19 research outputs found

    Strategy of Growth for Substantial Reduction of Poverty and Reversal of Trend towards Increasing Regional Divide

    Get PDF
    While Development as Freedom is considered to be one of the objectives of our national economic endeavors, and poverty reduction and fairly balanced regional development are high on the economic agenda, it is well known that our planning and economic policies have failed to produce inclusive growth to enable substantial parts of country to get the benefits of developments. The Approach Paper to 11th Five Year Plan declares its objective to be faster and more inclusive growth, but the Planning Commission or the Central Government do not put forward any significant change in the plan principles or strategies. In this paper we are suggesting a set of new innovative policies as additions to the policies already being implemented.poverty, Regional Divide, 11th Five Year Plan, innovative policies

    Financial and Fiscal Sector Reforms in Asian Countries

    No full text
    In the late seventies and eighties fiscal and financial sector reforms have been an integral and complementary part of the overall structural reform of the economies in several Asian countries. Apart from the obvious need to increase the efficiency of operations in the financial sector, including attempts to improve the efficiency and productivity of the real sector of the economy, reforms in the financial sector were also called for to make that sector capable of serving the emerging multiple needs of the growing real sector

    Trends in Taxation in Developing Countries (Les tendances de la fiscalité dans les pays en voie de développement) (Tendencias tributarias en los países en desarrollo)

    No full text
    Dans cette étude, les principales tendances de la fiscalité au cours de la période allant de 1953-55 à 1966-68 ont été examinées pour un échantillon de 30 pays en voie de développement; une analyse statistique systématique des pressions fiscales et des systèmes fiscaux dans un échantillon plus important de 50 pays pour la période 1966-68 a également été entreprise. Dans cette analyse systématique, l'auteur s'efforce de dégager les caractéristiques économiques qui peuvent influencer de façon significative la capacité contributive dans les pays en voie de développement, en vue de comparer l'effort fiscal de chacun. En général les pays en voie développement ont augmenté sensiblement leurs recettes fiscales au cours des 15 dernières années, ce qui explique l'accroissement de la pression fiscale dans la majorité de ces pays. La pression fiscale moyenne pour les 27 pays compris dans l'échantillon est passée de 11 pour cent environ en 1953-55 à 14 pour cent environ en 1966-68, et pour chaque accroissement de 1 pour cent du produit national brut (PNB), le total des recettes fiscales a augmenté en moyenne de 1,4 pour cent. Parmi les pays dont l'élasticité des recettes fiscales par rapport au revenu est la plus élevée figurent des pays appartenant à plusieurs régions géographiques et d'autres dont les structures économiques et le niveau de développement sont très différents. Tandis que la plupart des pays à forte élasticité recettes fiscales/revenu national avaient au début de la période des pressions fiscales inférieures à la moyenne, leur pression fiscale n'a pratiquement pas eu tendance à s'en rapprocher au cours de la période envisagée. Bien que les pays aient eu recours à plusieurs formes d'imposition pour se procurer des recettes supplémentaires, les droits de consommation, les taxes sur le chiffre d'affaires et autres prélèvements indirects intérieurs ont contribué pour la majeure partie à l'élasticité des recettes fiscales totales. Il est apparu que les taxes frappant le commerce international ont constitué une source de recettes moins élastique, en raison d'une stagnation ou d'une diminution des recettes provenant des taxes à l'exportation. Les différents degrés d'élasticité des principaux impôts par rapport au revenu national se sont traduits par des variations dans la composition des recettes fiscales. La part en pourcentage des taxes à la production et sur le chiffre d'affaires a augmenté, tandis que celle des taxes sur le commerce international a diminué. Bien que les éléments automatiques et discrétionnaires des accroissements des recettes fiscales n'aient pas été quantifiés, il semble que l'accroissement de la pression fiscale moyenne et les variations dans la composition des recettes fiscales reflètent davantage les répercussions de nouvelles mesures fiscales qu'une flexibilité automatique. L'analyse systématique comprend la description du système fiscal des 50 pays en voie de développement et présente une comparaison des niveaux et de la composition des recettes fiscales entre divers groupes régionaux de pays en voie de développement. Elle est suivie d'une analyse statistique visant à déterminer les principales caractéristiques économiques qui expliquent les différences de pressions fiscales entre les pays en voie de développement. Il est fait état dans cette étude des efforts qui ont été tentés pour donner une explication de la pression fiscale. La formule la plus valable utilise le revenu par habitant, le rapport entre les exportations et le PNB, et le coefficient de production minière par rapport au produit intérieur brut. L'analyse des données par comparaison entre différentes années et pour chaque année entre différents pays a été utilisée pour évaluer l'effort fiscal dans les pays en voie de développement. L'"élasticité par rapport au revenu" des recettes fiscales est utilisée comme indice dynamique, tandis que l'indice statique est représenté par le rapport entre les recouvrements effectifs et le montant des cotisations. L'étude contient des exemples tirés des pays de l'échantillon qui indiquent comment différentes combinaisons des valeurs des deux indices pourraient être interprétées. /// Este trabajo examina las principales tendencias tributarias de una muestra de 30 países en desarrollo durante el período comprendido entre 1953-55 y 1966-68; también efectúa un análisis estadístico y sistemático de la estructura y los niveles tributarios correspondientes al período 1966-68, de una selección más amplia que abarca 50 países. En este último análisis se procura identificar los factores económicos que influyen decisivamente en la capacidad imponible de los países en desarrollo, con miras a comparar el esfuerzo tributario. En general, los países en desarrollo han acrecentado apreciablemente sus ingresos tributarios durante los últimos 15 años, y ello ha dado como resultado un aumento de la relación impuestos-producto nacional bruto (PNB) en la mayoría de los países. La relación tributaria media de la muestra de 27 países aumentó aproximadamente del 11 por ciento en 1953-55, a alrededor del 14 por ciento en 1966-68 y, en general, por cada 1 por ciento de aumento del PNB el ingreso tributario total se elevó en el 1,4 por ciento. En el grupo de países con la renta tributaria de mayor elasticidad-ingreso figuran países ubicados en varias zonas geográficas y con estructuras económicas y grados de desarrollo ampliamente dispares. Mientras que la mayoría de los países con ingresos tributarios de alta elasticidad comenzaron el período con relaciones impuestos-PNB inferiores a las normales, prácticamente no se notó ninguna tendencia hacia la convergencia de dichas relaciones tributarias durante el período estudiado. Si bien se ha recurrido a diversas formas de tributación para aumentar los ingresos, los impuestos que más han contribuido a la elasticidad de los ingresos tributarios totales fueron los que gravan los consumos específicos y las ventas, y otros impuestos internos indirectos. Una fuente de ingresos menos elástica resultó ser la de los impuestos al comercio internacional, debido al estancamiento o a la disminución del ingreso derivado de los derechos de exportación. Las diversas magnitudes de elasticidad-ingreso de los principales impuestos alteraron la composición de la renta tributaria. La proporción porcentual de la renta percibida de los impuestos a la producción y las ventas aumentó, y la de los impuestos al comercio internacional, disminuyó. Aunque no se ha intentado hacer una cuantificación de los elementos automáticos y discrecionales que originaron los incrementos del ingreso tributario, parece ser que el aumento de la relación impuestos-PNB y las variaciones de la composición de los ingresos tributarios obedecieron mucho más a nuevas medidas tributarias que a una flexibilidad automática. En el análisis de la selección de países se describe la estructura tributaria de 50 países en desarrollo y se establece una comparación entre los niveles y la composición de los ingresos tributarios de grupos regionales de los países en desarrollo. Luego se hace un análisis estadístico para identificar las principales características económicas que influyen en forma inportante en las diferencias que presenta la relación impuestos-PNB entre los países en desarrollo. Este trabajo contiene varios intentos de explicación estadística de la relación impuestos-PNB. La formulación más aceptable incluye el ingreso por habitante, la relación entre la exportación y el PNB, y entre la producción minera y el producto interno bruto. El análisis de los datos históricos y de la selección de países se utiliza como punto de partida para obtener medidas de evaluación del esfuerzo tributario de los países en desarrollo. La "elasticidad-ingreso" de los ingresos tributarios se emplea como índice dinámico, en tanto que el índice estático se calcula como la relación entre las recaudaciones tributarias reales y las estimadas. Este estudio presenta ejemplos tomados de la muestra de países con el fin de indicar cómo pueden interpretarse las diferentes combinaciones de valores de los dos índices.

    Significance of Alternative Concepts of Budget Deficit (La signification de divers concepts de déficit budgétaire) (Significado de distintos conceptos de déficit presupuestario)

    No full text
    The "budget deficit," which is one of the most widely used concepts in discussions of economic policy, is defined in several different ways. This paper analyzes the major alternative concepts of deficit and indicates the considerations for selecting the approach for judging the impact on demand. The overall deficit, also called the public debt concept, is derived by subtracting total expenditure (including net lending) from the total of domestic receipts other than borrowing; it thus gives the total net borrowing (adjusted for changes in cash balances) by the government and, hence, a comprehensive picture of the government's financial position. The balance on current account, derived by subtracting current expenditure from current revenues, indicates the saving generated in the government sector. While it is not very relevant for demand analysis, it is useful for longer-term appraisal and for economic planning in developing countries. The budget deficit can be said to be a composite measure of impact on demand in the sense that it reflects the net impact both on the demand for domestically produced goods and on the balance of payments. Since the budget impact on demand depends on several conditions in the economy, no single measure of impact can be put forward. One broad measure can be derived by subtracting the sum of domestic receipts other than borrowing and foreign receipts from total government expenditure excluding debt repayment. This will equal net domestic borrowing. There is some controversy whether net lending should be included in expenditure for deriving the balance. The main question here is whether government's lending (or relending) represents only financial intermediation or whether it gives rise to net additional expenditure by the private sector. Each case has to be considered on its merits. In developing countries, however, most types of lending will have to be included. If lending is taken to be net also of borrowing from the nonbank private sector, the two actions would be assumed to neutralize each other. Then the afore-mentioned broad measure of impact would be modified to include only borrowing from the banking system. Government borrowing from the central bank does not reduce purchasing power elsewhere, but it could be argued that borrowing from commercial banks might be contractionary to the extent that it leads to curtailment of credit to the private sector. Existence of excess reserves or extension of credit from the central bank, however, can enable the banks to lend to the government without reducing other deposits. Over time, only increases in reserve money can enable the banks to continue to lend to the government. Hence, it is generally appropriate to include commercial bank lending in the deficit to signify impact on demand. The direct budget impact on demand also can be roughly separated into the impact on the gross national product and on the balance of payments. The impact on the gross national product is given by the domestic balance, which is the difference between domestic expenditure and domestic receipts other than borrowing; the obverse of this is the measure of direct impact on the balance of payments. The budget impact on money supply is given by the excess of government payments to the domestic nonbank sector over the receipts from it. This is roughly equal to the government borrowing from the banking system plus the sale of foreign exchange to it. /// Le "déficit budgétaire", l'un des concepts les plus fréquemment utilisés dans les discussions de politique économique, peut se définir de plusieurs manières. L'auteur analyse les principaux concepts de déficit et indique les facteurs dont il faut tenir compte pour établir une méthode d'évaluation de l'incidence du budget sur la demande. Le déficit global, ou concept de l'endettement du Trésor, est calculé en déduisant les dépenses totales (y compris les prêts nets) des recettes intérieures totales à l'exception de celles qui proviennent de l'emprunt; il représente donc le nombre net de l'endettement de l'Etat (ajusté de la variation des encaisses) et donne, par conséquent, une image complète de sa situation financière. Le solde du compte courant, qui est calculé en déduisant les dépenses courantes des recettes courantes, indique l'épargne dégagée par le secteur "Administration". Si ce concept ne présente guère d'intérêt pour analyser la demande, il est utile pour évaluer la situation à long terme et pour la planification économique dans les pays en voie de développement. Le déficit budgétaire peut être considéré comme une mesure globale de l'incidence sur la demande en ce sens qu'il reflète l'incidence nette sur la demande de biens produits dans le pays et sur la balance des paiements. L'incidence du budget sur la demande dépendant de plusieurs facteurs qui influencent l'économie, il n'est pas possible de proposer un moyen unique de la mesurer. On peut toutefois la calculer d'une manière approximative en déduisant la somme des recettes intérieures -- à l'exception de celles qui proviennent de l'emprunt -- et des recettes extérieures du total des dépenses publiques, le remboursement de la dette non compris. Le montant ainsi obtenu sera égal à l'endettement intérieur net. L'inclusion des prêts nets dans les dépenses est une question controversée. Ce qu'il importe avant tout, c'est de savoir si lorsque l'Etat effectue des prêts (ou reprête l'argent emprunté), ces opérations ne représentent qu'une simple intermédiation financière ou si elles entraînent un accroissement net des dépenses du secteur privé. L'auteur estime que la réponse dépend de chaque cas étudié. Dans les pays en voie de développement, toutefois, la plupart des opérations de prêt devront être incluses dans les dépenses. Si l'on suppose que les prêts sont également nets des emprunts au secteur privé non bancaire, il est vraisemblable que les deux opérations se neutraliseront mutuellement. Par conséquent, la mesure approximative de l'incidence sera modifiée de manière à n'inclure que les emprunts au secteur bancaire. Les emprunts de l'Etat à la Banque centrale ne diminuent pas le pouvoir d'achat dans les autres secteurs de l'économie, mais il semble que les emprunts aux banques commerciales puissent avoir un effet de contraction dans la mesure où ils entraînent une réduction du crédit au secteur privé. Cependant, si le pays dispose de réserves excédentaires ou si la Banque centrale accorde du crédit, les banques pourront peut-être prêter à l'Etat sans réduire leurs autres dépôts. Par la suite, les banques commerciales ne pourront continuer à prêter à l'Etat que si les réserves monétaires s'accroissent. Aussi convient-il généralement d'inclure les prêts des banques commerciales dans le déficit si l'on veut exprimer l'incidence du budget sur la demande. L'incidence directe du budget sur la demande peut être décomposée approximativement en incidences sur le produit national brut et sur la balance des paiements. L'incidence sur le produit intérieur brut est exprimée par le solde intérieur, qui est la différence entre les dépenses intérieures et les recettes intérieures, les recettes fournies par l'emprunt non comprises; la différence inverse représente l'incidence directe sur la balance des paiements. L'incidence du budget sur la masse monétaire est exprimée par la différence entre les paiements de l'Etat au secteur intérieur non bancaire et ceux qu'il reçoit de ce secteur. Cet excédent est approximativement égal au montant des emprunts de l'Etat au système bancaire plus les devises vendues à ce dernier. /// El "déficit presupuestario", uno de los conceptos más usados en los estudios de política económica, se define de varias maneras. En este artículo se examinan los distintos conceptos de déficit y se indican las consideraciones que deben tenerse en cuenta al seleccionar el método para evaluar el impacto en la demanda. El déficit global, también llamado el concepto de déficit como deuda pública, se deriva restando el gasto total (incluidos los préstamos concedidos netos) de los ingresos públicos internos totales, excluidos los préstamos, lo que da los préstamos netos totales (ajustados según las variaciones de los saldos de caja) obtenidos por el gobierno y, por tanto, un cuadro general de la posición financiera del gobierno. El saldo en cuenta corriente, que se obtiene restando el gasto corriente del ingreso corriente, representa el ahorro generado en el sector público. Si bien esto no tiene gran trascendencia para el análisis de la demanda, es útil para la evaluación a largo plazo y la planificación económica de los países en desarrollo. Puede decirse que el déficit presupuestario constituye una medida compuesta del impacto en la demanda, en el sentido de que representa el impacto neto tanto en la demanda de bienes nacionales como en la balanza de pagos. Como el impacto presupuestario en la demanda depende de varias condiciones de la economía, no puede proponerse una medida única. Se puede derivar una medida general restando la suma del ingreso público interno (excluidos los préstamos obtenidos) y de los ingresos del exterior, del gasto total del gobierno (excluida la amortización de la deuda). El resultado será igual a los préstamos netos internos obtenidos. La inclusión de los préstamos netos concedidos en el gasto a fin de obtener el saldo es objeto de controversia. Lo principal es si los préstamos (o représtamos) del gobierno sólo representan una intermediación financiera, o si originan un gasto neto adicional por el sector privado. Cada caso debe considerarse según sus propias circunstancias. Sin embargo, en los países en desarrollo tendrían que incluirse casi todos los tipos de préstamos. Si de los préstamos concedidos por el gobierno se excluyen los obtenidos por el propio gobierno del sector privado extrabancario, se podría suponer que las dos operaciones se neutralizan entre sí. En consecuencia, la medida general antes citada del impacto se modificaría para incluir sólo los préstamos del sistema bancario. Los préstamos al gobierno del banco central no reducen el poder adquisitivo en otro sector, pero podría argumentarse que los préstamos de los bancos comerciales pueden tener efectos contraccionistas en cuanto determinan una reducción del crédito al sector privado. Sin embargo, un exceso de reservas o los créditos del banco central pueden hacer posible que los bancos presten al gobierno sin reducir otros depósitos. Con el tiempo, sólo le aumento de las reservas monetarias puede permitir que los bancos continúen prestando al gobierno. En consecuencia, es generalmente adecuado incluir los préstamos concedidos por los bancos comerciales en el déficit para indicar el impacto en la demanda. El impacto directo del presupuesto en la demanda también puede dividirse en forma aproximada en el impacto en el producto nacional bruto y en la balanza de pagos. El impacto en el producto nacional bruto está dado por el saldo interno, que es la diferencia entre el gasto interno y el ingreso público interno, excluidos los préstamos; el saldo de los restantes elementos es la medida del impacto directo en la balanza de pagos. El impacto del presupuesto en la oferta de dinero está dado por el exceso de los pagos del gobierno al sector extrabancario interno con respecto al ingreso público proveniente de este sector. Esto equivale aproximadamente al volumen de los préstamos al gobierno del sistema bancario, más la venta de divisas al sistema.

    The Growth of Indian Public Debt

    No full text
    This paper traces the causes of the rapid growth of India’s public debt, with special reference to internal debt. It then demonstrates that the growth of debt would become unsustainable by the end of the 1990s if the present trends continue. It develops a methodology to iterate the path of growth of debt to discover the sustainable level of the primary deficit. Finally, it suggests concrete measures to bring down the primary deficit.
    corecore