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    Dipole Moments of ff-Bonded Complexes

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    This paper deals with the information which can be obtained from dielectric measurements about the structure of H-bonded complexes in the liquid phase. In the first part the basic equations used in the determination of the dipole moments in the liquid phase are discussed. For pure polar liquid Onsager\u27s equations lead to values of the moments which may differ from those of the gas phase. According to Kirkwood these deviations are due to preferential orientation effects between the molecules. In pure liquids these deviations are only very important in the case of the formation of H-bonds. The interpretation of experimental dipole data for self associated compounds such as alcohols, carboxylic acids, amides, amines, anilines and pyridines is presented. A method used for the experimental determination of dipole moments for one-one hydrogen bonded complexes is discussed. ÎŒab depends not only on the moments of the separate partners ÎŒa and ÎŒb but also on the angles -&a and Db which these moments form with the direction of the hydrogen bond. Furthermore, flab .... also depends on the dipole increment, /),.ÎŒ, originated by the displacements of electrons and nuclei brought about by the formation of the. ...b ond. /),.ÎŒ in turn, will depend on the f),.pKa, the difference between the pK. of the conjugated acid of the proton acceptor and that of the acid. Sigmoidal curves are obtained which can be interpreted as resulting from a tautomerism between »normal« and »proton transfer« hydrogen bonds. The dependence of /),.ÎŒ on the enthalpy of bond formation, - /),.Hh, also gives a sigmoidal curve which is approximately the same for all H-bonds of a given kind (0-H ... 0, 0-H ... N etc.) in a given solvent. This dependence can be used for the calculation of /),.ÎŒ. Using this value with the experimental moments ÎŒab‱ ÎŒa and /lb it is then possible to deduce angular parameters for a given H-bonded complex. A few examples are discussed

    Associations moléculaires et équilibres acide-base

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    Ce travail a pour objet de rechercher les origines Ă  l’échelle molĂ©culaire des corrĂ©lations constatĂ©es entre le logarithme des constantes de complexations Kab par lien hydrogĂšne entre des molĂ©cules acides et basiques et les logarithmes des constantes d’ionisation de ces corps dans l’eau. Les deux phĂ©nomĂšnes sont comparĂ©s dans un modĂšle molĂ©culaire oĂč l’ionisation dans l’eau se rĂ©alise en trois Ă©tapes correspondant chaque fois au dĂ©placement d’un proton : 1) formation d’une liaison hydrogĂšne de l’acide ou de la base avec l’eau, 2) saut du proton dans le second minimum de la courbe de potentiel, 3) sauts analogues des protons dans les liens hydrogĂšne avec les molĂ©cules d’eau adjacentes, ce qui a pour effet de sĂ©parer les ions. Dans les complexes entre l’acide et la base, la constante d’équilibre Ks qui gouverne le transfert du proton de liaison entre la position proche de l’acide (complexe normal) et celle proche de la base (paire ionique) est reliĂ©e au pKi par une relation de la forme :log Ks = Δ' + 14 — pKia — pKiboĂč Δ' dĂ©pend de la nature du solvant et du type de lien considĂ©rĂ© mais ne varie pas trop d’un terme Ă  l’autre dans une sĂ©rie de complexes semblables. Dans une famille de complexes l’abaissement des pKi en augmentant Ks rapprochera ainsi en gĂ©nĂ©ral le proton de la base dans le lien hydrogĂšne qui unit celle-ci Ă  l’acide. Il en rĂ©sulte une augmentation de l’énergie du lien et, par voie de consĂ©quence, de la constante de complexation. Cet effet semble ĂȘtre la cause dĂ©terminante des corrĂ©lations constatĂ©es, du moins lorsqu’il s’agit d'acides et de bases suffisamment solvatĂ©s par l’eau. Dans le cas contraire un second effet s’ajoute au premier: l’augmentation des constantes de complexation de l’acide et de la base entre eux permet de prĂ©voir un accroissement des constantes de complexation de ces deux corps avec l’eau et par consĂ©quent, dans le cas considĂ©rĂ©, de leurs constantes d’ionisation. Des effets stĂ©riques peuvent toutefois perturber les corrĂ©lations

    N° 64. — Étude des liaisons hydrogĂšne entre groupes hydroxylĂ©s et aminĂ©s

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    Les constantes de complexation de divers alcools et amines ont Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©es en solution dans le tĂ©trachlorure de carbone Ă  22 °C, par la mĂ©thode classique de spectrographie infrarouge. L’abaissement d’enthalpie libre correspondant Ă  la liaison hydrogĂšne est la somme de deux termes dont l’un ne dĂ©pend que de l’alcool et l’autre que de l’amine. D’autre part, l’on a comparĂ© Ă  partir de ces donnĂ©es et de celles de la littĂ©rature le logarithme des constantes de complexation KAa et la somme des logarithmes des constantes d’ionisation dans l’eau KiAet KAa de diverses molĂ©cules pourvues soit d’un groupement hydroxyle, soit d’un groupement aminĂ©. La diffĂ©rence D = log KAa — (log KiA + log Kia) s’établit aux environs de 20,4 lorsqu’aucun des groupements n’est reliĂ© Ă  un cycle benzĂ©nique. Par contre lorsque le groupement OH est reliĂ© Ă  un cycle, la diffĂ©rence D tombe Ă  16,10. Si c’est le groupement aminĂ© qui est en rapport avec un cycle Ă  Ă©lectrons π, la diffĂ©rence D remonte Ă  25,95. Lorsque les deux groupements sont reliĂ©s Ă  des cycles, les deux effets semblent se compenser. Ces Ă©carts sont expliquĂ©s par l’augmentation ou la diminution de l’énergie de rĂ©sonance des structures ioniques des cycles dans les complexes d’une part, dans les ions d’autre part

    Influence de la substitution dans les molécules organiques sur la liaison hydrogÚne

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    Par spectromĂ©trie infrarouge, nous avons dĂ©terminĂ© les dĂ©placements ΔΜ des frĂ©quences de vibration de valence O — H et les constantes K qui caractĂ©risent la complexation de diverses molĂ©cules organiques substituĂ©es. Les dĂ©terminations ont lieu Ă  27°C dans le tĂ©trachlorure de carbone. Les systĂšmes Ă©tudiĂ©s sont : 1) phĂ©nol + anilines substituĂ©es; 2) phĂ©nols substituĂ©s + aniline; 3) phĂ©nol + pyridines substituĂ©es; 4) phĂ©nols substituĂ©s + pyridine; 5) alcools aliphatiques + pyridine ; G) alcools aliphatiques + triĂ©thylamine.Si, en premiĂšre approximation, les quatre premiers systĂšmes sont caractĂ©risĂ©s par la relation linĂ©aire :log K = 0,008 ΔΜ — 2,1,il n’en est pas de mĂȘme pour les complexes des alcools, oĂč les coefficients angulaires sont plus Ă©levĂ©s (0,012) et oĂč les droites sont dĂ©calĂ©es l’une par rapport Ă  l’autre. Ce dĂ©calage est interprĂ©tĂ© par l’effet de l’encombrement stĂ©rique de l’azote dans la triĂ©thylamine.Dans les systĂšmes Ă©tudiĂ©s, l’influence du pKa du donneur de proton sur le dĂ©placement ΔΜ est sensiblement plus importante que celle du pKa de l’accepteur. Elle est Ă©galement plus importante dans le cas des phĂ©nols que dans le cas des alcools.En utilisant des relations du type de HAMMETT pour caractĂ©riser l’effet de la substitution dans les quatre premiers systĂšmes, on trouve respectivement : 1) ρ = —0,70; 2) ρ = 0,67 ; 3) ρ = — 1,37 ; 4) ρ = + 0,92. On en conclut que : 1° la substitution a plus d’effet sur la complexation des pyridines que sur celle des anilines : la liaison C — N qui sĂ©pare dans ce dernier cas la liaison hydrogĂšne du cycle aromatique, attĂ©nue les effets de la substitution ; 2° la substitution dans le noyau phĂ©nolique a une plus grande influence sur la complexation lorsque l’accepteur de proton est plus basique. En comparant ces chiffres aux ρi qui caractĂ©risent l’ionisation des corps dans l’eau, on peut conclure que, dans les systĂšmes Ă©tudiĂ©s, la substitution affecte la complexation dans le mĂȘme sens qu’elle influence l’ionisation de façon moins importante

    Étude de l’autoassociation des phĂ©nols par calorimĂ©trie et par partage entre le cyclohexane et l’eau

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    A partir des chaleurs de dilution dans le cyclohexane d’une part et des concentrations des phĂ©nols en Ă©quilibre entre le cyclohexane et l’eau d’autre part, on dĂ©duit divers paramĂštres caractĂ©ristiques de l’autoassociation des phĂ©nols dans le cyclohexane : fraction monomĂ©rique α1, degrĂ© moyen d’association [math], nombre de molĂ©cules par entitĂ© [math] et enthalpie moyenne d’association ΔHass. De ces mesures il apparaĂźt qu’il existe une nette tendance Ă  la cyclisation pour les associats de faible envergure pour le phĂ©nol et le Cl-4-phĂ©nol. Cette tendance est moins prononcĂ©e pour les dĂ©rivĂ©s mĂ©thylĂ©s du phĂ©nol. Les valeurs moyennes de ΔHass, sont respectivement : phĂ©nol : — 5,39 ± 0,10 kcal.mole–1 ; Me-2-phĂ©nol : — 4,66 ; Me-3-phĂ©nol: — 5,82; Me-4-phĂ©nol : — 6,10; Me2-2,6-phĂ©nol : — 3,46 ; Cl-4-phĂ©nol : — 5,12. Ces rĂ©sultats confirment les dĂ©ductions de Baron et Lumbroso-Bader concernant l’influence du pKa et de facteurs stĂ©riques sur ΔHass. Pour les phĂ©nols non encombrĂ©s [math] dĂ©passe deux Ă  la concentration de 0,2 moles par litre et dĂ©passe certainement la dizaine au-delĂ  de 1,25 moles par litre. Les valeurs moyennes des constantes d’association successives ÎșM ont Ă©tĂ© calculĂ©es Ă  partir de l’équation de Mecke-Kempter. Aux faibles concentrations elles augmentent avec celles-ci pour se stabiliser au-delĂ  de 2 moles par litre. Cette variation semble d’autant plus nette que la cyclisation des petits associats est plus importante. Aux fortes concentrations ÎșM obĂ©it approximativement Ă  l'Ă©quation : log ÎșM = — 2,07 + 0,30 pKa — 0,5 nartho.L’entropie d’association Δ[math] dĂ©pend de ΔHass., les points de cette fonction se situant sur la mĂȘme courbe que pour les anilines. Cet effet est interprĂ©tĂ© par le renforcement des restrictions d’orientation des partenaires lorsque les liens deviennent plus forts.Dans les phĂ©nols liquides Ă  la tempĂ©rature ordinaire le degrĂ© d’association serait trĂšs important (20 pour le Me-3-phĂ©nol) et la structure des chaĂźnes pourrait se rapprocher de celle des phĂ©nols Ă  l’état cristallin

    Étude dipolaire des complexes phĂ©nols-anilines

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    On a dĂ©terminĂ© les moments dipolaires d’une trentaine de complexes entre le phĂ©nol, le dichloro-3-5-phĂ©nol, le nitro-4 phĂ©nol d’une part et des anilines mĂ©thyl- et chloro-substituĂ©es d’autre part. A partir de ces valeurs expĂ©rimentales et de celles que l’on calculerait par additivitĂ© vectorielle des moments des partenaires dans diffĂ©rents modĂšles structuraux, on peut calculer l’incrĂ©ment dipolaire [math] qui correspond Ă  ces divers modĂšles. Une Ă©tude statistique montre que la structure oĂč les valeurs de Δ” sont les plus cohĂ©rentes pour les divers complexes du phĂ©nol Ă©tudiĂ©s est celle oĂč les deux molĂ©cules sont liĂ©es par un lien hydrogĂšne entre le groupe O — H du phĂ©nol et la paire Ă©lectronique de l’azote. Il existe une prĂ©dominance des conformations de rotation autour de ce lien oĂč les dipĂŽles individuels des deux molĂ©cules s’orientent de façon Ă  minimiser l’énergie. La valeur de Δ” reste de l’ordre de 0.3 D. Dans le cas des complexes des anilines avec des phĂ©nols d’aciditĂ© intermĂ©diaire (dichloro-3,5 et nitro-4 phĂ©nols), la liaison hydrogĂšne normale reste prĂ©pondĂ©rante. Les rĂ©sultats montrent aussi que les interactions entre les dipĂŽles individuels des molĂ©cules favorisent les conformations Ă©nergĂ©tiquement les plus stables. Un modĂšle est proposĂ© qui rend compte de cet effet

    Étude de la structure du butanol=n en solution par les coefficients de partage

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    On a mesurĂ© Ă  25 °C le coefficient de partage du butanol-n entre l’eau et plusieurs solvants organiques. Les mesures de concentration de l’alcool se font par interfĂ©romĂ©trie. On a Ă©galement dĂ©terminĂ© la composition et la densitĂ© de la phase organique Ă©quilibrĂ©e Ă  diverses concentrations en alcool.A partir des coefficients de partage il est possible de dĂ©duire pour la phase organique saturĂ©e en eau : la fraction monomĂ©rique α10, la fraction en entitĂ©s [Math] et par voie de consĂ©quence le nombre moyen de segments par entitĂ©s [math], le degrĂ© moyen d’association (nombre moyen de molĂ©cules auxquelles une molĂ©cule est associĂ©e, plus un) [Math].La comparaison de ces valeurs dans le cyclo-hexane, le tĂ©trachlorure de carbone et le benzĂšne montre que les interactions du solvant avec le butanol, qui concurrencent l’autoassociation, croissent dans cet ordre. Ce rĂ©sultat est confirmĂ© par les valeurs du coefficient de partage extrapolĂ© Ă  dilution infinie P1 qui sont respectivement 0,19; 0,36 et 0,65. La proportion numĂ©rique entre les molĂ©cules d’eau et d’alcool dans la phase organique croĂźt avec la concentration de l’alcool. Lorsque celle-ci est de 2 M, la proportion n’est que de un Ă  cinq. Dans ce cas la prĂ©sence de l’eau ne perturbe pas encore de façon importante l’auto-association de l’alcool. Cette hypothĂšse est confirmĂ©e par la concordance de [math] avec les mesures cryomĂ©triques de Dos Santos, P ineau et Josien. L’écart entre [math] et nw dĂ©montre la dispersion des molĂ©cules d’alcool dans des entitĂ©s de masse diffĂ©rente. La comparaison de [math] avec les valeurs de la fraction des entitĂ©s « ouvertes » Ă  O — H libre [Math], dĂ©duite des donnĂ©es IR et RMN montre que la proportion des chaĂźnes fermĂ©es ne cesse de croĂźtre avec la concentration.Pour concilier ce rĂ©sultat avec ceux de l’étude des moments dipolaires, il est nĂ©cessaire d’admettre que certaines chaĂźnes fermĂ©es prĂ©sentent un moment dipolaire important. Ceci peut s’expliquer par la fermeture de certaines chaĂźnes par le doublet Ă©lectronique, non encore utilisĂ©, d’un atome d’oxygĂšne non terminal

    Étude dipolaire des complexes de diverses stoechiomĂ©tries entre la diĂ©thylamine et des phĂ©nols

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    A l’aide d’une Ă©quation dĂ©rivĂ©e de la thĂ©orie d’Onsager, on a calculĂ© le carrĂ© des moments dipolaires expĂ©rimentaux des complexes formĂ©s par le 3,4-dimĂ©thyl phĂ©nol (I), le phĂ©nol (II) et le p-chlorophĂ©nol (III) avec la diĂ©thylamine. Les expĂ©riences ont Ă©tĂ© effectuĂ©es Ă  la tempĂ©rature de 25 °C, dans le cyclohexane. On a utilisĂ© une mĂ©thode dĂ©veloppĂ©e rĂ©cemment, qui permet, Ă  l’aide de mesures dipolaires, de prĂ©ciser l’importance de complexes prĂ©sentant des stoechiomĂ©tries variĂ©es. Dans le domaine de concentration oĂč la diffĂ©rence C3 — C2 entre la concentration formelle en amine et la concentration formelle en donneur de proton a une valeur situĂ©e entre 1 et 8 moles/litre et oĂč le rapport C2/C2 n ’excĂšde pas 0,4, on montre que la majoritĂ© des molĂ©cules de phĂ©nol est prĂ©sente sous forme de complexes ab ou ab2. Contrairement au butanol, la prĂ©sence de complexes a2b2 est nĂ©gligeable. Ceci est attribuĂ© Ă  la diminution du pouvoir accepteur de proton de l’atome d’oxygĂšne du phĂ©nol, comparĂ© Ă  celui du butanol. Dans les deux cas, la concentration en monomolĂ©cules et en complexes a2b est nĂ©gligeable. La faible tendance du phĂ©nol Ă  former avec la diĂ©thylamine des liaisons de type O ... H — N suggĂšre que dans les complexes ab, la formation de liaisons hydrogĂšne doubles n’est pas importante et que la liaison est linĂ©aire. On a dĂ©veloppĂ© une mĂ©thode d’extrapolation permettant de calculer le moment dipolaire ”ab du complexe de type ab. Les valeurs trouvĂ©es sont 2,79 D, 3,04 D et 4,11 D respectivement pour les systĂšmes I, II, III. En utilisant des valeurs acceptables des angles entre les molĂ©cules individuelles et la direction de la liaison hydrogĂšne, on a calculĂ© l’incrĂ©ment Δ”. Les valeurs trouvĂ©es sont 0,33 pour I, 0,61 pour II et 1,01 pour III et augmentent avec l’aciditĂ© des phĂ©nols. Les rĂ©sultats sont en bon accord avec ceux de Ratacjak et Sonczyk relatifs aux complexes de la triĂ©thylamine

    Endothermicity or exothermocicity of water alcohol mixtures

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    Excess enthalpies of mixtures of water with methanol, ethanol, 1- and 2-propanol, 1-, 2- and tert-butanol were determined by dilution calorimetry in the accessible range of mole fractions at 25°C. Ab initio RHF calculations were performed on the alcohols, their dimers and complexes with water. A full optimisation at the 6-31G level was used to obtain the properties of interest of these systems. The calculated H-bond energies are similar for all the studied alcohols. Nevertheless, a systematic stabilisation of the mixed dimers is found, especially for the secondary and tertiary alcohols. The formation of mixed H-bond chains is exothermic and does not follow the rules of the geometric mean. To a first approximation, the experimental excess enthalpies ΔHe for all the systems follow the equation The calorimetric results may be explained by the presence in water of two kinds of H-bonds differing by about 8.3 kJ mol−1 in energy. Upon dilution in water, the alcohol is inserted in a weak chain and renders the adjacent water-bond strong. As a consequence, the dilution of an alcohol in water is always exothermic. The dilution of water in an alcohol causes stabilisation of the H-bonds but has a negative effect on the non-specific cohesion. The effect of the non-specific forces increases in the homologous series, making the dissolution of water in the alcohols endothermic starting from propanol. The stabilisation of H-bonds formed by water at high dilution in the alcohols increases according to the sequence: primary < secondary < tertiary

    Étude dipolaire des complexes phĂ©nols-anilines

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    On a Ă©laborĂ© une mĂ©thode permettant le calcul de l’incrĂ©ment dipolaire ΔΌ dĂ» Ă  la complexation du dinitro-3,4 phĂ©nol par diverses anilines dans les cas oĂč des complexes abn peuvent Ă©galement se former. La valeur du ΔΌ dĂ©pend fortement du pK de la hase (de 1 Ă  9 D). Les fortes valeurs sont attribuĂ©es Ă  une formation importante de paires ioniques. Cette conclusion est confirmĂ©e d’autre part par des observations spectroscopiques. L’allure gĂ©nĂ©rale des courbes donnant ΔΌ ainsi calculĂ© en fonction de la diffĂ©rence pKaBH+ — pΚaΛΗ est du mĂȘme type que celle que trouvent Ratajczak et Sobczyk. Elles montrent que le passage de la prĂ©dominance de la liaison hydrogĂšne normale Ă  celle de la paire ionique s’effectue dans un domaine restreint de l’échelle des pK
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