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    Advanced age, altered level of consciousness and a new diagnosis of diabetes are independently associated with hypernatreamia in hyperglycaemic crisis

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>There is limited literature on hypernatreamia in the setting of hyperglycaemic crisis. This is despite the fact that the presence of hypernatreamia may impact on the classification of hyperglycaemic crisis and its management particularly with regards to the nature of fluid therapy. We determined the prevalence of hypernatreamia and its associated factors at presentation for hyperglycaemic crisis.</p> <p>Methods</p> <p>This was a retrospective review of data for hyperglycaemic crisis admissions in Nelson Mandela Academic Hospital, Mthatha, South Africa. The prevalence of hypernatreamia (uncorrected Serum Sodium at presentation >145 mmol/L) was determined. Hyperosmolality was defined by calculated effective osmolality >320 mosmols/Kg. Multivariate logistic regression was undertaken using variables that were statistically significant in univariate analysis to ascertain those that were independently associated (Odds Ratio (OR) with 95% Confidence Interval (CI)) with hypernatreamia.</p> <p>Results</p> <p>The prevalence of hypernatreamia in our admissions for hyperglycaemic crisis was 11.7% (n = 32/273 including 171 females and 102 males). All admissions with hypernatreamia met the criteria for hyperosmolality. Age ≥ 60 years (OR = 3.9 95% CI 1.3-12.3; P = 0.018), Altered level of consciousness (OR = 8.8 95% CI 2.3-32.8; P < 0.001) and a new diagnosis of diabetes (OR = 3.7 95%CI 1.2-11.5; P = 0.025) were independently associated with hypernatreamia.</p> <p>Conclusion</p> <p>The prevalence rate of hypernatreamia in hyperglycaemic admissions was high with all hypernatreamic admissions meeting the criteria for hyperosmolality. Advanced age, altered conscious level and a new diagnosis of diabetes were independently associated with hypernatreamia.</p

    Prévalence et déterminants de la microalbuminurie et de la macroalbuminurie chez les enfants et jeunes adultes diabétiques de type 1 à Kinshasa

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    Objectifs. — De´terminer la prévalence et les déterminants de la microalbuminurie et de la macroalbuminurie chez les patients diabétiques de type 1, congolais, âgés de moins de 30 ans. Méthodes. — Etude transversale (juin et juillet 2008) dans le centre de santé Boyambi à Kinshasa, République Démocratique du Congo. L’hémoglobine glyquée (HbA1c) et l’excrétion urinaire d’albumine (EUA) ont été dosées par méthode immunoenzymatique. Les déterminants d’une EUA pathologique ont été recherchés par régression logistique. Résultats. — Cent quatre-vingt-un enfants et jeunes adultes diabétiques de type l (61,3 % de sexe féminin) ont été inclus dans l’étude. Ils étaient âgés de 19,1 ±5,8 ans pour une durée de diabète de 57,6 ± 45,1 mois. L’HbA1c e´tait supérieure à 10 % chez 88 %, entre 7 et 10 % chez 4 % et inférieure à 7 % chez 8 %. Les fréquences respectives de la microalbuminurie et de la macroalbuminurie étaient de 21,9 et 7,3 %. La durée de diabète supérieure à cinq ans (OR : 4,1 ; IC 95 % : 1,9—8,4), l’âge supérieur à 18 ans (OR : 2,9 ; IC 95 % : 1,3—6,2) et l’HbA1c supérieure à 10 % (OR : 2,6 ; IC 95 % : 1,1—6,4) étaient les déterminants indépendants d’une EUA pathologique. Conclusion. — La microalbuminurie et même la macroalbuminurie sont très fréquentes chez les diabétiques de type 1, congolais, d’âge inférieur ou égal à 30 ans, en particulier après l’âge de 18 ans et cinq ans de durée de diabète. L’amélioration du contrôle du diabète et le traitement de la microalbuminurie s’avèrent indispensables pour prévenir l’insuffisance rénale chez les enfants et jeunes adultes diabétiques de type 1 en République Démocratique du Cong
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