57 research outputs found

    Nouvelles données sur l’architecture domestique du Néolithique final : le bâtiment d’Houdain (Pas-de-Calais), première approche

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    Marquise (Pas-de-Calais), Le Guindal - McDonalds: Rapport final d’opération de diagnostic

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    Les informations recueillies lors de ce diagnostic permettent de compléter les données obtenues lors des opérations adjacentes, notamment celles du diagnostic de 2009, situé immédiatement au nord (Leriche 2009), et des interventions réalisées en 2014 et 2021 (Merkenbreack et al. 2014 ; Merkenbreack et al. 2021).L’occupation domestique repérée lors du diagnostic de 2009 se trouve ainsi enrichie d’au moins deux nouvelles fosses et d’un fossé, qui semble marquer la limite méridionale de cette installation de La Tène finale. Vers l’est, le diagnostic du Guindal réalisé en 2021 n’a pas permis de mettre en évidence de structures du second âge du Fer (Merkenbreack et al. 2021). En revanche, le diagnostic mené sur la Plaine du Canet a permis la découverte, à environ 500 m à l’est de notre intervention, d’un habitat associé à un espace funéraire datés de La Tène finale (Merkenbreack et al. 2014). Cette occupation, potentiellement contemporaine de l’installation du Guindal, illustreun maillage dense des sites archéologiques de Marquise, et ce, dès la fin de la période laténienne. Vers l’ouest, aucune information archéologique ne permet de compléter ces résultats à proximité immédiate du diagnostic. Au plus proche, les opérations réalisées le long de l’avenue Ferber à moins de 200 m de notre emprise montrent l’absence d’une installation structurée avant la période augustéenne (Maniez 2012a ; Maniez 2012b).Les résultats de ce diagnostic, mis en perspective avec l’ensemble des informations archéologiques disponibles sur Marquise, soulignent une nouvelle fois le déplacement vers l’ouest de l’occupation domestique entre La Tène finale et le Haut-Empire (Maniez, Merkenbreack 2020)

    Une fosse du premier Âge du fer à Monchy-au-Bois "Le Chevalet" (Pas-de-Calais) : présentation générale et étude technologique de la céramique

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    Verton (Pas-de-Calais), Rue de Waben - RD 143: Rapport final d’opération de diagnostic

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    La Direction de l’Archéologie du Pas-de-Calais a procédé en novembre 2021 à un diagnostic sur l’emprise d’un projet de construction d’une plateforme de déchets verts par la CA2BM à Verton, sous la responsabilité d’Élisabeth Panloups. La zone concernée par le futur aménagement est située au sud de la commune. Elle est bornée à l’ouest par la RD 143 et à l’est par la voie ferrée. L’emprise est située à l’emplacement d’une paléo-falaise soulignant une ancienne ligne de rivage pléistocène.Le projet s’étend sur 23 420 m². 7 tranchées ont été réalisées, représentant 8 % de la surface prescrite.Aucun vestige archéologique n’a été identifié lors du diagnostic. La partie sud de l’emprise, déjà concernée par la déchèterie actuelle, est également impactée par d’imposantes fosses à gravats creusées et comblées au début du XXIe siècle

    Evolution d’un habitat à travers l’étude de trois bâtiments de la fin du Néolithique : premiers résultats de la fouille de Rebreuve-Ranchicourt (Pas-de-Calais)

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    Campagne-Lès-Hesdin (Pas-de-Calais), « ZA Le Champ du Fresne »: Rapport final d’opération de diagnostic

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    Le diagnostic est situé au sud-ouest de la commune, le long de la RD 129, correspondant à l’ancienne chaussée Brunehaut médiévale et voie romaine Samarobriva - Bononia reliant Amiens à Boulogne. Un enclos incomplet a été mis en évidence aux abords de cet axe de circulation, daté entre la fin de La Tène et le début de l’époque gallo-romaine. Même s’il se développe hors emprise, l’angle nord de l’établissement a été appréhendé, associé à de nombreux fossés témoignant de partitions internes et/ou d’une succession d’occupations. Une concentration importante de fosses a également été mise au jour à l’intérieur et à proximité immédiate de l’enclos, révélant une stratigraphie complexe de structures préexistantes à l’établissement-enclos et d’autres potentiellement contemporaines. Le mobilier recueilli dans le comblement de ces structures n’a pas permis de définir leurs fonctions respectives. Ainsi, les différentes activités domestiques, agricoles ou artisanales ayant pris place au sein de l’enclos n’ont pu être caractérisées. De même, l’organisation et la chronologie précise de cette occupation restent à affiner, tout comme la relation entretenue entre l’établissement et la voirie.Tout comme sur l’ensemble des opérations archéologiques menées à proximité, notre emprise est affectée par une importante activité d’extraction, probablement d’origine médiévale. L’un des puits testé a été creusé jusqu’au substrat, permettant de supposer l’acquisition de craie par les carriers

    Lisbourg (Pas-de-Calais), Rue du Prieuré: Rapport final d’opération de diagnostic

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    Le diagnostic archéologique des abords de l’église Saint Omer de Lisbourg, dans le prolongement de la rue du Prieuré, portant sur une emprise de 2600 m², a révélé une occupation médiévale et moderne dense et stratifiée, dont les premiers éléments datés remontent au XIIIe siècle. Les vestiges découverts se concentrent sur une surface d’environ 1000 m² au sud de l’emprise prescrite.A l’emplacement de l’église Saint Omer s’élevait à la période médiévale la chapelle du prieuré. Les offices religieux y ont été transférés suite à la destruction de l’église du Vieil Âtre par les armées de Charles Quint à la fin du XVIe siècle. La chapelle est agrandie au XVIIe siècle, devenant l’actuelle église Saint Omer. Le presbytère a probablement été construit de manière plus ou moins concomitante avec le nouvelle édifice religieux dans le courant du XVIIe siècle également. Cette proposition est confortée par la découverte d’une inscription « 1684 » lisible dans la cave du presbytère.Il semblerait ainsi que le village et l’église primitifs de Lisbourg se situaient à environ un kilomètre au sud du bourg actuel, au Vieil Âtre. Entièrement détruits, ils se sont déplacés à la fin du XVIe siècle vers leur emplacement actuel, à proximité de la source, là où ne s’élevait, a priori, que le prieuré. Les vestiges bâtis découverts lors du diagnostic revêtent ainsi une fonction religieuse probable, relevant d’une communauté établie aux sources de la Lys au moins depuis le XIIIe siècle.La rareté des sources historiques conservée et la probable disparition des documents cartographiques rendent encore plus précieux ces vestiges archéologiques, dernières témoins du prieuré de Lisbourg. L’étude approfondie de ces vestiges permettrait de mieux appréhender le cadre chronologique de fondation et de développement du prieuré médiéval, ainsi que le mode de vie de la confrérie qui s’y était établie

    Marquise, Le Guindal - Parcelles AM 742, 744, 751, 752, 732p, 736p: Rapport final d’opération de diagnostic

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    L’opération de diagnostic réalisée au lieu-dit Le Guindal, au sein des parcelles AM 742, 744, 751,752, 732p et 736p, sur une surface de 22 918 m², a révélé des vestiges s’échelonnant du Néolithique à nos jours. Notons qu’une partie du terrain était inaccessible, ce qui porte la superficie réelle pour l’intervention à 19 940 m². Dix tranchées ont été réalisées ainsi que deux fenêtres pour une superficie correspondant à 10,7 % de la surface prescrite. Les découvertes sont caractérisées par une dépression karstique ayant piégé du mobilier du Néolithique, un fossé circulaire protohistorique ainsi qu’une série de fosses et fossés datés de la période romaine. Le secteur a déjà fait l’objet de nombreuses interventions archéologiques préventives, tant de diagnostics que de fouilles. À proximité immédiate de la présente intervention, rappelons le diagnostic de la Plaine du Canet directement à l’est (Merkenbreack et al. 2014) et les fouilles menées le long de l’avenue Ferber sur le Mont de Cappe, juste à l’ouest (Maniez et al. 2012aet b ; Merkenbreack et al. 2019)

    Marquise (Pas-de-Calais), Parc d’Activités des 2 Caps - Tranche 4: Rapport final d’opération de diagnostic

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    La Direction de l’Archéologie du Pas-de-Calais a procédé en octobre 2021 à un diagnostic sur l’emprise du projet d’extension du Parc d’Activités des 2 Caps à Marquise, sous la responsabilité d’Élisabeth Panloups. La zone concernée par le futur aménagement est située au nord-est de la commune, immédiatement au sud de la RD 231. Le diagnostic s’inscrit en haut de versant exposé au sud-ouest, où les marnes et argiles caractéristiques du groupe de Le Waast sont sub-affleurantes.Le projet s’étend sur 11 489 m². 4 tranchées ont été réalisées, représentant 14,73 % de la surface prescrite.Les informations recueillies lors de ce diagnostic permettent de compléter modestement les données obtenues lors des opérations antérieures adjacentes. La présence de vestiges gallo-romains est toujours attestée dans cette partie de la commune de Marquise, la plus orientale diagnostiquée jusqu’à présent
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