109 research outputs found

    Mercury

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    Nickel et composés.

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    Le nickel, métal ubiquitaire, est utilisé dans l'acier inoxydable et de nombreux alliages (ferreux et non ferreux), pour le nickelage, ou encore la fabrication de batteries. Dans la population générale, non fumeuse, l'alimentation est la principale source d'absorption du nickel. En milieu professionnel, la principale voie de pénétration dans l'organisme est inhalatoire. Le taux d'absorption pulmonaire dépend essentiellement de la solubilité des dérivés et du diamètre aérodynamique des particules ; de façon schématique, les dérivés peu solubles sont retenus dans les poumons et les dérivés solubles sont rapidement absorbés et éliminés dans les urines. L'absorption systémique du nickel ne doit pas nécessairement être considérée comme un facteur critique en ce qui concerne les risques pour la santé. En effet, l'absorption percutanée du nickel est quantitativement mineure, mais c'est la voie d'exposition la plus significative pour l'effet néfaste le plus communément rapporté : la dermatite allergique, résultant essentiellement de l'action locale du nickel. Le nickel est l'allergène cutané le plus courant. Lors de l'inhalation, la rétention dans les voies respiratoires est également plus importante en termes de toxicité que l'absorption systémique, l'inhalation de certains composés du nickel pouvant causer le cancer du poumon, voire des fosses nasales. Le potentiel cancérogène du nickel varie en fonction de la spéciation des composés et de leur solubilité, mais on ne sait toujours pas avec certitude quels composés présentent un risque. L'exposition professionnelle aux composés peu solubles, particulièrement l'oxyde et le sous-sulfure de nickel, a été rendue responsable du développement de cancers du poumon et des cavités nasales. Certaines opérations engendrant une exposition aux composés solubles sont cependant également mises en cause. Il n'y a pas d'argument épidémiologique en faveur d'un effet cancérogène du nickel métallique. Il n'y a pas d'évidence d'un risque cancérogène suite à l'exposition orale au nickel. Le nickel tétracarbonyle présente une toxicité aiguë particulièrement élevée

    Nickel et ses composés

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    Grossesse et risques chimiques dans le secteur hospitalier

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    Chapter 1: General Principles.

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    Baryum et composés.

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    Le baryum est un métal lourd divalent, très réactif et inflammable ; des particules finement dispersées forment des mélanges explosifs dans l'air. Dans la nature, il existe essentiellement sous forme de barytine (BaSO4) et de withérite (BaCO3). Le baryum et ses composés ont de nombreuses applications, notamment dans l'industrie pétrolière, l'industrie chimique et le secteur des matières de charge. Les intoxications sont généralement aiguës et dues à l'ingestion accidentelle ou volontaire de certains composés. Leur capacité à libérer des ions Ba++ dans les fluides biologiques est un déterminant critique de leur toxicité. Les composés solubles tels que l'oxyde, le nitrate et le chlorure sont donc plus toxiques que les composés insolubles. Bien que BaCO3 ne soit pas soluble dans l'eau, en cas d'ingestion, des ions Ba2+ sont libérés dans l'estomac suite à sa solubilisation en milieu acide. Le sulfate, le chromate et le fluorure sont peu solubles dans l'eau. Le tableau clinique comporte nausées, vomissements, violentes douleurs abdominales accompagnées de diarrhées, de myoclonies, contractures douloureuses puis paralysie flasque, de troubles du rythme et de la conduction cardiaque. La mort survient généralement suite à un arrêt cardiorespiratoire. Le traitement est symptomatique. Les mécanismes d'action toxique du baryum ne sont pas totalement élucidés mais semblent essentiellement liés à une hypokaliémie de transfert et à la stimulation des fibres musculaires lisses, striées et cardiaques provoquées par les ions Ba2+. Chez l'animal, le système cardiovasculaire et le système nerveux sont les principales cibles en cas d'exposition aiguë (BaCl2). Ni les études expérimentales, ni les études épidémiologiques n'objectivent de façon consistante un effet de l'exposition prolongée sur la morbidité/mortalité cardiovasculaire. La néphrotoxicité, effet critique chez le rat exposé de façon chronique (BaCl2), n'est pas rapportée chez l'homme. L'inhalation prolongée de poussières de BaSO4 est susceptible d'entraîner une pneumoconiose bénigne, ou barytose. Sur la base des connaissances actuelles, le baryum n'est pas classé comme agent cancérogène, mutagène ou reprotoxique

    Cobalt.

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    Revue générale des risques chimiques en rapport avec la protection de la grossesse et de l'allaitement

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    Tungsten.

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    corecore