533 research outputs found

    The Authors Reply, “as‐needed intravenous antihypertensive therapy and blood pressure control”

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    Peer Reviewedhttp://deepblue.lib.umich.edu/bitstream/2027.42/122423/1/jhm2565_am.pdfhttp://deepblue.lib.umich.edu/bitstream/2027.42/122423/2/jhm2565.pd

    Genotypes and phenotypes for apolipoprotein E and Alzheimer disease in the Honolulu-Asia aging study

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    BACKGROUND: The utility of apolipoprotein E (ApoE) type as an indicator of genetic susceptibility to Alzheimer disease (AD) depends on the reliability of typing. Although ApoE protein isoform phenotyping is generally assumed equivalent to genotyping from DNA, phenotype-genotype differences have been reported. METHODS: ApoE genotype and phenotype results were examined for 3564 older (ages 71-93 years) Japanese-American male participants of the Honolulu-Asia Aging Study, an ongoing population-based study of aging and dementia. RESULTS: Both methods demonstrated similar associations of ApoE type with AD: a direct association with ApoE4 and a less dramatic inverse association ApoE2. Advanced age did not appear to influence the ApoE4-AD association. The association with AD among ApoE4 homozygotes [odds ratio (OR) = 14.7] was higher than expected based on an observed OR of 2.0 in heterozygotes. Phenotype-genotype nonconcordance was more frequent for ApoE2 than for ApoE4. The ApoE2 phenotype occurred at a frequency of 7.9% vs a genotype frequency of 4.9%, corresponding to a probability of 56% that an individual with ApoE2 phenotype had the same genotype. CONCLUSIONS: Whereas E4 and E2 phenotypes and genotypes were comparably associated with AD, neither method would be expected to substantially improve the efficiency of case finding in the context of population screening beyond prediction based on age and education. Nonconcordance of phenotype and genotype was substantial for E2 and modest for E4 in this population. The ApoE4-AD association was independent of age

    Essais d'infection de l’Ɠuf de cane par Toxoplasma gondii

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    En rĂ©sumĂ©, les auteurs ont suivi la ponte, l’infection des Ɠufs et des organes internes chez 6 canes pondeuses, auxquelles il a Ă©tĂ© prĂ©alablement inoculĂ© dans la veine axillaire 30 Ă  60 millions de Toxoplasmes provenant d’une souche isolĂ©e d’un canard. L’inoculation des Toxoplasmes dans le sang arrĂȘta la ponte des 6 canes. Elles recommencĂšrent Ă  pondre 30 jours aprĂšs l’adminis tration du parasite. Les 37 Ɠufs pondus (mĂ©lange du blanc et du jaune) ont Ă©tĂ© administrĂ©s par la bouche Ă  la dose de 3 ml, Ă  37 C . citellus. AprĂšs 90 jours d’observation ils ont Ă©tĂ© sacrifiĂ©s et trouvĂ©s indemnes. Chez 5 canes sur 6 l’inoculation des Toxo plasmes dans la veine axillaire fut positive et le parasite a pu ĂȘtre isolĂ© par l’intermĂ©diaire de C. citellus mĂȘme 13 jours aprĂšs l’inter vention. Cependant, ni par l’examen microscopique direct des frottis de la rate, du foie, du poumon, du cerveau, de l’ovaire et de l’oviducte de ces canes sacrifiĂ©es 88 Ă  95 jours aprĂšs l’opĂ©ration, ni par C. citellus infectĂ©s avec des Ă©mulsions des organes mentionnĂ©s ci-dessus et par les Ɠufs le parasite n’a pu ĂȘtre dĂ©couvert

    Infection per os de la Pintade (Numida meleagris) avec la forme végétative et la forme kystique de Toxoplasma gondii

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    Simitch Tchédomir, Petrovitch Zl., Bordjochki A., Savin Z., Mikovitch Z. Infection per os de la Pintade (Numida meleagris) avec la forme végétative et la forme kystique de Toxoplasma gondii. In: Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France tome 118 n°1, 1965. pp. 31-32

    Infection expérimentale de la caille { Coturnix coturnix L.) per os, avec la forme végétative et la forme kystique de Toxoplasma gondii

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    Simitch Tchédomir, Petrovitch Zl., Bordjochki A., Savin Z., Mikovitch Z. Infection expérimentale de la Caille (Coturnix coturnix L.) per os, avec la forme végétative et la forme kystique de Toxoplasma gondii. In: Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France tome 118 n°1, 1965. pp. 27-29

    Infection de l’Ɠuf de poule par toxoplasma gondii

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    Simitch TchĂ©domir, Bordjochki A., Petrovitch Z. I., Savin Z., Mikovitch Z. Infection de l’Ɠuf de poule par toxoplasma gondii. In: Bulletin de l'AcadĂ©mie VĂ©tĂ©rinaire de France tome 119 n°1, 1966. pp. 47-51

    Infection Expérimentale du Dindon per os avec la Forme végétative et la forme kystique de Toxoplasma gondii

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    Simitch Tchédomir, Petrovitch Zl., Bordjochki A., Savin Z., Mikovitch Z. Infection expérimentale du Dindon per os avec la forme végétative et la forme kystique de Toxoplasma gondii. In: Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France tome 118 n°3, 1965. pp. 111-113

    Infection du cobaye par voie buccale avec Toxoplasma gondii

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    Simitch Tchédomir, Petrovitch Zl., Bordjochki A., Savin Z., Mikovitch Z., Guilhon J. Infection du Cobaye par voie buccale avec Toxoplasma gondii. In: Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France tome 118 n°8, 1965. pp. 329-331

    Infection naturelle du Porc des environs de Belgrade par Toxoplasma gondii et l’infection expĂ©rimentale des porcelets per os par le mĂȘme parasite

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    Simitch TchĂ©domir, Petrovitch Zl., Bordjochki A., Savin Z., Mikovitch J., Guilhon Jean. Infection naturelle du porc des environs de Belgrade par Toxoplasma gondii et l’infection expĂ©rimentale des Porcelets per os par le mĂȘme parasite. In: Bulletin de l'AcadĂ©mie VĂ©tĂ©rinaire de France tome 118 n°5, 1965. pp. 217-220

    Infection expérimentale du Hamster ( Cricetus cricetus) per os par la forme végétative et la forme kystique de Toxoplasma gondii

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    Dans ce travail, les auteurs ont Ă©tudiĂ© la rĂ©ceptivitĂ© du hamster (Cricetus cricetus) Ă  l’égard de Toxoplasma gondii (souche isolĂ©e du Dindon), administrĂ© per os, sĂ©parĂ©ment, sous la forme vĂ©gĂ©tative et sous la forme kystique. Chez aucun des 9 hamsters auxquels on a administrĂ© 35 millions de toxoplasmes, sous la forme vĂ©gĂ©tative, l’infection n’a rĂ©ussi. Chez les 9 hamsters auxquels on a administrĂ© la forme kystique de T. gondii et qui ont Ă©tĂ© sacrifiĂ©s le 17e jour l’infection a rĂ©ussi. D’aprĂšs les expĂ©riences mentionnĂ©es ci-dessus les auteurs concluent que l’infection du hamster rĂ©ussit seulement avec la forme kystique de T. gondii. Avec cette forme du parasite, ils ont infectĂ© 100 pour 100 des hamsters soumis Ă  l’expĂ©rience
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