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    Histo-Blood Group Antigens Act as Attachment Factors of Rabbit Hemorrhagic Disease Virus Infection in a Virus Strain-Dependent Manner

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    Rabbit Hemorrhagic disease virus (RHDV), a calicivirus of the Lagovirus genus, and responsible for rabbit hemorrhagic disease (RHD), kills rabbits between 48 to 72 hours post infection with mortality rates as high as 50–90%. Caliciviruses, including noroviruses and RHDV, have been shown to bind histo-blood group antigens (HBGA) and human non-secretor individuals lacking ABH antigens in epithelia have been found to be resistant to norovirus infection. RHDV virus-like particles have previously been shown to bind the H type 2 and A antigens. In this study we present a comprehensive assessment of the strain-specific binding patterns of different RHDV isolates to HBGAs. We characterized the HBGA expression in the duodenum of wild and domestic rabbits by mass spectrometry and relative quantification of A, B and H type 2 expression. A detailed binding analysis of a range of RHDV strains, to synthetic sugars and human red blood cells, as well as to rabbit duodenum, a likely gastrointestinal site for viral entrance was performed. Enzymatic cleavage of HBGA epitopes confirmed binding specificity. Binding was observed to blood group B, A and H type 2 epitopes in a strain-dependent manner with slight differences in specificity for A, B or H epitopes allowing RHDV strains to preferentially recognize different subgroups of animals. Strains related to the earliest described RHDV outbreak were not able to bind A, whereas all other genotypes have acquired A binding. In an experimental infection study, rabbits lacking the correct HBGA ligands were resistant to lethal RHDV infection at low challenge doses. Similarly, survivors of outbreaks in wild populations showed increased frequency of weak binding phenotypes, indicating selection for host resistance depending on the strain circulating in the population. HBGAs thus act as attachment factors facilitating infection, while their polymorphism of expression could contribute to generate genetic resistance to RHDV at the population level

    Définition clinique de cas de l'influenza aviaire hautement pathogène H5N1 dans les élevages villageois au Cambodge (application aux données de surveillance de 2006 dans 6 provinces)

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    Suite à l'épizootie d'influenza aviaire H5N1 souche asiatique, apparue en 2004, le Cambodge a déclaré 22 foyers chez les volailles et 7 cas mortels chez l'homme. En 2006, il a été mis en place un système de surveillance de la maladie dans le pays. Les caractéristiques de la maladie sont peu connues au Cambodge. Cette étude cas-témoin a pour objectif de définir les particularités épidémiocliniques de la maladie dans les élevages villageois du pays. L'étude d'enquêtes rétrospectives, réalisées en 2006 dans les foyers, montre que les élevages de canards infectés présentent un taux de mortalité supérieur aux élevages témoins (p<0,001) et ils déclaraient plus souvent l'observation de torticolis (p=0,004). Les élevages de poulets infectés présentent également un taux de mortalité supérieur (p<0,02). Ces particularités ont permis d'établir 2 définitions cliniques de l'infection par l'influenza aviaire hautement pathogène chez les canards et les poulets. De plus, les définitions ont été appliquées à un système de surveillance de la mortalité. L'analyse montre que l'influenza aviaire a été enzootique au Cambodge en 2006. Deux clusters du sud-est du pays ont présenté plus de cas lors de la saison sèche (p<0,05).NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocTOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocNANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocSudocFranceF

    Etude comparative de la Leptospirose chez le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et les autres petits carnivores du Sud-Ouest de la France

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    Le Vison d'Europe (Mustela lutreola) est une espèce semi-aquatique très menacée. La prévalence et l'importance de la leptospirose chez les petits carnivores sauvages ainsi que le rôle épidémiologique de ces derniers sont méconnus. Pour évaluer le rôle de la maladie dans le déclin du Vison d'Europe, nous avons estimé la séroprévalence et le taux de portage rénal de leptospires pathogènes chez 6 espèces de petits carnivores sympatriques en utilisant les techniques de microagglutination et de PCR. La séroprévalence s'est révélée très élevée, surtout chez les Mustélidés vivant en milieu humide et en contact avec des rongeurs. Ils peuvent excréter des leptospires mais leur rôle comme réservoir doit être confirmé. Aucun symptôme aigu n'a été observé, mais la fragilité des populations de Vison d'Europe associée à des lésions chroniques qui restent à démontrer pourrait avoir des conséquences démographiques.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocTOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocNANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocSudocFranceF

    Diversité des rongeurs et des leptospiroses en Asie du Sud-Est

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    L Asie est reconnue comme étant un hotspot pour l émergence de maladies infectieuses, dont de nombreuses zoonoses comme la leptospirose. En Asie du Sud-Est, cette maladie est un problème majeur de santé publique mais reste pourtant peu étudiée, en particulier dans la faune sauvage. Les rongeurs en sont le principal réservoir et l homme s infecte au contact de l eau contaminée ou d urine de rongeurs infectés. L incidence de la leptospirose est saisonnière et l infection est plus fréquente en zones rurales. Grâce au projet CERoPath (Ecologie des Communautés de Rongeurs et de leurs Pathogènes en Asie du Sud-Est), 940 rongeurs issus de sept localités ont été testés pour la leptospirose grâce à la méthode de PCR quantitative que nous avons développée. Celle-ci cible le gène codant pour l ARNr 16S et celui codant pour la lipoprotéine LipL32. Ensuite, nous avons mis en évidence des facteurs déterminants de l infection chez les rongeurs parmi les variables environnementales et individuelles, l abondance, la richesse spécifique et la diversité de rongeurs de chaque localité. Nous avons montré que la prévalence du portage des leptospires chez les rongeurs est très variable selon la localité. En revanche, toutes les espèces de rongeurs qui ont été suffisamment échantillonnées se sont avérées être porteuses de leptospirose, la plupart du temps de souches pathogènes. Les facteurs influençant la probabilité d infection chez les rongeurs sont l abondance et la richesse spécifique, le sexe des rongeurs, les précipitations de la session de capture et la latitude. Ces résultats sont cohérents avec les données humaines et permettront d établir des cartes de risque de transmission des leptospires des rongeurs à l homme.NANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocTOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocSudocFranceF

    Evaluation des réactions immunitaires précoces lors de la vaccination contre la paratuberculose caprine avec une souche inactivée

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    La paratuberculose ou maladie de Johne est une maladie qui se traduit par une inflammation intestinale chronique de type granulomateux. Elle est provoquée par une bactérie à croissance lente et acido-alcoolo-résistante : Mycobacterium avium sbsp. paratuberculosis. Afin d'évaluer les réactions immunitaires précoces, un vaccin inactivé par la chaleur (GUDAIR®) a été injecté en sous-cutanée à des chevrettes de moins d'un mois. Les réactions immunitaires de type humorale et cellulaire ont été évaluées par sérologie ELISA et dosage de l'interféron-? entre 30 et 180 jours après la vaccination. L'apparition de nodules post-vaccinaux a également été observée et mesurée. Les résultats de notre étude montrent que la vaccination induit des réactions immunitaires périphérique de type cellulaire et humorale. De plus, les réactions des animaux vaccinés sont significativement plus élevées que celles des lots témoins tout au long de l'expérimentation. D'autre part, des réactions locales au niveau du site d'injection ont été détectées sur environ 70% des chèvres vaccinés un mois après la vaccination. Ce nodule a tendance à persister bien qu'une diminution de la taille soit observée tout au long de l'étude.NANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocSudocFranceF

    Mycoplasmoses caprines en région Poitou-Charentes (étude des cinétiques d'excrétion des mycoplasmes dans le lait de tank et des cinétiques sérologiques de troupeau)

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    L'objectif principal de ce travail était de proposer aux groupements de défense sanitaire de la région Poitou-Charentes un protocole de dépistage des mycoplasmoses dans les élevages caprins laitiers.NANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocSudocFranceF

    Etude de la séroprévalence vis-à-vis du Morbillivirus, de Brucella sp, de Leptospira interrogans dans la population de phoques gris de Bretagne

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    Le faible effectif des colonies françaises de phoque gris et de phoque veau marin rend ces espèces vulnérables et à haute valeur patrimoniale. Aussi, de nombreuses menaces pèsent sur elles, mais aucune étude française n'a encore évalué les risques infectieux liés aux Morbillivirus et aux bactéries des genres Brucella et Leptospira.NANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocSudocFranceF

    Surveillance des virus influenza dans l'avifaune sauvage en Loire-Atlantique (analyse du risque d'introduction de virus influenza dans les Ă©levages avicoles de Loire-Atlantique par les canards plongeurs)

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    Les Anatidés sont supposés jouer un rôle dans la dissémination des virus influenza. Nous rapportons ici les résultats de la surveillance virologique d'Anatidés sauvages et de Canards colverts sentinelles dans le département de Loire-Atlantique. Les résultats obtenus indiquent un rôle épidémiologique différent des canards de surface et plongeurs. Le rôle de réservoir des oiseaux sauvages les désigne aussi comme agents potentiels de diffusion de virus influenza vers les élevages. L'utilisation de données de Capture - Marquage - Recapture a permis la réalisation de cartes évaluant le niveau de risque des élevages du département de Loire-Atlantique pour l'introduction de virus influenza par les canards plongeurs. Ces cartes nous semblent particulièrement adaptées dans le cadre des virus hautement pathogènes comme H5N1.NANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocSudocFranceF

    La tuberculose chez le cerf Ă©laphe (Cervus elaphus) et le sanglier d'Europe (Sus scrofa) dans la forĂŞt de Brotonne

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    Depuis 2001, la tuberculose dans la faune sauvage constitue un problème dans la forêt de Brotonne. Afin de déterminer la prévalence d'infection chez le Cerf élaphe, le Sanglier d'Europe, le Chevreuil, le Renard et le Blaireau, des prélèvements d'organes ont été réalisés sur les animaux chassés et piégés pendant la période de chasse 2005-2006. Lors de la réalisation de l'inspection des carcasses de cerfs, de sangliers et de chevreuils, des lésions ont été observées principalement au niveau des nœuds lymphatiques mésentériques chez le Cerf, et au niveau des nœuds lymphatiques rétropharyngiens chez le Sanglier. Des lésions sont également présentes sur d'autres organes mais avec une fréquence moins élevée. Mycobacterium bovis a été isolée sur 23 cerfs parmi 107 (21,5% +- 7,9%), 57 sangliers parmi 144 (29% +- 11%), un chevreuil parmi 48 et un renard parmi 55. Aucun blaireau parmi 49 n'est atteint de tuberculose.NANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocSudocFranceF

    Etude des facteurs de risque de l'entérocolite épizootique du lapin en engraissement (enquête écopathologique de type rétrospectif)

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    Après avoir rappelé les éléments connus à ce jour sur l'entérocolite epizootique du lapin, l'auteur envisage l'étude des facteurs de risque de l'expression de la maladie en élevage intensif et en claustration par le biais d'une approche écopathologique de type rétrospectif. L'enquête nationale est menée par l'AFSSA et inclut 65 élevages répartis en cas et en témoins. Les facteurs de risque mis en évidence sont inhérents à l'hygiène générale et à la taille de l'élevage, au niveau des performances zootechniques et au niveau sanitaire global du troupeau, à l'abreuvement et à l'habitat des lapins en engraissement. L'étude confirme ainsi les données bibliographiques et met en évidence d'autres facteurs de risque de l'expression de l'EEL en engraissement. Une validation expérimentale ultérieure est nécessaire afin de vérifier que les facteurs de risque mis en évidence ont réellement valeur de cause.NANTES-Ecole Nat.Vétérinaire (441092302) / SudocSudocFranceF
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