15 research outputs found

    Screening out irrelevant cell-based models of disease

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    The common and persistent failures to translate promising preclinical drug candidates into clinical success highlight the limited effectiveness of disease models currently used in drug discovery. An apparent reluctance to explore and adopt alternative cell-and tissue-based model systems, coupled with a detachment from clinical practice during assay validation, contributes to ineffective translational research. To help address these issues and stimulate debate, here we propose a set of principles to facilitate the definition and development of disease-relevant assays, and we discuss new opportunities for exploiting the latest advances in cell-based assay technologies in drug discovery, including induced pluripotent stem cells, three-dimensional (3D) co-culture and organ-on-a-chip systems, complemented by advances in single-cell imaging and gene editing technologies. Funding to support precompetitive, multidisciplinary collaborations to develop novel preclinical models and cell-based screening technologies could have a key role in improving their clinical relevance, and ultimately increase clinical success rates

    Wittgenstein et la premiĂšre personne

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    Éliminer « je » ? Un des textes les plus spectaculaires et connus de Wittgenstein sur le pronom de la premiĂšre personne est le paragraphe 58 des Remarques philosophiques, oĂč il imagine une « tyrannie orientale » qui n’aurait pas l’usage de « je ». Le langage de cette communautĂ© est Ă  la fois impersonnel et monocentré : d’une part, les verbes psychologiques n’ont pas de sujet mais sont rendus par des tournures de type « il y a X » ou « ça X-e » (« ça pense », « il y a douleur » ) ; d’autre par..

    Agir et penser. Essais sur la philosophie d'Elizabeth Anscombe

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    Qu'est-ce qu’agir dans une certaine intention ? Comment faire la diffĂ©rence entre agir intentionnellement d’une part, et provoquer quelque chose sans en avoir l’intention d’autre part ? Faut-il penser l’intention comme une idĂ©e d’action que nous formons avant d’agir, ou bien comme une forme et un sens qui se dĂ©gagent dans l’action elle-mĂȘme ? La pensĂ©e pratique est-elle de mĂȘme nature que la pensĂ©e thĂ©orique ? Ou bien est-ce seulement dans l’action que se conçoit et se dĂ©finit une pensĂ©e pratique proprement humaine ? Tel est le noyau des questions abordĂ©es dans ce collectif critique consacrĂ© Ă  l’Ɠuvre d’Elizabeth Anscombe (1919-2001), philosophe majeure du XXĂšme siĂšcle et nĂ©anmoins aujourd’hui encore, mĂ©connue. D’autres questions non moins intĂ©ressantes s’articulent autour de ce premier noyau, notamment : en quel sens la perception est-elle intentionnelle ? Du point de vue logique, une action est-elle un prĂ©dicat comme un autre, ou bien sa forme verbale est-elle irrĂ©ductible – auquel cas les phrases d’action poseraient un sĂ©rieux problĂšme aux logiques tant classiques que post-frĂ©gĂ©ennes ? Le plaisir est-il un bien ? Un choix pleinement rationnel peut-il ĂȘtre libre ? Dire « je », est-ce faire rĂ©fĂ©rence Ă  une personne en particulier ? Une action involontaire peut-elle ĂȘtre rationnelle ? PrĂ©cĂ©dĂ©s d’un avant-propos de Vincent Descombes qui revient sur la « mĂ©taphysique » et la mĂ©thode d’Anscombe, les essais rĂ©unis ici forment, d’une part, une introduction critique Ă  la pensĂ©e riche, incisive et toujours radicale d’Anscombe sur toute une variĂ©tĂ© de questions pĂ©rennes de la philosophie. D’autre part, notamment pour les lecteurs familiers de la philosophie anglo-saxonne, ces essais entreprennent de confronter les positions et les arguments d’Anscombe Ă  des problĂ©matiques tout Ă  fait contemporaines et de penser Ă  partir, mais pas toujours avec, la philosophe d’Oxford. OĂč l’on pourra constater que nous avons beaucoup Ă  apprendre et Ă  penser par celle que l’on ne connaĂźt souvent que comme exĂ©cutrice testamentaire et traductrice de Wittgenstein, alors qu’elle fut aussi et surtout une philosophe de plein droit, et de tout premier ordre

    L'intentionnalité pratique entre causes et raisons

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    Qu'est-ce qu'une action intentionnelle? Quel est le rapport entre intentionnalitĂ©, rationalitĂ© et raisons d'agir? La discussion des causes et des raisons en philosophie de l'action est brouillĂ©e: la vraie question n'est pas la relation, causale ou non, entre intention et action ; mais savoir si ce qui rend une action intentionnelle est un fait naturel, ou une forme linguistique. Or on ne peut agir intentionnellement sans maĂźtriser la description de son action. L'intention doit ĂȘtre soigneusement distinguĂ©e de la volontĂ© motrice: l'intention n'est pas l'initiation d'un mouvement mais une pensĂ©e d'action en premiĂšre personne, une connaissance pratique (Anscombe). La vĂ©ritable origine de l'antinomie des causes et des raisons est l'asymĂ©trie des verbes psychologiques (Wittgenstein), dont les verbes d'action font partie. L'explication causale est un point de vue de troisiĂšme personne, alors que le point de vue des raisons est en premiĂšre personne. Leur confusion mĂšne Ă  des erreurs massives sur la rationalitĂ© pratique. C'est surtout dans le domaine de la psychologie morale que la dispute des causes et des raisons prend sens: elle Ă©claire la question du rapport entre motivation et raison d'agir. Le raisonnement pratique dĂ©bouche sur l'action donc motive, mais sa principale caractĂ©ristique est sa dĂ©faisabilitĂ© : aucune raison n'est absolue, donc pourquoi la suivre? Diverses formes de scepticisme sont envisagĂ©es. On aboutit Ă  la conclusion qu'il y a bien une infĂ©rence pratique, dans laquelle raison et volontĂ© viennent se tondre (Aristote). L'infĂ©rence pratique est matĂ©rielle et non tonnelle. On jette enfin les bases d'une thĂ©orie expressiviste du raisonnement pratique.What is an intentional action? How do intentionality, rationality and having a reason to act relate? The debate between reasons and causes is badly put: the real question is not whether the relationship between intention and action is causal or not, but whether what makes an action intentional is a natural fact, or a form of description (Anscombe). Acting intentionally does require possession of the description under which the action is intentional, so intentional action is best approached by reasons. Having an intention is not willing: the intention is not the start of action, but a first-personal action-thought or -'practical knowledge." The antinomy between reasons and causes really stems from the asymmetry of psychological verbs (Wittgenstein). For action verbs too are psychological verbs, even though they relate to happenings that take place outside our bodies. Causal explanations of action are typically third-personal, whereas reasons are always first-personal. Confusions between theses two standpoints lead to tremendous errors on the nature of practical rationality. The distinction between reasons and causes really becomes insightful when applied to moral psychology: it sheds light on the question of reason and motivation. Practical reasoning leads to action, and therefore motivates; but it is also defeasible (or non-monotonic). If reasons for action never are complete, why act on them? Various forms of skepticism are envisioned. I conclude that practical reasoning is a genuine form of inference, but a material, not a formaI one, in which will and intelligence melt (Aristotle). I finally advocate an expressivist account of practical reasoning.PARIS3-BU (751052102) / SudocPARIS-Fondation MSH (751062301) / SudocSudocFranceF

    Nelson Goodman, "La structure de l'apparence". Traduction.

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    Traduction de l'ouvrage de Nelson Goodman, "La structure de l'apparence"

    Type I vs. quasi-type II modulation in CdSe@CdS tetrapods: ramifications for noble metal tipping

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    We report on noble metal tipping of heterostructured nanocrystals (NCs) of CdSe@CdS tetrapods (TPs) as a chemical reaction to manifest energetic differences between type I and quasi-type II heterojunctions. The energetics between zincblende (ZB) CdSe seed and wurtzite CdS TP arms has previously been probed primarily using ultrafast spectroscopic methods. However, to interrogate the energetics of CdSe@CdS TPs from both larger and very small ZB CdSe seeds (i.e., effective diameters (Deff) 6.2 to 1.8 nm) we utilize the photodeposition of gold nanoparticles as a facile and selective chemical reaction to correlate reaction rates with tetrapod energetics. We observe a 20-fold enhancement in the rate of selective photodeposition of a single AuNP tip onto this series of TPs, which were attributed to straddling of type I vs. quasi-type II energetics as a direct consequence of varying ZB CdSe seed size. Synthetic access to type I and quasi-type II TPs enabled the synthesis of singly tipped AuNP-CdSe@CdS TPs in gram quantities, which is the largest scale synthesis of metal–semiconductor Janus nanoparticles to date

    GB and US: How far? How close?

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    Ungrateful offspring on one hand, unnatural and tyrannical parent on the other - the United States and Great Britain retain in their relationship something of the love/hate quality characteristic of family ties. In choosing as the topic of its 1985 colloquium (held at the ChĂąteau de la Source on the 27th and 28th of September) "US and GB: How Far? How Close?" the Centre d'Études et de Recherches sur la Culture Anglo-AmĂ©ricaine de l'UniversitĂ© d'OrlĂ©ans was inviting the participants to analyze the nature of the "double bind" that has linked the two nations over the past two hundred years. The present publication, edited by the Groupe de Recherches Anglo-AmĂ©ricaines de Tours, contains a number of papers given on that occasion - marking in this manner the continuation of a policy of cooperation between (to extend the family metaphor) the two sister universities, a policy inaugurated by the establishment in 1985 of a doctoral program run jointly by Tours, OrlĂ©ans and Le Mans
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