346 research outputs found

    Value-Added Trade and Regionalization. GTAP Eleventh Annual Conference "Future of Global Economy", Helsinki, Finland.

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    For nearly two decades, growth of international trade has been underpinned by the development of intermediate goods cross exchanges resulting from a new international division of labour. The share of trade in inputs, also called vertical trade, has dramatically increased. Simultaneously, there has been some fear of excessive regionalization in trade. In this situation, the traditional trade measures based on the values of goods crossing borders are inappropriate to measure how self-centred are different regions. This paper suggests a new measure of international trade: “value-added trade”. Compared to “standard” trade, “value-added trade” is net of double-counted vertical trade and reallocates trade flows to input-producing industries. A database of value-added trade is made using the GTAP trade and input-output database for 66 regions (mostly countries) and 55 sectors in 1997 and 2001. In 2001, 26% of international trade were "only" vertical specialization trade, up from 25% in 1997. The share of services in value-added trade is much more important than in standard trade. East Asia still relies more heavily on extra-regional final markets than North America or Europe.Globalization;Vertical trade;Regionalization;

    États-Unis : l'heure des comptes

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    Alors que la tourmente financière sévit depuis l’année dernière et que le marché de l’immobilier connaît une crise sans précédent, le soutien des autorités monétaires et budgétaires à l’économie (baisse de 5,25 % à 2 % du taux objectif des Fed funds et plan de relance de 150 milliards de dollars) a permis jusqu’au deuxième trimestre d’atténuer les effets de la crise sur la croissance. Mais les effets de l’assouplissement monétaire sont gommés par la hausse des spreads et le plan de relance apparaît aujourd’hui comme un feu de paille. Dès le troisième trimestre, l’activité devrait refléter l’état des fondamentaux et supporter le poids des déséquilibres. Après les bonnes performances du premier semestre, l’économie pourrait entrer en récession dès l’été 2008. Après 2 % en 2007, la croissance atteindrait 1,4 % en 2008 et 0,4 % en 2009. [Premier paragraphe

    Perspectives 2007-2008. Etats-Unis : saisie en plein vol.

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    Perspectives 2008-2009 : Amérique latine : hors de la tourmente ?.

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    Who produces for whom in the world economy?

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    For nearly two decades, the share of trade in inputs, also called vertical trade, has dramatically increased. This paper suggests a new measure of international trade: “value-added trade”. Like many existing estimates, “value-added trade” is net of double-counted vertical trade. It also reallocate trade flows to their original input-producing industries and countries and allows to answer the question “who produces for whom”. In 2004, 27% of international trade were "only" vertical specialization trade. The sector repartition of value-added trade is very different from the sector repartition of standard trade. Value-added trade is less regionalized than standard trade.Globalization, Vertical trade, Regionalisation

    Perspectives 2008-2009 : Etats-Unis : l'heure des comptes.

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    États-Unis : la croissance sous contraintes

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    Après avoir atteint 3 % en 2010, la croissance américaine a ralenti à 1,7 % en 2011. Le premier semestre avait fait état d’une pause dans la dynamique de rattrapage. La croissance s’est raffermie dans la seconde moitié de l’année pour terminer à un rythme annualisé de 3 % au quatrième trimestre 2011 (1,6 % sur un an). Basée sur une croissance faible depuis 2 ans – insuffisante pour réduire le retard de production qui selon l’OCDE se situe autour de 4 % du PIB –, l’activité pâtit des déséquilibres financiers qui perdurent du côté des ménages et de l’ajustement budgétaire mis en place l’année dernière. [Premières lignes

    crise immobilière aux Etats-Unis : l'éclatement de la bulle.

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    La crise financière qui s’est déclenchée l’été dernier sur l’ensemble des marchés est partie du segment le plus à risque du crédit hypothécaire américain. Prenant appui en 2002 sur un marché déjà tendu, le dernier cycle de l’immobilier a bénéficié de conditions exceptionnelles pour prolonger son essor. L’abondance de liquidité a dopé l’innovation financière et conduit les organismes prêteurs à une prise de risque de crédit élevée en offrant des produits attrayants à des populations pas toujours solvables. Mais, si ces organismes ont réussi à reporter le risque sur une large gamme d’investisseurs, les ménages ont dû faire face à leurs propres engagements financiers dès lors que la hausse des prix s’est terminée et que, surtout, les conditions de prêt se sont normalisées.

    A l'origine de la crise financière : les tigres d'Asie.

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    Pays émergents : la fin de la Très Grande Illusion

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    Depuis 2013, la croissance mondiale est désynchronisée entre d'une part, les pays développés dont la situation s'améliore de plus en plus, et d'autre part, le reste du monde qui voit au contraire sa situation se dégrader, sous le poids de plusieurs facteurs. En Chine, la réorientation du modèle de développement vers le marché intérieur s'articule avec une croissance structurelle désormais plus modérée. Ce ralentissement pèse sur la demande de produits primaires et fait baisser les cours dont un nombre important de pays émergents et en développement sont exportateurs. Enfin, les conditions financières internationale s se resserrent depuis 2014 avec la normalisation de la politique monétaire américaine. Or, le recyclage des liquidités internationales avait donné lieu à une montée de l'endettement dans les pays émergents qui avait soutenu la croissance au moment où le pilier commercial s'affaiblissait.Ce durcissement de l'environnement international marque la fin d'une période exceptionnelle (croissance chinoise à deux chiffres, emballement des cours des matières premières, et enfin liquidités financières abondantes) qui devait prendre fin. Or, pendant les années 2000, la dépendance au commerce international s'est accrue pour tous les pays, et surtout pour les émergents, dont la Chine. Les pays riches en matières premières ont accru leur exposition à la volatilité des cours de ces produits. Aujourd'hui, si tous les pays sont exposés au choc d'un retournement du monde émergent, notamment chinois, les pays émergents le sont encore davantage, du fait de leur forte intégration commerciale et de leur dépendance accrue aux exportations de matières premières. Ils doivent en plus gérer un fort endettement. Les pays développés, eux, le sont moins car ils bénéficient à l'inverse de l'amélioration de leurs termes de l'échange
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