323 research outputs found

    Despite a difficult 2014 for the French economy, France is still far from being the ‘sick man of Europe’

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    A number of concerns have been raised about the French economy following disappointing economic figures in 2014. As part of our ‘economies of Europe’ series, Mathieu Plane assesses the development of the French economy since the crisis and whether commentators are right to regard France as the new ‘sick man of Europe’. He argues that while France remains highly dependent on effective policy action at the European level, there is more reason for optimism concerning the economy in 2015 than is commonly recognised

    finances publiques en meilleure santé en 2006?.

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    Impact des révisions de population active

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    Le nouveau scénario affiché par l’INSEE modifie en profondeur le paysage de l’activité française à long terme. Les précédentes projections dressaient un tableau beaucoup plus sombre quant à l’évolution du nombre d’actifs pour le demi-siècle à venir. De telles révisions ont en premier lieu pour effet un relèvement significatif de la croissance potentielle sous l’impulsion de la nouvelle dynamique de l’offre de travail. Un tel relèvement a déjà eu lieu en Italie, mais pas encore en Allemagne. Mais ces révisions engendreraient aussi une évolution des dépenses de retraite et de santé moins soutenue en raison d’un ratio de dépendance plus favorable et d’un vieillissement moins prononcé. Après avoir présenté dans la partie 1 les dernières projections démographiques et de dépenses de protection sociale pour l’UE25 de la Commission européenne, nous présentons dans la partie 2 les nouvelles projections de population active en France, en comparaison avec celles de l’Allemagne et de l’Italie, qui incluent des projections plus récentes que celles de la Commission. La partie 3 évalue l’impact de ces nouvelles projections sur les croissances potentielles de ces trois pays. La partie 4 décrit ensuite pour la France, comment ces révisions vont influencer le rythme des dépenses de protection sociale

    Finances publiques 2008 : la France différente.

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    démographie à la rescousse de la protection sociale en France.

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    Vieillissement et protection sociale:Comparaison de six pays de l’Union Européenne

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    Le vieillissement de la population est une caractéristique commune à tous les pays de l’Union européenne. Seuls l’ampleur et le calendrier de ce phénomène diffèrent selon les pays. La déformation des pyramides des âges devrait avoir des effets importants sur les économies européennes et en particulier sur les systèmes de protection sociale. La hausse de l’espérance de vie et le vieillissement des générations nombreuses du baby boom, associés à la chute de la fécondité depuis les années 1970, auront inéluctablement des conséquences sur la proportion de personnes âgées et d’inactifs dans la population, et, de ce fait, sur la part du PIB consacrée au financement des dépenses de retraite et de santé. En revanche, cette hausse pourrait être très partiellement contrecarrée par le retour au plein emploi et la baisse du nombre d’enfants qui devraient permettre une diminution des dépenses consacrées aux prestations chômage et aux prestations familiales. Le poids de la démographie est important : c’est dans les pays où la fécondité est la plus faible que les problèmes les plus importants risquent de se poser (notamment en Italie), tandis que les comportements démographiques dynamiques conservés par certains pays (comme la Suède), semblent atténuer grandement l’impact du vieillissement sur le système de protection sociale

    Les demandes de facteurs de production en France:Estimation et analyse des effets de la crise

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    Avec la crise débutée en 2008, les facteurs de production ont connu en France une contraction sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale. La crise se caractérise par sa longueur : sept ans après son commencement, les facteurs de production n’ont toujours pas retrouvé leur niveau d’avant-crise. Face à un tel choc, il s’agit de savoir si, au regard de la crise, les ajustements opérés sur les facteurs de production sont en lien avec les évolutions de l’activité et si la crise a entraîné des ruptures dans le comportement des entreprises. Pour répondre à cette question, nous estimons d’une part des équations de demandes de facteurs sur les périodes 1980-2007 et 1980-2014 et nous analysons et comparons les paramètres estimés sur ces deux périodes. D’autre part, nous réalisons des simulations dynamiques de l’emploi et de l’investissement que nous comparons aux évolutions observées de ces deux variables, afin d’établir si les déterminants traditionnels des équations permettent de comprendre les évolutions des facteurs de production depuis le début de la crise. Concernant la tendance de productivité, nous conduisons des tests de détection et de datation des ruptures de tendance de productivité, ainsi que des estimations récursives des paramètres. Les résultats des équations économétriques n’indiquent pas de rupture majeure au moment de la crise dans les déterminants fondamentaux de l’investissement et de l’emploi. Enfin, nous exposons les propriétés variantielles des deux équations de demande de facteurs, puis nous évaluons l’impact depuis 2011 des politiques de consolidation budgétaire dans la zone euro et de la dégradation du taux de marge des entreprises sur l’emploi salarié marchand et le stock de capital productif en France. Toutes choses égales par ailleurs, les politiques de consolidation budgétaire dans la zone euro seraient, selon nos évaluations, responsables en France de la destruction de 772 000 à 822 000 emplois salariés dans le secteur marchand et d’une chute de l’investissement des entreprises non-financières comprise entre 6,8 % et 7,6%, soit une contraction de 1,6% à 1,7% du capital productif. La baisse du taux de marge depuis 2011 aurait conduit à réduire l’investissement des entreprises de 2,1% à 2,5%, ce qui correspond à une baisse du capital productif de 0,3-0,4%

    Working hours and economic performance:What are the lessons of the COE-Rexecode report?

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    Do people work less in France than in the rest of Europe? Is France the only country to have reduced working time in the last decade? Is the 35-hour work week really dragging down the French economy? The report published on 11 January by the Coe-Rexecode Institute provides fresh material for answering these questions

    Evaluation de la réforme de la taxe d'habitation d'Emmanuel Macron

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    Dans le cadre de la campagne présidentielle, Emmanuel Macron a inscrit dans son programme l'exonération totale de la taxe d'habitation pour 80 % des ménages français pour un coût total estimé à 10 milliards d'euros. La taxe d'habitation, qui représente environ un tiers des recettes fiscales des municipalités, pèse pour 1,4 % du revenu disponible des ménages. Si à l'heure actuelle, seuls 15,5 % des ménages n'acquittent aucune taxe d'habitation du fait de l'existence de conditions d'exonération et d'abattements, la mesure proposée par Emmanuel Macron devrait constituer un gain de pouvoir d'achat pour les ménages correspondant à 0,7 % de leur revenu. La mesure cible particulièrement les classes moyennes. En effet, les ménages ayant un niveau de vie compris entre les 4e et 8e déciles devraient bénéficier d'un gain moyen compris entre 410 et 520 euros par an et par ménage, soit près de 4 à 5 fois plus que les gains moyens enregistrés par les ménages des premiers et derniers déciles de niveau de vie. À ces impacts différenciés en termes de niveaux de vie devraient également s'ajouter des différences territoriales sur les gains issus de la réforme. Ainsi, si dans 60 % des départements métropolitains les ménages enregistrent avec la réforme un gain moyen compris entre 279 euros et 356 euros, dans certains départements, n'ayant pas une part élevée de bénéficiaires, les ménages devraient connaître une augmentation significative de leur pouvoir d'achat, supérieure à 356 euros. Au final, si la mesure doit bénéficier à l'ensemble des départements, se pose la question de savoir quelles seront les modalités d'application de cette exonération dans le temps si certaines municipalités augmentent ou diminuent les taux d'imposition pour le calcul de la taxe d'habitation

    2000-2040 : population active et croissance

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    Le vieillissement de la population française va avoir des conséquences sur l’économie et en particulier sur l’évolution de la population active. Les générations nombreuses du baby boom vont quitter progressivement le marché du travail et ne pourront être remplacées que partiellement par les nouvelles générations. Ce décalage de taille des générations aura un impact sur le ratio de dépendance (inactifs/actifs) et donc sur la croissance potentielle par tête et sur l’équilibre des régimes de retraite. Un des moyens de combler ce déficit de main-d’œuvre serait une remontée des taux d’activité, notamment aux âges extrêmes de la vie active. La suppression progressive des dispositifs de cessation anticipée d’activité permettrait une hausse du taux d’activité des plus âgés et le cumul emploi-formation une augmentation de celui des plus jeunes. D’après notre scénario central, la population active française (au sens du BIT) devrait croître à un rythme assez soutenu entre 2000 et 2010, grâce à une démographie encore assez dynamique, à la baisse du chômage et à la diminution du nombre de préretraités et dispensés de recherche d’emploi. De 2010 à 2016, le nombre d’actifs devrait être quasiment stable. De 2016 à 2035, les générations du baby-boom vont progressivement passer à des âges d’inactivité ou d’activité faible, ce qui devrait accélérer le rythme de décroissance de la population active. À partir de 2035, la baisse du nombre d’actifs devrait ralentir, tous les baby boomers ayant atteint l’âge de la retraite
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