Cantacaderinae de Tha\uefland, Born\ue9o et Palawan: Genres nouveaux, esp\ue8ces nouvelles ou int\ue9ressantes ainsi qu\u27une nouvelle synonymie (Hemiptera, Tingidae)

Volume: 98Start Page: 33End Page: 5

Quatre esp\ue8ces nouvelles de Cantacaderinae du nord de l\u27Inde, repr\ue9sentant trois genres nouveaux (Hemiptera Tingidae)

Volume: 88Start Page: 595End Page: 60

Requete relative a l\u27espece-type du genre Campylosteira Fieber, 1844 (Hemiptera, Tingidae). Z.N. (S.) 2193

Volume: 34Start Page: 98End Page: 10

H\ue9mipt\ue8res Tingidae du nord de Born\ue9o et de l\u27\ueele de Palawan (Philippines)

Volume: 93Start Page: 647End Page: 66

Trois esp\ue8ces nouvelles de Tingidae du Nord-Pakistan et du N\ue9pal (Hemiptera)

Volume: 92Start Page: 675End Page: 68

Comments on the proposed designation of a type species for Berytus Fabricius, 1803 (Insecta, Heteroptera). Z. N. (S.) 2464 (see vol. 42, pp. 293-295)

Volume: 43Start Page: 119End Page: 12

« Les surrégénérateurs seront-ils indispensables entre les réacteurs thermiques et la fusion ? »

Si les réacteurs nucléaires de fission à neutrons thermiques ont atteint actuellement leur maturité technique, notamment dans les filières à eau légère, le domaine de la fusion, par contre, ne semble pas exploitable avant la fin du siècle. Les deux développements ne peuvent guère être comparés, le domaine de la fission étant, en effet, caractérisé par des phénomènes de base relativement simples. Deux réactions principales représentent deux étapes successives dans la maîtrise de la fusion : ce sont les réactions deutérium sur tritium (DT) et deutérium sur deutérium (DD). Mais, pourquoi chercher d'autres réactions nucléaires plus complexes alors que celle de la fission est, d'ores et déjà, parfaitement maîtrisée ? C'est que, d'une part, les ressources mondiales en uranium ne sont pas illimitées et que, d'autre part, le rendement des réactions de fission est relativement bas, tant qu'on ne sait utiliser de ce combustible qu'une fraction, en général un centième. Le développement de la filière des réacteurs surrégénérateurs à neutrons rapides, dans laquelle la France a acquis une position de leader, répond à cette préoccupation, étant donné l'excellent coefficient d'utilisation de l'uranium qu'ils permettent, sans présenter des inconvénients accrus par rapport à ceux des autres filières. Le grand débat du jour porte sur la place qu'il convient de leur attribuer à côté de la fusion dans la recherche des solutions d'avenir et sur l'effort à consentir en vue de leur développement