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    High Burden of Non-Influenza Viruses in Influenza-Like Illness in the Early Weeks of H1N1v Epidemic in France

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    BACKGROUND: Influenza-like illness (ILI) may be caused by a variety of pathogens. Clinical observations are of little help to recognise myxovirus infection and implement appropriate prevention measures. The limited use of molecular tools underestimates the role of other common pathogens. OBJECTIVES: During the early weeks of the 2009-2010 flu pandemic, a clinical and virological survey was conducted in adult and paediatric patients with ILI referred to two French University hospitals in Paris and Tours. Aims were to investigate the different pathogens involved in ILI and describe the associated symptoms. METHODS: H1N1v pandemic influenza diagnosis was performed with real time RT-PCR assay. Other viral aetiologies were investigated by the molecular multiplex assay RespiFinder19®. Clinical data were collected prospectively by physicians using a standard questionnaire. RESULTS: From week 35 to 44, endonasal swabs were collected in 413 patients. Overall, 68 samples (16.5%) were positive for H1N1v. In 13 of them, other respiratory pathogens were also detected. Among H1N1v negative samples, 213 (61.9%) were positive for various respiratory agents, 190 in single infections and 23 in mixed infections. The most prevalent viruses in H1N1v negative single infections were rhinovirus (62.6%), followed by parainfluenza viruses (24.2%) and adenovirus (5.3%). 70.6% of H1N1v cases were identified in patients under 40 years and none after 65 years. There was no difference between clinical symptoms observed in patients infected with H1N1v or with other pathogens. CONCLUSION: Our results highlight the high frequency of non-influenza viruses involved in ILI during the pre-epidemic period of a flu alert and the lack of specific clinical signs associated with influenza infections. Rapid diagnostic screening of a large panel of respiratory pathogens may be critical to define and survey the epidemic situation and to provide critical information for patient management

    Be careful with triage in emergency departments: interobserver agreement on 1,578 patients in France

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>For several decades, emergency departments (EDs) utilization has increased, inducing ED overcrowding in many countries. This phenomenon is related partly to an excessive number of nonurgent patients. To resolve ED overcrowding and to decrease nonurgent visits, the most common solution has been to triage the ED patients to identify potentially nonurgent patients, i.e. which could have been dealt with by general practitioner. The objective of this study was to measure agreement among ED health professionals on the urgency of an ED visit, and to determine if the level of agreement is consistent among different sub-groups based on following explicit criteria: age, medical status, type of referral to the ED, investigations performed in the ED, and the discharge from the ED.</p> <p>Methods</p> <p>We conducted a multicentric cross-sectional study to compare agreement between nurses and physicians on categorization of ED visits into urgent or nonurgent. Subgroups stratified by criteria characterizing the ED visit were analyzed in relation to the outcome of the visit.</p> <p>Results</p> <p>Of 1,928 ED patients, 350 were excluded because data were lacking. The overall nurse-physician agreement on categorization was moderate (kappa = 0.43). The levels of agreement within all subgroups were variable and low. The highest agreement concerned three subgroups of complaints: cranial injury (kappa = 0.61), gynaecological (kappa = 0.66) and toxicology complaints (kappa = 1.00). The lowest agreement concerned two subgroups: urinary-nephrology (kappa = 0.09) and hospitalization (kappa = 0.20). When categorization of ED visits into urgent or nonurgent cases was compared to hospitalization, ED physicians had higher sensitivity and specificity than nurses (respectively 94.9% versus 89.5%, and 43.1% versus 30.9%).</p> <p>Conclusions</p> <p>The lack of physician-nurse agreement and the inability to predict hospitalization have important implications for patient safety. When urgency screening is used to determine treatment priority, disagreement might not matter because all patients in the ED are seen and treated. But using assessments as the basis for refusal of care to potential nonurgent patients raises legal, ethical, and safety issues. Managed care organizations should be cautious when applying such criteria to restrict access to EDs.</p

    La CRP est-elle corrélée avec les décisions d'hospitalisation dans une structure d'urgences adultes ?

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    PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    La Classification Infirmière des Malades aux Urgences (CIMU version 2) (fiabilité et validité)

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    PARIS6-Bibl. St Antoine CHU (751122104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    DIAGNOSTIC DE L'INFECTION PAR LE VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE EN MEDECINE D'URGENCE

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    PARIS7-Villemin (751102101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    L'horaire de début est-il un élément sémiologique utile pour le diagnostic d'une colique néphrétique ? (étude prospective sur 339 malades)

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    La colique néphrétique (CN) est une pathologie fréquente, mais elle n'est pas toujours de diagnostic facile. Plusieurs publications récentes ont suggéré l'existence d'un taux plus élevé de CN le matin. Nous avons cherché à savoir si l'horaire de début est un élément sémiologique utile pour le diagnostic d'une colique néphrétique. Etude prospective de tous les malades atteints de crises de CN examinés aux urgences d'un hôpital universitaire en 1999 (36.400 passages médicaux / an). Le diagnostic de CN était confirmé au 15ème jour (en consultation ou à défaut par téléphone), à partir de l'aspect sémiologique initial et de l'évolution clinique et/ou de la mise en évidence d'un obstacle sur les voies urinaires. Résultats : en un an, nous avons inclus 339 malades pour CN (75 % d'hommes et âge moyen 39 +- 12 ans). Une hématurie était présente chez 275 malades chez qui une bandelette urinaire avait été réalisée (82 %). 285 (84 %) ont été suivis à J15. Une lithiase urinaire a été mise en évidence directement ou indirectement dans 223 cas sur 339 inclus (66 %) soit par l'ASP et/ou l'échographie (211 cas), soit par urographie intraveineuse ou scanner (4 cas), soit par expulsion de lithiase (9 cas). L'heure de début de la CN était disponible pour 281 malades (83 %). Les pourcentages de CN entre 0h-3h59, 4h-7h59, 8h-11h59, 12h-15h59, 16h-19h59, 20h-23h59 étaient respectivement 11, 19, 29, 14, 10 et 17 % traduisant une répartition inhomogène (p < 0,0001). Au cours de cette étude, la survenue d'une crise de colique néphrétique était plus fréquente le matin (29 % entre 8 et 12h). Cette information peut être utile à la construction plus rapide d'une hypothèse diagnostique de CN dans les présentations douloureuses abdominales atypiques. Elle conforte l'observation des physiologistes qui ont mesuré une baisse significative de la filtration glomérulaire et un risque lithogène plus important le matin. Elle suggère qu'un apport hydrique majoré en fin de soirée et/ou en début de matinée pourrait réduire le taux de CN chez les malades lithiasiques. Cette proposition reste à démontrerPARIS12-CRETEIL BU Médecine (940282101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge standardisée de l'hyperglycémie aux urgences reposant sur la cétonémie capillaire

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    PARIS-BIUM (751062103) / SudocCentre Technique Livre Ens. Sup. (774682301) / SudocSudocFranceF

    La satisfaction des patients ambulatoires aux urgences est-elle comparable à celle des soignants ?

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    L'évaluation du degré de satisfaction des patients consultant aux urgences s'inscrit dans une démarche d'amélioration continue des soins et des services. Certains travaux suggèrent que la satisfaction des infirmières est comparable à celle des patients, et qu'il était à la fois plus simple, rapide et valorisant de les solliciter. Matériels et méthodes : étude prospective monocentrique comparative de la satisfaction des patients ambulatoires adultes à la sortie des urgences avec celle des soignants à l'aide de questionnaires. Après avoir vérifié la différence des groupes par un test de Kruskal-Wallis. Nous avons comparé les réponses aux questionnaires de satisfaction globale entre les groupes (patients vs infirmières, vs aides-soignantes, vs médecins et vs soignants) par un test de Wilcoxon. Résultats : un enquêteur a distribué 506 questionnaires aux patients en 16 jours et obtenu 421 réponses (83%). Aux trois questions " comment évaluez-vous la qualité des soins reçus ? ", " recommanderiez-vous ces urgences à votre famille et amis ? ", " retourneriez-vous dans ces urgences si besoin ? " les patients ont attribués respectivement sur une échelle de 5 points : 3,6 (+- 1,0), 3,7 (+- 1,4), 4,0 (1,3) et les infirmières (n=52) aux deux premières questions 3,3 (+-0,7) et 3,6 (+- 1,0). Les réponses à la première question étaient différentes entre les groupes (P 0,13). Les réponses des médecins (n=19) étaient bien corrélées à celles des patients alors qu'on observait l'inverse pour les aides-soignants (n=31). Les facteurs influençant la satisfaction des patients étaient (1) positivement : politesse, amabilité et compétence des soignants ; (2) négativement : accueil, temps d'attente avant traitement et surtout temps d'attente avant de voir un médecin. Conclusion : l'étude régulière de la satisfaction globale des patients à la sortie des urgences est consommatrice de temps et de moyens. Elle peut être remplacée par celle des infirmières et / ou celle des médecins.PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Relations entre cétonurie (acétoacétate) et cétonémie (3-bêta-hydroxybutyrate). Etude rétrospective sur 667 patients aux urgences.

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    PARIS-BIUM (751062103) / SudocCentre Technique Livre Ens. Sup. (774682301) / SudocSudocFranceF

    Le travail d'un urgentiste hospitalier (Analyse du contenu - influence sur la productivité)

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    PARIS7-Villemin (751102101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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