3 research outputs found

    Correlation study between osteoporosis and hematopoiesis in the context of adjuvant chemotherapy for breast cancer.

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    This retrospective study attempts to establish if a correlation exists between osteoporosis and hematopoiesis before and after adjuvant chemotherapy in the context of non-metastatic breast cancer. Osteoporosis is interpreted both as a direct marker of osteoblastic decline and as an indirect marker of increased bone marrow adiposity within the hematopoietic microenvironment. Patients from the "Centre du Sein" at CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) undergoing adjuvant chemotherapy were included in this study. Evolution of blood counts was studied in correlation with the osteoporosis status. Toxicity of chemotherapy was coded according to published probability of febrile neutropenia. One hundred forty-three women were included: mean age 52.1 ± 12.5 years, mean BMI (body mass index) 24.4 ± 4.1. BMD (bone mineral density) scored osteoporotic in 32% and osteopenic in 45%. Prior to chemotherapy, BMD was positively correlated with neutrophil (p < 0.001) and thrombocyte (p = 0.01) count; TBS (trabecular bone score) was not correlated with blood count. After the first cycle of chemotherapy, an increase of one point in TBS correlated with a decrease of 57% on the time to reach leucocyte nadir (p = 0.004). There was a positive correlation between BMD and risk of infection (p < 0.001). Our data demonstrates an association between osteoporosis and lower blood counts in a younger cohort than previously published, extending it for the first time to neutrophil counts in females. Our results suggest that the healthier the bone, the earlier the lowest leucocyte count value, prompting further research on this area

    Rôle de l'examen extemporane des ganglions sentinelles des cancers du sein.

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    Introduction: Le curage ganglionnaire axillaire (CA) complémentaire en cas de micrométastase dans les ganglions sentinelles (GS) des cancers du sein (CS) n'est plus systématique depuis 2011 (Goldhirsch et al. Ann Oncol 2011;22:1736-47). En parallèle, plus de CS sont diagnostiqués à un stade précoce (N0) ; et l'échographie et la cytoponction/biopsie de ganglions axillaires en détectant des métastases en préopératoire permettent une meilleure sélection des patientes pour la procédure du GS. Ces évolutions amènent à réévaluer le rôle de l'examen extemporané des GS (EE). Objectif: Notre but était d'observer l'évolution de la pratique du CA en lien avec les résultats des EE (par cytologie +/- coupe congelée) entre 2011 et 2012 dans notre Centre. Méthode: Pour les 79 patientes dont le CS invasif a été classé pN > 0 en 2011 et 2012 (38 et 41 cas, 25 et 35% des cancers invasifs), nous avons comparé 1/ les taux de CA réalisés : au total; d'emblée (sans GS) ; après résultat positif de l'EE en 1 temps ; et en 2 temps opératoires ; et 2/ les taux d'abstention de CA en cas de GS positif. Résultats: En 2012 par rapport à 2011, bien que les différences ne soient pas significatives, on observe une tendance à la baisse des taux de CA : au total (18,8 vs 26,8%, p=0,24) ; d'emblée (12,8 vs 16,7%, p=0,49) ; après GS (7,3 vs 12,1%, p=0,27) ; en 1 temps opératoire (6,3 vs 9,7%, p=0,46) ; en 2 temps 53 (1,0 vs 2,4%, p=0,63). Les taux d'abstention de CA en cas de GS positif (pN > 0) étaient de 63% en 2012 (12/19, dont 13 pN1mi) vs 0% en 2011(p=0.0001). Discussion : Les effets conjoints du diagnostic précoce des CS, des performances de l'imagerie du creux axillaire et de l'abstention de CA en cas de micrométastases résultent en une tendance à la réduction du nombre de CA réalisés après procédure du GS. Dans cette série, le défaut de sensibilité de l'EE (par une méthode morphologique) pour la détection des micrométastases a permis dans 12/13 cas en 2012 de décider d'une abstention de CA lors de la réunion de concertation pluridisciplinaire. Conclusion: Si les tendances observées sur ces deux années se confirment, le bénéfice de l'EE des GS devra à terme être ré-évalué

    Induction of an interferon response by RNAi vectors in mammalian cells.

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    DNA vectors that express short hairpin RNAs (shRNAs) from RNA polymerase III (Pol III) promoters are a promising new tool to reduce gene expression in mammalian cells. shRNAs are processed to small interfering RNAs (siRNAs) of 21 nucleotides (nt) that guide the cleavage of the cognate mRNA by the RNA-induced silencing complex. Although siRNAs are thought to be too short to induce interferon expression, we report here that a substantial number of shRNA vectors can trigger an interferon response
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