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    Méthode de calcul de la teneur en eau des pétroles à partir de mesures diélectriques

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    On propose une méthode de calcul de la teneur en eau des pétroles basée sur la mesure simultanée de la permittivité et de la température. On note que l'étalonnage à partir d'un brut totalement déshydraté n'est pas nécessaire : seule est requise la détermination d'humidité en laboratoire sur un échantillon quelconque du brut concerné dont la permittivité a été préalablement mesurée. Cette méthode tient compte du fait que la permittivité de l'eau ne varie pas linéairement avec la température et utilise l'extrapolation mathématique d'Halverstat et Kumler pour le calcul des permittivités. La méthode a été vérifiée avec des bruts pétroliers légers pour des teneurs allant de 0 à 12 % en volume et des températures de 25 et 60°C. La précision relative est de l'ordre de 0,1 à 0,2 %

    Désactivation de catalyseurs au nickel non supporté

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    Pour l’hydrogénation de l’hexène-1, avec le nickel réduit (préparé par action de Mg sur NiBr2 dans le THF), la présence de MgBr2 désactive partiellement le catalyseur; mais plusieurs lavages permettent sa réactivation. Par contre, l’addition de très faibles quantités de Hgl2 désactive totalement le nickel qui en outre ne peut plus être réactivé par lavages. Ce catalyseur étant constitué de cristallites de nickel CFC. d’un diamètre moyen de 4 nm, on observe que le nombre de molécules d’iodure nécessaires pour obtenir une désactivation totale et le nombre de sommets de ces cristallites sont du même ordre de grandeur

    Comparative deactivation study of nickel and palladium catalysts in liquid phase hydrogenation

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    The step by step deactivation by mercuric iodide and thiophenol of unsupported nickel and palladium catalysts during liquid phase 1-hexene and styrene hydrogenation was studied. Both poisons are strongly adsorbed on active sites and, although their toxicity changed with catalyst and reactant, it was always found to be very high. As we already showed it, the poison molecules number required for total deactivation is close to the kink atoms number of metallic cristallites

    Desactivation de nickel et de palladium, non supportés, par l’iodure mercurique

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    Par réduction des halogénures de nickel et de palladium au moyen de EtMgBr dans le THF à 20°C, on prépare des particules métalliques dont la taille moyenne est de l’ordre de 3 nm pour le nickel et de 4 nm pour le palladium. Ces particules ont une activité catalytique remarquable pour l’hydrogénation en phase liquide de l’hexène-1. Par désactivation de ces catalyseurs avec l’iodure mercurique on observe que le nombre minimal de molécules de poison nécessaires pour désactiver complètement le métal est voisin du nombre de sommets des particules

    Etude en microscopie électronique de particules submicroniques de nickel obtenues par réduction en milieu organique : influence des conditions de préparation sur la dimension des particules

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    La réduction du bromure de nickel, en milieu organique, passe par un complexe intermédiaire dont la stabilité dépend du milieu solvant et de l'agent réducteur. La décomposition de ce complexe donne des particules de nickel submicroniques dont la dimension a été déterminée en microscopie électronique. Suivant le type de réducteur et de solvant utilisés, les particules ont des tailles très différentes dont la valeur moyenne croît de 3,2 nm (préparation mode I) à 67,5 nm (préparation mode V). Une corrélation a été établie entre la variation de la taille et la stabilité du complexe

    Étude comparative des propriétés catalytiques et de la désactivation de nickel supporté et non supporté pour l'hydrogénation en phase liquide

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    La réduction de NiBr2, imprégné sur de l'alumine, par C2H5MgBr permet de préparer des catalyseurs supportés. On a étudié leur activité pour l'hydrogénation en phase liquide de divers hydrocarbures insaturés ainsi que leur désactivation par HgI2. La comparaison de ces résultats avec ceux relatifs au nickel non supporté préparé par la même méthode, montre que les catalyseurs supportés possèdent une activité généralement supérieure. Ceci parait lie à la fois à une meilleure dispersion du métal et à un effet promoteur du support
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