37 research outputs found
¿Fue Cercadilla una <em>villa</em>? El problema de la función del complejo de Cercadilla en <em>Corduba</em>
Because of both, its dimensions and its design, but, above all, because of being a <em>unicum</em>, Cercadilla constitutes an architectonical site of difficult interpretation. On this occasion the possibility of it having been a private <em>villa</em> is analyzed.<br><br>Tanto por sus dimensiones como por su diseño y, sobre todo, por su carácter de <em>unicum</em>, Cercadilla constituye un conjunto arquitectónico de difícil interpretación. En esta ocasión se analiza la posibilidad de que pudiera haber constituido una <em>villa</em> privada
¿Quién parte y reparte? Análisis de la disposición urbana en la Cartago fenicia
In this paper I would like to highlight the signifi cant architectural regularity which characterizes the pre-Roman archeological remains registered in Carthage. Despite having been repeatedly interpreted from a preconceived logical and spatial point of view, these remains allow us to set out that the Tyrian foundation was established in the Carthaginian peninsula according to a model that is referred to as <i>per strigas</i> in archaeological literature because it was documented better at the Archaic Greek colonies in Sicily. To defend this idea, I will indicate which architectonic remains make up its material basic, paying special attention to the remains found underneath the crossroads of the <i>decumanus maximus</i> and the <i>cardo</i> x-east, and I will try to summarize the state of the current issue on the urban shape of Phoenician Carthage. I will then go over several documentated examples of orthogonal land division in urban spaces from the Ancient Near East. This information will provide insight on the possible technical and practical context of Phoenician societies in the 9<sup>th</sup> and 8<sup>th</sup> centuries BC and, more specifically, the socio-political context of the Carthaginian founders. Finally, in light of these elements, I will put forward a proposal of a reconstruction of the urban layout of Phoenician Carthage as a whole.<br><br>En este artículo quiero llamar la atención sobre la significativa regularidad arquitectónica que caracteriza los restos arqueológicos prerromanos registrados en Cartago. Pese a haber sido repetidas veces interpretados desde un prejuicio lógico-espacial, estos datos permiten proponer que la fundación tiria se implantó en la península cartaginesa según un modelo que, estando mejor documentado en las colonias arcaicas griegas de Sicilia, ha sido denominado <i>per strigas</i> por la historiografía arqueológica. Para defender esta tesis señalaré qué restos arquitectónicos le sirven de base material, con especial atención a los hallados bajo el cruce entre el decumano máximo y el cardo x este, e intentaré sintetizar el estado de la cuestión actual sobre la forma urbana de la Cartago fenicia. A continuación repasaré algunos ejemplos de segmentación ortogonal de espacios urbanos documentados en el Próximo Oriente antiguo. Ello nos ayudará a suponer cuál habría sido el contexto técnico y práctico en que vivieron las sociedades fenicias de los siglos IX-VIII a.C. y, más concretamente, el contexto sociopolítico de los fundadores de Cartago. Por último y a la luz de estos elementos, presentaré una propuesta de reconstrucción de la forma urbana de la Cartago fenicia
Architecture royale numide
Un groupe isolé de monuments, sanctuaires et mausolées datant du IIe au Ier siècle av. J.-C. est présenté comme expression d'une architecture aulique hellénistique occidentale dans une zone marginale du monde antique: manifestation d'une architecture royale numide et instrument d'une présentation nouvelle des princes numides qui se considéraient comme des monarques hellénistiques. Ces constructions, dont les volumes architecturaux croissants entraînent une qualité nouvelle, sont le fruit d'un rapport dialectique entre des artistes hellénistiques d'origine diverse et les commenditaires qui avaient inséré leur royaume dans le monde hellénistique méditerranéen.Rakob Friedrich. Architecture royale numide. In: Architecture et société. De l'archaïsme grec à la fin de la République. Actes du Colloque international organisé par le Centre national de la recherche scientifique et l'École française de Rome (Rome 2-4 décembre 1980) Rome : École Française de Rome, 1983. pp. 325-348. (Publications de l'École française de Rome, 66
Die Urbanisierung des nördliche Marsfeldes. Neue Forschungen im Areal des Horologium Augusti
La nouvelle restitution de l'Horologium Augusti par E. Buchner, confirmée partiellement par des fouilles effectuées en 1979-1981, avait mis en rapport les quatre constructions de l'époque augustéenne (Horologium, Ara Pacis, Mausolée, Ustrinum) dans la partie septentrionale du Champ de Mars dont la topographie et les traces d'occupation postérieure restaient presque inconnues. Des vestiges d'un nouvel Horologium construit sur l'emplacement de l'installation augustéenne témoignent d'un niveau élevé de cette aire vers la fin du Ier siècle après J.-C. De nouvelles fouilles du Deutsches archaeologisches Institut Rom sous la sacristie de S. Lorenzo in Lucina et des recherches parallèles sous l'église ont pu faire connaître deux édifices du IIe siècle après J.-C. dont le deuxième, une salle à plusieurs nefs, faisait partie d'une grande Insula et devait être repris par le plan de la première église du Ve siècle. Les deux édifices construits partiellement sur l'aire de l'ancien Horologium à un niveau encore plus élevé montrent que l'Horologium augustéen, ainsi que sa restauration à l'époque flavienne, furent abandonnés définitivement au cours du IIe siècle après J.-C, à l'époque de la première urbanisation à grande échelle du Champ de Mars septentrional.Rakob Friedrich. Die Urbanisierung des nördliche Marsfeldes. Neue Forschungen im Areal des Horologium Augusti. In: L'Urbs : espace urbain et histoire (Ier siècle av. J.-C. - IIIe siècle ap. J.-C.). Actes du colloque international de Rome (8-12 mai 1985) Rome : École Française de Rome, 1987. pp. 687-712. (Publications de l'École française de Rome, 98
Die Urbanisierung des nördliche Marsfeldes. Neue Forschungen im Areal des Horologium Augusti
La nouvelle restitution de l'Horologium Augusti par E. Buchner, confirmée partiellement par des fouilles effectuées en 1979-1981, avait mis en rapport les quatre constructions de l'époque augustéenne (Horologium, Ara Pacis, Mausolée, Ustrinum) dans la partie septentrionale du Champ de Mars dont la topographie et les traces d'occupation postérieure restaient presque inconnues. Des vestiges d'un nouvel Horologium construit sur l'emplacement de l'installation augustéenne témoignent d'un niveau élevé de cette aire vers la fin du Ier siècle après J.-C. De nouvelles fouilles du Deutsches archaeologisches Institut Rom sous la sacristie de S. Lorenzo in Lucina et des recherches parallèles sous l'église ont pu faire connaître deux édifices du IIe siècle après J.-C. dont le deuxième, une salle à plusieurs nefs, faisait partie d'une grande Insula et devait être repris par le plan de la première église du Ve siècle. Les deux édifices construits partiellement sur l'aire de l'ancien Horologium à un niveau encore plus élevé montrent que l'Horologium augustéen, ainsi que sa restauration à l'époque flavienne, furent abandonnés définitivement au cours du IIe siècle après J.-C, à l'époque de la première urbanisation à grande échelle du Champ de Mars septentrional.Rakob Friedrich. Die Urbanisierung des nördliche Marsfeldes. Neue Forschungen im Areal des Horologium Augusti. In: L'Urbs : espace urbain et histoire (Ier siècle av. J.-C. - IIIe siècle ap. J.-C.). Actes du colloque international de Rome (8-12 mai 1985) Rome : École Française de Rome, 1987. pp. 687-712. (Publications de l'École française de Rome, 98
Architecture royale numide
Un groupe isolé de monuments, sanctuaires et mausolées datant du IIe au Ier siècle av. J.-C. est présenté comme expression d'une architecture aulique hellénistique occidentale dans une zone marginale du monde antique: manifestation d'une architecture royale numide et instrument d'une présentation nouvelle des princes numides qui se considéraient comme des monarques hellénistiques. Ces constructions, dont les volumes architecturaux croissants entraînent une qualité nouvelle, sont le fruit d'un rapport dialectique entre des artistes hellénistiques d'origine diverse et les commenditaires qui avaient inséré leur royaume dans le monde hellénistique méditerranéen.Rakob Friedrich. Architecture royale numide. In: Architecture et société. De l'archaïsme grec à la fin de la République. Actes du Colloque international organisé par le Centre national de la recherche scientifique et l'École française de Rome (Rome 2-4 décembre 1980) Rome : École Française de Rome, 1983. pp. 325-348. (Publications de l'École française de Rome, 66