7 research outputs found
Observation des Marées aux débarquements - OBSDEB
The information system on fisheries at Ifremer has been launched in 2007 with the pilot project "ObsDEB". This project deals with the observations at landing by vessels less than 12 m long. The primary goal is to estimate the catch and effort levels of small scale fisheries by sampling landings. This poster summarizes the key results of this project.Le SIH de lâIfremer a lancĂ© en 2007 le projet pilote ObsDEB, portant sur l'observation des marĂ©es au dĂ©barquement des navires de moins de 12 mĂštres. Son objectif est d'estimer, par Ă©chantillonnage au dĂ©barquement, les niveaux d'effort de pĂȘche et de captures des "petits mĂ©tiers". Ce poster prĂ©sente les chiffres clĂ©s de ce projet
FICHES ESPĂCES. Les grands pĂ©lagiques pĂȘchĂ©s Ă La RĂ©union
Les prĂ©sentes fiches ont Ă©tĂ© conçues afin de transmettre des informations aux pĂȘcheurs professionnels sur la biologie des grands pĂ©lagiques pĂȘchĂ©s Ă La RĂ©union ainsi que leur exploitation dans lâocĂ©an Indien. Les donnĂ©es utilisĂ©es dans ce livret sont extraites de diffĂ©rents programmes menĂ©s par la DĂ©lĂ©gation OcĂ©an Indien de lâIfremer (ObsVENTE, ObsDEB, âŠ). Pour plus dâinformations, vous pouvez retrouver les rubriques du SIH et des projets de lâIfremer Ă lâadresse suivante : https://sih.ifremer.fr
Reproduction de l'hußtre creuse dans le Bassin d'Arcachon. Année 2013
Each summer, the IFREMER laboratory of Arcachon monitors, in the scope of an agreement with the Regional Conchological Comity of Arcachon, the reproduction of Pacific oysters in the Arcachon Bay. This monitoring aims to provide oyster farmers with information necessary to the spat collecting: - dates and amount of spawn, - larval development speed, - presence of the most evolved stages in the habitat (close to fixation). Reproduction is monitored from June to September, with plankton being sampled four times a week on different representative sites. Oyster larvae at different stages are counted. At the end of the reproduction period (September-October), larval recruitment on collectors is estimated via the counting of the spats collected, at various collection areas. Furthermore, the results gathered in the framework of the IFREMER âRESCOâ network are used to characterise the spawners' maturation in the spring preceding the reproduction period. This report presents the results of the 2013 reproduction season, and their interpretation through old data.Durant chaque saison estivale, le laboratoire IFREMER d'Arcachon rĂ©alise, dans le cadre d'une convention avec ComitĂ© RĂ©gional Conchylicole (CRC) Arcachon-Aquitaine, le suivi de la reproduction des huĂźtres creuses dans le Bassin d'Arcachon. Ce suivi a pour but de fournir aux ostrĂ©iculteurs les informations nĂ©cessaires Ă la mise en oeuvre du captage de naissains : - dates et importance des pontes, - vitesse de dĂ©veloppement des larves, - prĂ©sence dans le milieu des stades les plus Ă©voluĂ©s (proches de la fixation). Le suivi de la reproduction est rĂ©alisĂ© entre juin et septembre, des pĂȘches de plancton Ă©tant rĂ©alisĂ©es quatre fois par semaine dans diffĂ©rents sites reprĂ©sentatifs du Bassin. Les larves d'huĂźtres aux diffĂ©rents stades y sont dĂ©nombrĂ©es. A l'issue de la saison de reproduction (octobre-novembre), l'estimation du recrutement larvaire sur les collecteurs est effectuĂ©e par comptage des naissains captĂ©s sur un certain nombre de collecteurs (tuiles et coupelles) prĂ©levĂ©s dans les diffĂ©rents secteurs de captage. Par ailleurs, les rĂ©sultats obtenus dans le cadre du rĂ©seau « RESCO » de l'IFREMER sont utilisĂ©s pour caractĂ©riser la maturation des gĂ©niteurs au cours du printemps prĂ©cĂ©dant la saison de reproduction. Ce rapport prĂ©sente les rĂ©sultats de la saison de reproduction 2013, interprĂ©tĂ©s Ă la lumiĂšre des sĂ©ries de donnĂ©es anciennes
Reproduction de l'hußtre creuse dans le Bassin d'Arcachon. Année 2014
Each summer, the IFREMER laboratory of Arcachon monitors, in the scope of an agreement with the Regional Conchological Comity of Arcachon, the reproduction of Pacific oysters in the Arcachon Bay. This monitoring aims to provide oyster farmers with information necessary to the spat collecting: - dates and amount of spawn, - larval development speed, - presence of the most evolved stages in the habitat (close to fixation). Reproduction is monitored from June to September, with plankton being sampled four times a week on different representative sites. Oyster larvae at different stages are counted. At the end of the reproduction period (September-October), larval recruitment on collectors is estimated via the counting of the spats collected, at various collection areas. Furthermore, the results gathered in the framework of the IFREMER âRESCOâ network are used to characterise the spawners' maturation in the spring preceding the reproduction period. This report presents the results of the 2014 reproduction season, and their interpretation through old data.Durant chaque saison estivale, le laboratoire IFREMER d'Arcachon rĂ©alise, dans le cadre d'une convention avec ComitĂ© RĂ©gional Conchylicole (CRC) Arcachon-Aquitaine, le suivi de la reproduction des huĂźtres creuses dans le Bassin d'Arcachon. Ce suivi a pour but de fournir aux ostrĂ©iculteurs les informations nĂ©cessaires Ă la mise en oeuvre du captage de naissains : - dates et importance des pontes, - vitesse de dĂ©veloppement des larves, - prĂ©sence dans le milieu des stades les plus Ă©voluĂ©s (proches de la fixation). Le suivi de la reproduction est rĂ©alisĂ© entre juin et septembre, des pĂȘches de plancton Ă©tant rĂ©alisĂ©es quatre fois par semaine dans diffĂ©rents sites reprĂ©sentatifs du Bassin. Les larves d'huĂźtres aux diffĂ©rents stades y sont dĂ©nombrĂ©es. A l'issue de la saison de reproduction (octobre-novembre), l'estimation du recrutement larvaire sur les collecteurs est effectuĂ©e par comptage des naissains captĂ©s sur un certain nombre de collecteurs (tuiles et coupelles) prĂ©levĂ©s dans les diffĂ©rents secteurs de captage. Par ailleurs, les rĂ©sultats obtenus dans le cadre du rĂ©seau « RESCO » de l'IFREMER sont utilisĂ©s pour caractĂ©riser la maturation des gĂ©niteurs au cours du printemps prĂ©cĂ©dant la saison de reproduction. Ce rapport prĂ©sente les rĂ©sultats de la saison de reproduction 2014, interprĂ©tĂ©s Ă la lumiĂšre des sĂ©ries de donnĂ©es anciennes
Observer, Analyser et GĂ©rer la variabilitĂ© de la reproduction et du recrutement de lâhuĂźtre creuse en France : Le RĂ©seau Velyger. Rapport annuel 2014
La conchyliculture, et principalement lâĂ©levage de lâhuĂźtre creuse, Crassostrea gigas, constitue la principale activitĂ© aquacole française. Cette activitĂ© repose, en grande partie, sur le recrutement naturel de lâespĂšce qui assure 70% des besoins en jeunes huĂźtres (naissain) : cette activitĂ© de collecte sâappelle le captage. Les deux principaux centres de captage en France sont les bassins dâArcachon et de Marennes-OlĂ©ron. Or, depuis une dizaine d'annĂ©es, sur le bassin d'Arcachon, le captage devient trĂšs variable: Ă des annĂ©es de captage nul (par exemple les annĂ©es 2002, 2005, 2007) ou faible (2009, 2010, 2011) succĂšdent des annĂ©es excellentes voire plĂ©thoriques (les annĂ©es 2003, 2006, 2008, 2012, 2013). A Marennes-OlĂ©ron, cette variabilitĂ© existe, mais sâavĂšre beaucoup moins marquĂ©e. En outre, Ă la faveur du lent rĂ©chauffement des eaux, le captage peut dĂ©sormais se pratiquer de plus en plus vers le nord. Ainsi, la baie de Bourgneuf, mais aussi la rade de Brest sont devenues, depuis quelques annĂ©es, des secteurs oĂč un nombre croissant dâostrĂ©iculteurs pratiquent avec succĂšs le captage, mais avec, lĂ aussi, des irrĂ©gularitĂ©s dans le recrutement quâil convient de comprendre. Enfin, depuis la crise des mortalitĂ©s de 2008, il se dĂ©veloppe aussi sur lâĂ©tang de Thau une volontĂ© de pratiquer le captage. Afin de mieux comprendre les facteurs de variations du captage, lâIfremer a mis en place, Ă la demande du ComitĂ© National de la Conchyliculture, un rĂ©seau national de suivi de la reproduction : le RĂ©seau VELYGER. CrĂ©Ă© en 2008 sur fonds europĂ©ens et financĂ© dĂ©sormais par la Direction des PĂȘches Maritimes et de lâAquaculture, ce rĂ©seau apporte, chaque annĂ©e, sur les Ă©cosystĂšmes citĂ©s prĂ©cĂ©demment, une sĂ©rie dâindicateurs biologiques (maturation, fĂ©conditĂ©, date de ponte, abondance et survie larvaire, intensitĂ© du recrutement, survie du naissain) dont lâanalyse croisĂ©e avec des indicateurs hydrologiques et climatiques permet progressivement de mieux apprĂ©hender les causes de variabilitĂ© du recrutement de lâhuĂźtre creuse en France, modĂšle biologique et espĂšce clĂ© de la conchyliculture française. Ce rapport prĂ©sente donc les rĂ©sultats 2014 de ce rĂ©seau dâobservation et fait appel, pour la partie hydro-climatique, Ă des observations acquises par dâautres rĂ©seaux rĂ©gionaux et nationaux. Il dĂ©taille toutes les caractĂ©ristiques par secteur du cycle de reproduction de lâhuitre creuse : maturation et fĂ©conditĂ© des adultes, pĂ©riode de ponte, abondance et survie des larves, intensitĂ© du captage et mortalitĂ©s prĂ©coces. Il fournit ensuite une interprĂ©tation et une synthĂšse des rĂ©sultats 2014 par secteur et Ă la lueur des rĂ©sultats des annĂ©es antĂ©rieures. Ainsi, pour lâannĂ©e 2014, on retiendra les faits majeurs suivants :
âą Sur le plan hydro-climatique, cette annĂ©e se caractĂ©rise par un hiver et un printemps particuliĂšrement doux et humides, avec des Ă©pisodes de crues marquĂ©es sur la façade atlantique suivis dâun Ă©tĂ© ensoleillĂ© et relativement chaud (mais sans Ă©pisode caniculaire). On observe des dessalures importantes en fin dâhiver, puis un retour dans les normales au printemps. Le phytoplancton est relativement abondant de la rade de Brest aux pertuis Charentais et plutĂŽt dĂ©ficitaire dans le bassin dâArcachon et la lagune de Thau.
âą En termes de biologie, ces conditions hydro-climatiques se sont traduites, chez les populations dâhuĂźtres adultes, par des indices de condition gĂ©nĂ©ralement Ă©levĂ©s, avec toujours lâexistence dâun gradient Nord-Sud observĂ© chaque annĂ©e, corrĂ©lativement Ă la concentration en phytoplancton. En outre, lâexcĂ©dent thermique enregistrĂ© depuis lâhiver et tout au long du printemps sâest traduit par une ponte dĂ©s la mi juillet sur lâensemble des Ă©cosystĂšmes de la cĂŽte atlantique et encore plus prĂ©cocement dans la lagune de Thau.
âą GrĂące Ă des tempĂ©ratures trĂšs favorables en juillet et encore favorables en aoĂ»t, la plupart des cohortes larvaires observĂ©es ont eu une survie normale Ă bonne (e.g. 0.2 Ă 1.4 %), ce qui sâest gĂ©nĂ©ralement traduit par un captage modĂ©rĂ© Ă excellent voire exceptionnel dans certains cas bien prĂ©cis : la baie de Bourgneuf et le bassin dâArcachon. Par contre, en rade de Brest, le captage est en deçà des valeurs auxquelles on aurait pu sâattendre, et la question de lâeffet de certaines algues toxiques prĂ©sentes en abondance au cours de cette saison de reproduction est posĂ©e. Câest aussi le cas dans la lagune de Thau, mais sur cet Ă©cosystĂšme sans marĂ©e les aspects zootechniques liĂ©s Ă la gestion des collecteurs (localisation par rapport aux tables ostrĂ©icoles et technique dâexondation) constituent le facteur dĂ©terminant des performances du captage.
âą En consĂ©quence, lâannĂ©e 2014, se caractĂ©rise par un captage trĂšs variable gĂ©ographiquement : « faible Ă modĂ©rĂ© » en rade de Brest et dans la lagune de Thau (1 Ă 30 naissains/coupelle), modĂ©rĂ© dans les pertuis Charentais (~200 naissains/coupelle) et excellent Ă exceptionnel dans le bassin dâArcachon et en baie de Bourgneuf (de 200 Ă 2000 naissains/coupelle)
Observer, Analyser et GĂ©rer la variabilitĂ© de la reproduction et du recrutement de lâhuĂźtre creuse en France : Le RĂ©seau Velyger. Rapport annuel 2013
La conchyliculture, et principalement lâĂ©levage de lâhuĂźtre creuse, Crassostrea gigas, constitue la principale activitĂ© aquacole française. Cette activitĂ© repose, en grande partie, sur le recrutement naturel de lâespĂšce qui assure 70% des besoins en jeunes huĂźtres (naissain) : cette activitĂ© de collecte sâappelle le captage.
Les deux principaux centres de captage en France sont les bassins dâArcachon et de Marennes-OlĂ©ron. Or, depuis une dizaine d'annĂ©es, sur le bassin d'Arcachon, le captage devient trĂšs variable: Ă des annĂ©es de captage nul (par exemple les annĂ©es 2002, 2005, 2007) ou faible (2009, 2010, 2011) succĂšdent des annĂ©es excellentes voire plĂ©thoriques (les annĂ©es 2003, 2006, 2008, 2012, 2013). A Marennes-OlĂ©ron, cette variabilitĂ© existe, mais sâavĂšre beaucoup moins marquĂ©e. En outre, Ă la faveur du lent rĂ©chauffement des eaux, le captage peut dĂ©sormais se pratiquer de plus en plus vers le nord. Ainsi, la baie de Bourgneuf, mais aussi la rade de Brest sont devenues, depuis quelques annĂ©es, des secteurs oĂč un nombre croissant dâostrĂ©iculteurs pratiquent avec succĂšs le captage, mais avec, lĂ aussi, des irrĂ©gularitĂ©s dans le recrutement quâil convient de comprendre. Enfin, depuis la crise des mortalitĂ©s de 2008, il se dĂ©veloppe aussi sur lâĂ©tang de Thau une volontĂ© de pratiquer le captage.
Afin de mieux comprendre les facteurs de variations du captage, lâIfremer a mis en place, Ă la demande du ComitĂ© National de la Conchyliculture, un rĂ©seau national de suivi de la reproduction : le RĂ©seau VELYGER. CrĂ©Ă© en 2008 sur fonds europĂ©ens et financĂ© dĂ©sormais par la Direction des PĂȘches Maritimes et de lâAquaculture, ce rĂ©seau apporte, chaque annĂ©e, sur les Ă©cosystĂšmes citĂ©s prĂ©cĂ©demment, une sĂ©rie dâindicateurs biologiques (maturation, fĂ©conditĂ©, date de ponte, abondance et survie larvaire, intensitĂ© du recrutement, survie du naissain) dont lâanalyse croisĂ©e avec des indicateurs hydrologiques et climatiques permet progressivement de mieux apprĂ©hender les causes de variabilitĂ© du recrutement de lâhuĂźtre creuse en France, modĂšle biologique et espĂšce clĂ© de la conchyliculture française.
Ce rapport prĂ©sente donc les rĂ©sultats 2013 de ce rĂ©seau dâobservation et fait appel, pour la partie hydro-climatique, Ă des observations acquises par dâautres rĂ©seaux rĂ©gionaux et nationaux. Il dĂ©taille toutes les caractĂ©ristiques par secteur du cycle de reproduction de lâhuitre creuse : maturation et fĂ©conditĂ© des adultes, pĂ©riode de ponte, abondance et survie des larves, intensitĂ© du captage et mortalitĂ©s prĂ©coces. Il fournit ensuite une interprĂ©tation et une synthĂšse des rĂ©sultats 2013 par secteur et Ă la lueur des rĂ©sultats des annĂ©es antĂ©rieures.
Ainsi, pour lâannĂ©e 2013, on retiendra les faits majeurs suivants :
âą LâannĂ©e 2013 a Ă©tĂ© trĂšs contrastĂ©e. Un printemps particuliĂšrement frais et gĂ©nĂ©ralement humide (mois de juin inclus) a fait suite Ă un hiver tardif alors que lâĂ©tĂ© a Ă©tĂ© ensoleillĂ© et plutĂŽt chaud. Les concentrations en phytoplancton ont Ă©tĂ© dans les normes avec toujours lâexistence dâun gradient Nord-Sud : elles sont plutĂŽt Ă©levĂ©es en rade de Brest, baie de Bourgneuf et bassin de Marennes OlĂ©ron et plutĂŽt faible dans le bassin dâArcachon et lâĂ©tang de Thau. En outre, tout au long du printemps et jusquâau mois de juillet, les tempĂ©ratures de lâeau ont Ă©tĂ© toujours infĂ©rieures aux normales (exceptĂ© dans lâĂ©tang de Thau).
âą Ces conditions hydro-climatiques ont imprimĂ© un gradient dans la maturation et la fĂ©conditĂ© des huitres adultes avec un indice de condition trĂšs Ă©levĂ© en rade de Brest, en baie de Bourgneuf, et dans le bassin de Marennes OlĂ©ron et plutĂŽt faible dans le bassin dâArcachon et lâĂ©tang de Thau. En outre, le dĂ©ficit thermique marquĂ© jusquâen juillet sâest traduit par une ponte trĂšs tardive sur lâensemble des Ă©cosystĂšmes de la cĂŽte atlantique : par exemple, elle est survenue au 25 aoĂ»t en baie de Bourgneuf, ce qui constitue une valeur record. MalgrĂ© tout, quelques pontes partielles et asynchrones ont Ă©tĂ© observĂ©es sur certains Ă©cosystĂšmes en juillet.
âą GrĂące Ă des tempĂ©ratures trĂšs favorables en juillet et favorables en aoĂ»t, la plupart des cohortes larvaires prĂ©sentes Ă cette pĂ©riode (rade de Brest, bassin dâArcachon et Ă©tang de Thau) ont eu une survie normale Ă bonne (e.g. 0.2 Ă plus de 1 %), ce qui sâest traduit par un captage bon Ă excellent, avec une forte variabilitĂ© dans lâĂ©tang de Thau (cf paragraphe ci-dessous). Par contre, pour la baie de Bourgneuf et les pertuis Charentais, lâarrivĂ©e trop tardive des larves Ă la fin aoĂ»t dans une eau fraiche (< 20°C) nâa pas permis une survie favorable (autour de 0.01 %) ce qui sâest traduit par un captage tout juste modĂ©rĂ©, faible voir nul selon les secteurs.
âą En consĂ©quence, lâannĂ©e 2013, se caractĂ©rise par un captage trĂšs variable gĂ©ographiquement : « bon voire excellent » en rade de Brest (de 138 Ă 245 naissains/coupelle) et dans le bassin dâArcachon (de 177 Ă 429 naissains/coupelle), modĂ©rĂ© dans le bassin de Marennes-OlĂ©ron (de 25 Ă 52 naissains/coupelle) et faible en baie de Bourgneuf (< 5 naissains/coupelle).
Ce rapport montre aussi que lâĂ©tang de Thau joue un rĂŽle dâexception. MalgrĂ© une ponte dâintensitĂ© normale, des abondances de larves Ă©levĂ©es et une bonne survie des cohortes, le captage 2013 y est trĂšs variable ce qui positionne lâĂ©tang de Thau en dehors du modĂšle de fonctionnement admis pour le cycle de reproduction de lâhuĂźtre creuse sur la façade atlantique. Il semble que, sur ce site, la mĂ©tamorphose constitue un verrou biologique qui peut ĂȘtre levĂ© en utilisant des pratiques zootechniques adaptĂ©es Ă ce site particulier. Cette optimisation des pratiques zootechniques fait lâobjet dâun projet rĂ©gional : le projet PRONAMED
A multi-element psychosocial intervention for early psychosis (GET UP PIANO TRIAL) conducted in a catchment area of 10 million inhabitants: study protocol for a pragmatic cluster randomized controlled trial
Multi-element interventions for first-episode psychosis (FEP) are promising, but have mostly been conducted in non-epidemiologically representative samples, thereby raising the risk of underestimating the complexities involved in treating FEP in 'real-world' services