution is found, with a generation interval of one year. A practical solution is proposed for a nucleus of limited size (160 geese)

    Alimentation énergétique de l'oie reproductrice

    No full text
    National audienceCinq essais consécutifs ont été réalisés dans un dispositif d’élevage en extérieur comprenant 12 parquets de 15 oies et 5 jars (race landaise) afin de déterminer le besoin énergétique de ces animaux et les effets sur les performances de différentes concentrations énergétiques de l’aliment (de 2100 à 2800 kcal Energie Métabolisable/ kg)).. Le besoin énergétique journalier est de 800-850 kcal E M par oie « servie » (avec 1/3 jars) en saison normale et peut-être plus proche de 900 kcal E M en hiver très froid. Distribués à volonté, les régimes les plus concentrés sont défavorables à la reproduction, l’oie adulte régulant mal son ingéré énergétique en fonction de la teneur du régime. A l’inverse, dès lors qu’ils sont rationnés pour assurer strictement le besoin, les régimes « haute-énergie » permettent une amélioration de la fertilité (+ 7 à + 20 %) et une importante économie d’aliment (- 20 %). Cette pratique semble favoriser également la suppression de verdure fraîche dont l’apport peut représenter une contrainte lorsque l’oie n’a plus accès à des parcours

    Rationnement alimentaire de l'oie avant et pendant la ponte

    No full text
    National audienceDifferents programmes of feed restriction have been evaluated on goose breeders kept outdoor in order to evaluate whether the spontaneous overconsumptions of feed which occur before the beginning of laying and after the peak of lay, play an important role on performances. During two successive trials, a limitation of the energy intake at 700 kcal ME/day/bird (320 g/day of a feed containing 2200 kcal ME and 170 g CP/kg) was applied from mid-november up to the date on which the laying rate reached 20% (about midfebruary). This treatment induced a small, non significant reduction in the number of laid eggs and a large increase (+10 to +15%) in fertility with a positive balance of +4 goslings/goose. Two other levels of restriction (500 and 1000 kcal ME/day/bird) were tested on the same part of the laying cycle ; they appeared to be too much and not severe enough respectively. A restriction level which limits the geese body weight increase to 1.0 - 1.2 kg could be recommended. After the peak of lay (end of march), a limitation of the energy intake at 660 kcal ME/day/bird was detrimental to the laying rate (-6 eggs/goose) but is still largely favourable to the fertility rate (+15%). For this period, different feeding programmes would be probably justified for geese and ganders.Trois essais de rationnement alimentaire ont été réalisés sur des parquets (15) d’oies reproductrices grises des Landes, pendant leur saison naturelle de reproduction (printemps) et en plein air, afin d’évaluer si les surconsommations spontanées d’aliment observées avant l’entrée en ponte puis après le pic de ponte jouent un rôle déterminant sur les performances. Une limitation de l’ingéré énergétique à 700 kcal/jour/animal (320 g/jour d’un aliment contenant 2200 kcal d’énergie métabolisable/kg et 17% MAT) appliquée de mi-novembre jusqu’au stade 20% de ponte, entraîne une légère réduction du nombre d’oeufs (-2 oeufs/oie) mais une augmentation de 10 à 15% de leur taux de fertilité avec un bilan positif de +4 oisons par mère. Deux autres niveaux de rationnement testés (500 et 1000 kcal/jour/animal) sont ou trop ou trop peu sévères. Un rationnement préalable à la ponte et limitant la prise de poids des femelles à 1,0 -1,2 kg paraît donc recommandable. Après le pic de ponte (fin mars), la limitation de l’ingéré énergétique à 660 kcal/oie pénalise fortement la ponte (moins 6 oeufs par femelle) mais accroît fortement le taux de fertilité (+ 13%). A ce stade, un rationnement différent des mâles et des femelles mériterait d’être développé
    corecore