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    Cercetările arheologice de la Polata, (jud. Gorj) / Les recherches archéologiques de Polata, dép. de Gorj

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    Rădulescu Venera, Calotoiu Gheorghe. Cercetările arheologice de la Polata, (jud. Gorj) / Les recherches archéologiques de Polata, dép. de Gorj. In: Materiale şi cercetări arheologice, N°16 1986. A XVI-A sesiune anuală de rapoarte, Vaslui 1982. pp. 294-299

    Cercetări arheologice la Câmpulung, în zona vechii reşedinţe domneşti (2000–2005) / Les fouilles entreprises dans la zone de l’ancienne résidence princière de Câmpulung (2000–2005)

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    L’ancienne résidence des premiers voïévodes de la Valachie pose de nombreuses questions concernant l’église ainsi que les autres éléments composants de l’ensemble, parmi lesquelles l’identification de la maison princière présente un intérêt particulier. Au XVIIe siècle, suite à la fondation du monastère, l’ensemble a été entièrement modifié. L’église princière, abîmée par un tremblement de terre, fût rebâtie en 1635 et les bâtiments monastiques ont été érigés sur un emplacement que les anciennes constructions démolies. Les recherches archéologiques entreprises à l’ancienne résidence princière de Câmpulung en 1975– 1977, 1981– 1982, 1984 et 2000– 2005 ont mis à jour des vestiges du XIVe siècle, en élucidant aussi les problèmes concernant l’évolution ultérieure de l’ensemble architectural. Dès que la résidence princière ne fut plus utilisée, l’espace qui entourait la plus importante église de Câmpulung, où étaient enterrés les deux premiers princes de la Valachie et, après eux, certains grands boyards, a été utilisé avec prédilection comme lieu de sépulture par les citadins. L’ensemble a été entièrement modifié au XVIIe siècle, suite à la fondation du monastère en 1635. L’église a été rebâtie et les bâtiments monastiques ont été érigés après la démolition des anciennes constructions, qui n’étaient plus utilisées. Un problème de grand intérêt est celui de l’identification de la résidence des voïévodes. On a essayé d’attribuer à une phase de construction du XIVe siècle la cave de la maison située au sud-ouest de l’église. Les fouilles de 1975– 1977 ont prouvé que cette cave date du XVIIe siècle. Lors de sa construction ont été détruites les derniers restes du mur qui entourait l’église au XIVe siècle, mur démantelé au XVe siècle, et d’autres restes de construction datant du XVe siècle, ainsi que des tombes du XVIe siècle. L’ancienne maison des voïévodes doit donc être cherchée ailleurs. En essayant d’obtenir des informations sur les vestiges de l’ensemble, les fouilles entreprises en 2000– 2003 ont été concentrées dans la zone située a l’est de l’église et celles de 2004– 2005 vers le sud-est. En dehors de l’ensemble du monastère, on a effectué un sondage sur le terrain situé au No. 76, rue Negru Vodă, en obtenant des renseignements sur l’habitat urbain des XIVe– XVIIe siècles. Les fouilles ont mis à jour des vestiges notables qu’on peut dater au XIVe siècle, dans la zone située a l’est de l’église voïévodale. Parmi celles-ci on doit mentionner une partie, mise à jour sur une largeur d’environ 10 mètres, d’un édifice aux murs en pierre, d’un mètre d’épaisseur, avec un pavement en briques à l’intérieur et de portions pavées en longeant les murs d’est et d’ouest à l’extérieur. Le bâtiment pourrait appartenir à l’ancienne résidence princière. Les éléments stratigraphiques prouvent l’antériorité de cette construction par rapport aux bâtiments du monastère. La découverte, dans une couche de terre ultérieure à la désaffectation du bâtiment, d’une monnaie émise par le roi de Hongrie Vladislav Ier en 1442, appuie l’hypothèse selon laquelle le bâtiment pourrait dater du XIVe siècle en appartenant à l’ancienne résidence princière. Par les fouilles effectuées en 2002 et 2003 on a pu compléter les informations sur un édifice aux gros murs en pierre, découvert en 1981, qui a été alors daté au XVIIe siècle. Il s’agit d’une construction en pierre et briques, de grandes proportions (approximativement 11 m de largeur), située partiellement sous le niveau du terrain de l’intérieur de l’enceinte et en même temps au niveau du sol vers la limite de la terrasse. On a trouvé le seuil et un montant de l’encadrement en pierre de l’entrée au niveau inférieur de la bâtisse. Les données archéologiques, surtout les observations stratigraphiques, peuvent confirmer la datation initiale de la construction, bien que les informations doivent être complétées. Des mentions documentaires ont permis de supposer que cette construction aurait pu abriter les magasins et l’auberge du monastère, construits en 1646– 1647 et détruits en 1737. On a aussi découvert et délimité les traces d’une construction monastique datant probablement du XVIIIe siècle. En 2004 et 2005, au sud-est de l’église, on a mis à jour des traces qui peuvent être attribuées au mur qui entourait l’église, sur son coté est, et autres qui peuvent appartenir à la fortification en terre qui limitait vers le sud l’ensemble. On a trouvé les restes des deux murs en angle droit, de plus d’un mètre d’épaisseur vers l’est, qui, tenant compte de la position stratigraphique, peuvent dater du XIVe siècle. On a trouvé des traces d’habitation du XVIe siècle. De nombreux restes des murs appartenant aux constructions monastiques, du XVIIe, XVIIIe et XIXe siècle ont été découverts. Dans d’autres deux points on a trouvé le mur d’enceinte du monastère de XVIIe siècle, et aussi un mur contemporain, parallèle, vers l’ouest. Appartenant aux constructions monastiques qui limitaient vers le sud l’enceinte, on a découvert deux murs parallèles et un pavement en briques entre eux. Les bâtiments situés au sud de l’église ont fonctionné jusqu’en 1934, quand ils ont été détruits par un grand incendie. Sur une grande surface, au nord de ces murs, se trouvent des couches très épais de décombres, pierre, restes de mortier, qui couvrent aussi les restes des autres murs. Les traces des constructions de différentes périodes, à cause de l’étendue limitée de la surface des fouilles, ont pu être découvertes seulement par fragments. L’image qu’on peut se former sur l’ensemble est subjective et incomplète. On peut formuler seulement des hypothèses en ce qui concerne le plan et la chronologie des constructions. Une recherche intégrale, qui pourrait donner une image d’ensemble sur tous ces vestiges, en confirmant ou en infirmant diverses hypothèses serrait possible un jour, si on envisageait la mise en valeur des restes des édifices disparus.Cantacuzino Gheorghe I., Rădulescu Maria-Venera, Trâmbaciu Ştefan. Cercetări arheologice la Câmpulung, în zona vechii reşedinţe domneşti (2000–2005) / Les fouilles entreprises dans la zone de l’ancienne résidence princière de Câmpulung (2000–2005). In: Materiale şi cercetãri arheologice (Serie nouã), N°2 2007. 2000-2006. pp. 95-141

    Cercetările arheologice de la Piua Petrii (Oraşul de Floci) / Recherches archéologiques à Piua Petrii (la Ville de Floci), dép. de Ialomiţa

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    Chiţescu Lucian, Păunescu Anca, Rădulescu Venera, Vlădilă Petre, Papasima Tudor. Cercetările arheologice de la Piua Petrii (Oraşul de Floci) / Recherches archéologiques à Piua Petrii (la Ville de Floci), dép. de Ialomiţa. In: Materiale şi cercetări arheologice, N°15 1983. A XV-A sesiune anuală de rapoarte, Muzeul jedeţean Braşov – 1981. pp. 484-490

    Bucureşti – centrul istoric. Campania 2007. Raport preliminar privind cercetările arheologice efectuate pe strada Smârdan / Bucarest – Historical Center. Archaeological researches in Smârdan Street

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    During the XVII century the historical documents mentioned a „ Lane going from the Princely Court towards the Greek’s Church’ while later on, until the second half of the XIX century the street was known as the German Lane. It acquired the present day name with the end of the Independence War in 1878. The 2007 excavations were the first ones focusing on the entire street. No archaeological remains were identified on the segment stretching from Lipscani St to Sf. Dumitru St. Foundations of brick constructions were exposed throughout the next segment, from Sf. Dumitru St. to Şelari St. Several fragments of wall foundations were observed at street numbers 30, 37, 39 and 41 and while dismanteling the sidewalk other short wall remains were exposed at street numbers 14, 26, 27, 28, 29. The excavations also uncovered the outlines of four XIX century constructions and one from the XVIII century. Other features included two garbage pits and remains of the old street paved with timber. The trench at no. 41 also yielded an area paved with small river boulders. A large number of pot sherds was recovered, resulted from various pottery types and also a large range of glass items. The majority was found within the cultural layer and only few from closed complexes such as pits or cellars. The ceramics was very fragmented, dating mostly from the XVII– XIX centuries. A major drawback constitutes the fact that this period is at the confluence between Late Medieval archaeology and ethnography, preventing a more refined chronology. The pottery material was grouped in two – the XVI– XVII centuries and the XVIII– XIX centuries, hoping that further publications will be more detailed. Mixed with the above mentioned fragments, isolated sherds, typical for the Dridu culture (X century) also occurred, in the soil resulted while digging the wall foundations.În documentele de secol XVII strada Smârdan este menţionată drept „ Uliţa care merge de la Curtea Domnească spre biserica Grecilor”, pentru ca mai târziu, până în a doua jumătate a secolului XIX să fie cunoscută drept „ Uliţa nemţească”. Numele actual a fost adoptat în 1878, după sfârşitul războiului de Independenţă. Cercetările arheologice din 2007 sunt primele care se ocupă de studiul întregii străzi în Bucureştiul medieval. Pe tronsonul dintre străzile Lipscani şi Sf. Dumitru nu au apărut materiale arheologice. Între Sf. Dumitru şi intersecţia cu str. Şelari au fost identificate fundaţii de construcţii şi ziduri atât în stradă, cât şi sub trotuar. Au fost cercetate, parţial, patru construcţii de secol XIX, una din secolul XVIII, două gropi menajere (sec XVIII), vechile podiri de lemn ale străzii şi un fragment de pavaj stradal din piatră de râu (sec XVIII– XIX). A fost recuperat un număr important de fragmente provenind de la diverse tipuri ceramice şi obiecte din sticlă. Datarea pieselor, majoritatea provenind din strat, este cuprinsă între secolele XVII– XIX. Foarte puţine dintre ele au apărut în complexe închise (gropi, pivniţe) care ar fi permis o încadrare cronologică mai clară. Materialele sunt în stare fragmentară, la foarte puţine fiind posibilă reconstituirea unui profil complet. Un alt handicap major îl reprezintă perioada de provenienţă a majorităţii materialelor (sec. XVIII– XIX) aflată la confluenţa între arheologia medievală târzie şi etnografie. Studiul materialului ceramic se constituie astfel într-o prezentare succintă a descoperirilor, grupate în sec. XVI– XVII, respectiv XVIII– XIX cu speranţa că în viitor ele vor beneficia de un studiu mai amplu. Alături de ceramica menţionată au fost descoperite şi fragmente ceramice izolate specifice culturii Dridu, databile în secolul X, antrenate de săpăturile pentru fundaţiile locuinţelor din Evul Mediu.Mănucu-Adameşteanu Gheorghe, Măgureanu Andrei, Panait Panait I., Boroneanţ Adina, Gavrilă Elena, Popescu Raluca-Iuliana, Rădulescu Maria-Venera, Toderaş Meda, Velter Ana-Maria, Boglárka Tóth, Botár István. Bucureşti – centrul istoric. Campania 2007. Raport preliminar privind cercetările arheologice efectuate pe strada Smârdan / Bucarest – Historical Center. Archaeological researches in Smârdan Street. In: Materiale şi cercetãri arheologice (Serie nouã), N°3 2008. 2007. pp. 163-223
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