178 research outputs found
Châteaubernard – Bellevue
Identifiant de l'opération archéologique : 204506 Date de l'opération : 2009 (EX) Le projet de création, par la communauté de communes de Cognac, d'un parc d'activité à Châteaubernard en Charente, au lieu-dit « Bellevue », est à l'origine d'un diagnostic archéologique réalisé par l'Inrap du 9 mars au 24 avril 2009. Située au sud-est de Cognac, l'emprise du diagnostic, d'une superficie d'environ 26 ha, touche partiellement le sommet ainsi que le versant sud-ouest d'un plateau qui constitue, av..
Aiffres – ZAC Bâtipolis
Identifiant de l'opération archéologique : 204675 Date de l'opération : 2008 (EX) La création d'une ZAC par la Communauté d'Agglomération de Niort a entraîné la réalisation d'un diagnostic archéologique sur la commune d'Aiffres (Deux-Sèvres). D'une superficie totale d'une trentaine d'hectares, les terrains sont situés au sud de la ville de Niort et non loin du Marais Poitevin. L'opération a permis de mettre au jour plusieurs indices d'occupation pour la Protohistoire, l'Antiquité et le Moyen ..
Rochefort – 9 quai aux Vivres
Identifiant de l'opération archéologique : 204876 Date de l'opération : 2009 (EX) Le projet de réhabilitation des anciens bâtiments du Magasin aux Vivres, situés à Rochefort, dans le but de créer une résidence de standing est à l'origine d'un diagnostic archéologique réalisé par l'Inrap du 24 août au 11 septembre 2009. Installé à l’extrémité septentrionale de l’arsenal créé par Colbert durant le dernier tiers du XVIIe s., le Magasin aux Vivres consiste en un ensemble de trois grands bâtiments..
Aiffres – ZAC Bâtipolis
Identifiant de l'opération archéologique : 204675 Date de l'opération : 2008 (EX) La création d'une ZAC par la Communauté d'Agglomération de Niort a entraîné la réalisation d'un diagnostic archéologique sur la commune d'Aiffres (Deux-Sèvres). D'une superficie totale d'une trentaine d'hectares, les terrains sont situés au sud de la ville de Niort et non loin du Marais Poitevin. L'opération a permis de mettre au jour plusieurs indices d'occupation pour la Protohistoire, l'Antiquité et le Moyen ..
DOUGAN, LORENZA E HIJOS [Material gráfico]
Copia digital. Madrid : Ministerio de EducaciĂłn, Cultura y Deporte, 201
MAFA (v-maf musculoaponeurotic fibrosarcoma oncogene homolog A (avian))
Review on MAFA (v-maf musculoaponeurotic fibrosarcoma oncogene homolog A (avian)), with data on DNA, on the protein encoded, and where the gene is implicated
La Rochelle – Rue du Docteur-Schweitzer
Identifiant de l'opération archéologique : 204575 Date de l'opération : 2009 (EX) Cette opération de fouille, qui fait suite à un diagnostic réalisé par l'Inrap en septembre 2008 sous la direction de Jean-Paul Nibodeau, s'est déroulée du 12 au 23 octobre 2009. Elle précède la construction de logements et d'un parking souterrain sur une parcelle d'environ 3 300 m² située au sud du centre hospitalier de La Rochelle, rue du Docteur-Schweitzer. L'opération a permis de dégager sur une longueur tot..
Terrains et espaces en devenir à La Rochelle (xiie-xviiie siècles)
CrĂ©ation ducale des annĂ©es 1130, La Rochelle se dĂ©veloppe rapidement au cours des xiie-xiiie siècles et se retrouve très vite Ă l’étroit dans ses murs qu’elle n’a alors de cesse d’étendre. La ville atteint ses limites au xive siècle et ce n’est qu’à la fin du xvie siècle qu’une nouvelle extension est possible. Après le siège de 1628, les fortifications sont rasĂ©es, Ă l’exception du front de mer. LibĂ©rĂ©e de son carcan militaire, la ville s’étale alors sur ces nouveaux terrains de manière parfois anarchique jusque vers la fin du xviie siècle quand une nouvelle enceinte, plus large que la prĂ©cĂ©dente, va enclore la ville jusqu’au dĂ©but du xxe siècle.Bien qu’ils soient Ă prendre avec prudence, les nombreux plans de la ville montrent, Ă partir de la fin du xvie siècle, de nombreux terrains libres de construction au sein de l’espace urbain. Il s’agit souvent de jardins, vergers ou espaces agraires divers, en gĂ©nĂ©ral privatifs et enclos de murs. D’autres peuvent ĂŞtre interprĂ©tĂ©s, grâce aux sources archivistiques, comme rĂ©sultant de destructions. Toutefois, ces espaces ne sont jamais qualifiĂ©s de « place vide ». Les opĂ©rations d’archĂ©ologie prĂ©ventive menĂ©es depuis une vingtaine d’annĂ©es Ă La Rochelle complètent parfois ces informations et permettent une nouvelle approche de leur interprĂ©tation. Quelques-unes ont Ă©galement mis l’accent sur des phĂ©nomènes peu documentĂ©s comme la conquĂŞte de nouveaux espaces soumis Ă un processus de transformation naturel accentuĂ© par l’homme.Ducal creation of the years 1130, La Rochelle developed quickly during the 12th-13th centuries and was rapidly found cramped within its walls that it had not ceased to extend. The city reached its limits in the 14th century and it was not until the end of the 16th century that a new extension was possible. After the siege of 1628, the fortifications were razed, with the exception of the waterfront. Freed from its military straitjacket, the city then spread out on these new grounds in a periodically anarchic manner until the end of the 17th century when a new enclosure, wider than the previous one, enclosed the city until the beginning of the 20th century. Although they should be taken with caution, the town's numerous plans show, from the end of the 16th century, many vacant lots within the urban space. They are often gardens, orchards or various agrarian spaces, usually private and behind enclosed walls. Others can be interpreted, through archival sources, as resulting from destructions. However, these spaces are never referred to as "empty spaces". The preventive archaeology operations carried out for some twenty years in La Rochelle sometimes supplement this information and allow a new approach to their interpretation. Some have also focused on poorly documented phenomena such as the conquest of new spaces subjected to a process of natural transformation accentuated by man.La Rochelle, una creaciĂłn ducal de los años 1130, se desarrollĂł rápidamente durante los siglos XII y XIII. Sus muros resultaron prontamente estrechos, con lo cual la ciudad hubo de extenderlos permanentemente, llegando a alcanzar sus lĂmites en el siglo XIV; no fue sino a fines del siglo XVI que pudo llevarse a cabo una nueva extensiĂłn. Las fortificaciones fueron destruidas tras el asedio de 1628, exceptuando aquellas que se encontraban en el frente de playa. Una vez liberada del yugo militar, la ciudad se extendiĂł hacia esos nuevos terrenos –algunas veces de manera anárquica– hasta fines del siglo XVII, momento en que se edificĂł una muralla más amplia que la anterior y que cercarĂa la ciudad hasta principios del siglo XX. Los abundantes planos de la ciudad –pese a que deben ser analizados con prudencia– muestran numerosos terrenos libres de construcciones al interior del espacio urbano desde fines del siglo XVI: se trata a menudo de jardines, huertos o espacios agrarios diversos, en general de uso privado y cercados con muros. Otros espacios pueden interpretarse, gracias a las fuentes de archivos, como resultado de destrucciones. No obstante, nunca son calificados como «lugares vacĂos». Las operaciones de arqueologĂa preventiva llevadas a cabo desde hace unos veinte años en La Rochelle han completado en ciertas ocasiones dichas informaciones, lo cual ha permitido interpretarlas desde un nuevo enfoque. Otras han hecho hincapiĂ© en fenĂłmenos poco documentados, tales como la conquista de nuevos espacios sometidos a un proceso de transformaciĂłn natural acentuado por el hombre
Poitiers – 2 rue du Doyenné
Identifiant de l'opération archéologique : 204757 Date de l'opération : 2008 (SP) Cette opération archéologique concerne un espace de 900 m2 au sud de l’église Saint-Hilaire, au sein de l’enclos de la collégiale du même nom (Fig. n°1 : Plan général et chronologique) . Elle intéresse deux secteurs distincts, séparés par un bâtiment appelé « réfectoire » du Chapitre. L’intervention s’est organisée autour de trois études intrinsèquement liées et réalisées par la même équipe pour une approch..
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