135 research outputs found

    Measurement of the B0^0 and B+^+ meson lifetimes with fully reconstructed hadronic final states

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    The B0 and B+ meson lifetimes have been measured in e+e- annihilation data collected in 1999 and 2000 with the BABAR detector at center-of-mass energies near the Upsilon(4S) resonance. Events are selected in which one B meson is fully reconstructed in a hadronic final state while the second B meson is reconstructed inclusively. A combined fit to the B0 and the B+ decay time difference distributions yields tau_{B0} = 1.546 +/- 0.032 (stat) +/- 0.022(syst) ps, tau_{B+} = 1.673 +/- 0.032 (stat) +/- 0.023 (syst) ps and tau_{B+} / tau_{B0} = 1.082 +/- 0.026 (stat) +/- 0.012 (syst

    Communisme : il est mort !

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    Pfefferkorn Roland. Communisme : il est mort !. In: Raison présente, n°136, 4e trimestre 2000. Mythologies du XXIè siècle. pp. 15-18

    Filles-littéraires versus garçons-scientifiques La construction sociale du goût pour les sciences.

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    International audiencePrès de deux garçons sur trois obtiennent un bac scientifique contre seulement deux filles sur cinq. Les filles représentent moins d'un tiers des effectifs des classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques. Le clivage essentiel entre garçons et filles? Les mathématiques répète, à l'envi, le sens commun, données statistiques à l'appui. Si l'on écarte les pseudo-explications reposant sur le stéréotype du déficit biologique ou sur celui de l'inaptitude acquise (1), comment interpréter cette sous-représentation des femmes dans certaines formations scientifiques, notamment dans celles de haut niveau? Les disparités de réussite entre filles et garçons, selon les disciplines scolaires, n'expliquent pas les différences d'orientation. Au lycée comme dans l'enseignement supérieur, de nombreuses recherches montrent que les orientations des garçons et des filles sont sans rapport direct avec leur niveau scolaire dans les différentes matières. En particulier, dans le primaire et le secondaire, où l'on n'observe pas d'écarts en faveur des garçons dans les évaluations du niveau des élèves en mathématiques. Filières scolaires fortement sexuées Officiellement mixte, le système scolaire français reste constitué de nombreuses filières fortement sexuées. Aussi bien dans l'enseignement général et technologique que dans l'enseignement professionnel, dans le secondaire comme dans le supérieur. La mixité équilibrée des filières n'est toujours pas atteinte, malgré des progrès dans certains secteurs – médecine, droit, études commerciales notamment. Même si les écarts ont eu tendance à se réduire au cours des dernières décennies, ce clivage sexué, filières « littéraires » versus filières «scientifiques», se retrouve à tous les niveaux du lycée et de l'enseignement supérieur. Cette situation résulte d'un phénomène d'érosion des filles tout au long du cursus «d'ex-cellence» qui accorde une place centrale aux mathématiques. Les filles sont encore majoritaires (2) et meilleures élèves en classes de seconde, aussi bien en français qu'en mathématiques. Mais elles ne sont plus que 45 % en première scientifique et 30 % dans les classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques (cf. encadré). Comment s'étonner, dans ces conditions, que les femmes ne représentent qu'une minorité des ingénieures ou des chercheuses? La sous-représentation des jeunes filles varie très fortement selon les disciplines scientifiques. Considérable en mathématiques, physique, informatique ou dans la plupart des disciplines industrielles, elle est bien moindre sinon inexistante en biologie, agronomie, chimie ou dans les formations scientifiques médicales et para-médicales – médecine, dentaire, pharmacie, vétérinaire, etc. Dans ces filières, les filles sont désormais largement majoritaires, bien que la sélection, fondée sur les mathématiques, se soit accrue

    Vers l'égalité de fait entre les hommes et les femmes ? Des avancées certaines qui restent à consolider et à approfondir

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    International audienceDepuis quelques décennies les transformations intervenues dans les rapports entre hommes et femmes ont été considérables. Il suffit de comparer la situation des femmes d’aujourd’hui, quel que soit leur âge, avec celle de leurs homologues de la fin des années 50 pour mesurer le chemin parcouru. Les avancées effectives en termes de maîtrise de la fécondité, de droit de disposer de leur corps, de développement de la scolarisation ou d’accès à un emploi ont contribué à changer la place des femmes dans la plupart des sociétés et à accroître leur autonomie. Même si nous sommes toujours loin de l’égalité de fait entre hommes et femmes, même si la marche en avant est d’ampleur très variable selon les régions ou les milieux sociaux, et même si les freins, voire les vents contraires, ne manquent pas de se manifester, la progression dans cette direction est indéniable, notamment au sein des sociétés européennes et nord-américaines

    Travail sous pression et contrôle social

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    Pfefferkorn Roland. Travail sous pression et contrôle social. In: Raison présente, n°188, 4e trimestre 2013. Croyance et connaissance. pp. 132-135

    Michel Verret, Un regard sur le monde ouvrier

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    Pfefferkorn Roland. Michel Verret, Un regard sur le monde ouvrier. In: Raison présente, n°133, 1er trimestre 2000. Plus à gauche…. pp. 141-144

    Le statut scolaire d'exception d'Alsace-Moselle

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    Pfefferkorn Roland. Le statut scolaire d'exception d'Alsace-Moselle. In: Raison présente, n°149-150, 1er trimestre 2004. Une laïcité pour l'avenir. pp. 123-147

    Capitulation et forfaiture

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    Pfefferkorn Roland. Capitulation et forfaiture. In: Raison présente, n°187, 3e trimestre 2013. Figures de spectateur. pp. 126-130

    RAPPORTS DE RACISATION, DE CLASSE, DE SEXE

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    International audienceDans la présente contribution, notre propos vise principalement à sou-ligner l'intérêt du concept de rapport social 1 — notamment par rapport à la notion molle et passe-partout de lien social — et la nécessité d'arti-culer les différents rapports sociaux, en premier lieu les rapports de classe et les rapports de sexe, sans oublier cependant les rapports de génération et, davantage encore, les rapports ethniques, ou plus précisément, les rapports de " race " ou de racisation. Par le mot " race " , nous renvoyons à la construction théorique maintenant classique de Colette Guillaumin, énoncée dès 1972 2. Dans sa perspective ce n'est pas la " race " qui est à l'origine du racisme, mais bien le racisme qui produit la " race ". L'intérêt du néologisme racisation tient précisément au fait qu'il permet d'insister sur cette production sociale de la " race " et sur sa dimension dynamique. La " race " , en effet, n'est pas un préalable au rapport social, mais bien son produit. Autrement dit, pour reprendre les termes de Véronique De Rudder, « c'est le racisme qui précède la race, l'invente et la fait exister socialement »
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