3 research outputs found

    Waiting for a cognitive behavioural therapy (CBT): A randomized controlled trial evaluating the use of a computerized CBT program with outpatients on a waitlist in a university CBT unit

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    Computerized Cognitive-Behavioural Therapy (cCBT) programs are a potential solution to decrease waiting lists for publicly-funded psychotherapy. However, assigning an appropriate program to individuals on a waiting list can be a challenge, given the heterogeneity of disorders presented and the timing of diagnostic assessments, which usually occur at the end of the waiting period. This study aimed to determine if a general cCBT program for depression and anxiety could reduce symptoms in outpatients referred for a wide variety of problems, while on a waiting list for CBT.Sixty-seven outpatients with disparate diagnoses (anxiety, depression, obsessive compulsive disorders, bipolar disorders, psychotic disorders and others), were randomized to one of two conditions: 1) the cCBT program “Good Days Ahead”, which included weekly guidance and support, or 2) a control condition where patients were referred to an online self-help CBT workbook. The Clinical Outcomes in Routine Evaluations - Outcome Measure (CORE-OM), Beck Depression Inventory, Beck Anxiety Inventory, and an autonomous and controlled motivation for CBT scale were administered at start of study (T1), and at the end of the waiting period, when participants were formally assessed for face-to-face therapy (T2).Mixed-design analyses of variance revealed no statistically significant changes in symptom measures over time, with the exception of the problems/symptoms and well-being subscales of the CORE-OM. Motivation changed in unexpected ways, with autonomous motivation decreasing from T1 to T2, and controlled motivation increasing over time. Non-significant interactions and modest effect sizes between groups across time suggested that the cCBT group did not do better than the control group. Interestingly, the majority of cCBT participants reported that the program was “very” or “extremely useful”, while only a portion of the control group felt the same about the workbook. There were also notable differences in the completion rates of the two groups, in favour of the cCBT program.Offering a general cCBT program to waiting list patients may not confer an advantage over simply referring them to an online workbook. In fact, our results suggest that changes in symptom severity and well-being were likely due to the passage of time rather than to the effects of either intervention. The decline in autonomous motivation for CBT could be explained, in part, to difficulties translating knowledge into practice, especially if participants’ main problem was not directly addressed by the program or workbook. These findings suggest it might be more helpful to offer patients specific cCBT programs targeting their main complaints rather than assign them to a general cCBT program.L’emploi de programmes informatisés de thérapie cognitivo comportementale (TCCi) pourrait être un moyen de réduire les longues listes de personnes en attente d’une psychothérapie financée par le gouvernement. Toutefois, proposer un programme approprié à ces personnes pose un problème compte tenu de la diversité des troubles présentés et du fait que l’évaluation diagnostique est habituellement effectuée à la fin de la période d’attente. La présente étude avait pour objet de déterminer si le recours à un programme général de TCCi axé sur la dépression et l’anxiété permettrait de réduire les symptômes de patients externes en attente d’une TCC qui avaient été orientés vers nos services et dont les problèmes variaient grandement.Soixante sept patients externes dont les diagnostics variaient (anxiété, dépression, trouble obsessionnel compulsif, trouble bipolaire, trouble psychotique et autres troubles) ont participé à l’étude et ont été classés de façon aléatoire dans l’un de deux groupes : 1) le groupe de ceux qui allaient se servir du programme de TCCi Good Days Ahead, qui comportait une séance hebdomadaire d’orientation et de soutien; 2) le groupe témoin, dans lequel les patients allaient remplir en ligne, de manière autonome, un carnet de travail de TCC. Dans un premier temps (T1), soit au début de l’étude, les participants ont répondu au questionnaire de mesure systématique des résultats cliniques [The Clinical Outcomes in Routine Evaluations – Outcome Measure (CORE OM)], aux questionnaires de dépression et d’anxiété de Beck et à un questionnaire de mesure de la motivation autonome et de la motivation contrôlée à l’égard de la TCC, puis, dans un deuxième temps (T2), soit à la fin de la période d’attente, ils ont fait l’objet d’une évaluation en bonne et due forme dans le cadre d’une thérapie face à face.Les analyses de variance mixtes ont révélé qu’il n’y a eu aucun changement statistiquement significatif dans la mesure des symptômes au fil du temps, sauf pour ce qui est des sous échelles d’évaluation des problèmes ou symptômes et de bien-être du questionnaire de CORE OM. Le degré de motivation a changé de façon inattendue : la motivation autonome a diminué du T1 au T2, alors que la motivation contrôlée a augmenté. Les interactions statistiquement non significatives et l’ampleur modeste de l’effet indiquent que le groupe ayant utilisé le programme de TCCi n’a pas obtenu de meilleurs résultats que le groupe témoin. Fait intéressant, une majorité des participants au programme de TCCi ont indiqué que le programme leur avait été « très » ou « extrêmement » utile, tandis qu’une faible partie seulement du groupe témoin ont eu la même impression par rapport au carnet de travail. Le taux d’achèvement du programme informatisé est nettement supérieur au taux d’achèvement du travail effectué à l’aide du carnet.Il n’est peut être pas plus avantageux d’offrir aux patients en attente d’une TCC de participer à un programme général de TCCi que de les inviter à utiliser un carnet de travail. En fait, les résultats de notre étude indiquent que les changements dans le degré de gravité des symptômes et dans le niveau de bien-être étaient probablement plus attribuables au passage du temps qu’à notre intervention. La diminution de la motivation autonome à l’égard de la TCC pourrait en partie s’expliquer par la difficulté à mettre en pratique les connaissances acquises, particulièrement dans le cas des patients dont le problème principal ne faisait pas directement l’objet d’une démarche dans le programme ou dans le carnet de travail. Les résultats obtenus indiquent qu’il vaudrait sans doute mieux offrir aux patients un programme de TCCi précis ayant un rapport direct avec les problèmes dont ils se plaignent que de leur faire suivre un programme général de TCCi

    The Rise and Fall of Depressive Symptoms and Academic Stress in Two Samples of University Students

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    Self-reported depressive experiences are common among university students. However, most studies assessing depression in university students are cross-sectional, limiting our understanding of when in the academic year risk for depression is greatest and when interventions may be most needed. We examined within-person change in depressive symptoms from September to April. Study 1 (N = 198; 57% female; 72% white; Mage = 18.4): Depressive symptoms rose from September, peaked in December, and fell across the second semester. The rise in depressive symptoms was associated with higher perceived stress in December. Study 2 (N = 267; 78.7% female; 67.87% white; Mage = 21.25): Depressive symptoms peaked in December and covaried within persons with perceived stress and academic demands. The results have implications for understanding when and for whom there is increased risk for depressive experiences among university students
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