37 research outputs found

    Las hijas del fuego : (novelas)

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    O ed. exerce na primera mitade do s. X

    Silvia y Aurelia

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    Sylvie, recuerdos del Valois

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    Nuestro Libro al viento 121, Sylvie, recuerdos del Valois, es quizá el trabajo más representativo de Gérard de Nerval. En él se entremezclan la añoranza y el ensueño, el amor idealizado y el amor posible —que no se concretan—, la pasión intelectual y la fascinación por la naturaleza. Fue publicada el 15 de agosto de 1853 en el Revue des deux Mondes y compilada al año siguiente en el volumen Las hijas del fuego. Los invitamos a leer este clásico del romanticismo francés, en la cuidadosa traducción de Mateo Cardona, ganador de la Beca Nacional de Traducción (Francés) 2016 que otorga Idartes

    Isis : Les Filles du Feu

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    1 vol. (XXXVII-250 p.-[6] f. de pl.) : ill. ; 21 cmIsis est composée à partir d'un ouvrage d'un archéologue allemand Böttiger, consacrée au temple d'Isis à Pompéi et aux cérémonies de son culte. Isis est une des principales déesses de l'Égypte antique, elle incarne notamment le dévouement maternel. Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Isis , 1854. >Texte intégral dans Gallica : Paris, Giraud, 1854téléchargeabl

    Manuscrit autographe d’ Aurélia

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    En 1853 et 1854, l’écrivain passe une grande partie des annĂ©es Ă  la clinique du Docteur Émile Blanche, en raison de ses troubles psychiques. Il se met Ă  Ă©crire, d’abord dans une visĂ©e thĂ©rapeutique, les pensĂ©es et les rĂŞves qui l'habitent. Ă€ la mĂŞme Ă©poque, il rĂ©dige une nouvelle, AurĂ©lia , dont le sous-titre, le rĂŞve et la vie , indique d’emblĂ©e l’univers dans lequel se situe cette Ĺ“uvre, qui mĂŞle rĂ©el autobiographique et visions oniriques. La mort de la mystĂ©rieuse AurĂ©lia, aimĂ©e du narrateur, dĂ©clenche une quĂŞte identitaire, traversĂ©e de « visions Â», pour reprendre le mot utilisĂ© dans le rĂ©cit. Le suicide de Nerval survient entre la publication de la première et de la deuxième partie de la nouvelle dans la Revue de Paris , respectivement le 1 er  janvier et le 15 fĂ©vrier 1855. Faute d’une conservation intĂ©grale des manuscrits, on ignore encore aujourd’hui dans quelle mesure les premiers Ă©diteurs ont respectĂ© ou non les volontĂ©s de l’auteur.tĂ©lĂ©chargeabl

    « Fantaisie » : Manuscrit autographe

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    « Il est un air pour qui je donnerais Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber, Un air très-vieux, languissant et funèbre, Qui pour moi seul a des charmes secrets. Or, chaque fois que je viens à l'entendre, De deux cents ans mon âme rajeunit : C'est sous Louis treize; et je crois voir s'étendre Un coteau vert, que le couchant jaunit, Puis un château de brique à coins de pierre, Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs, Ceint de grands parcs, avec une rivière Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs ; Puis une dame, à sa haute fenêtre, Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens, Que dans une autre existence peut-être, J'ai déjà vue... et dont je me souviens ! »téléchargeabl

    « El Desdichado » : Manuscrit

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    « Je suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé, Le prince d'Aquitaine à la tour abolie Ma seule étoile est morte, - et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé, Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie, La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé, Et la treille où le pampre à la rose s'allie. Suis-je Amour ou Phébus ? ... Lusignan ou Biron ? Mon front est rouge encor du baiser de la reine ; J'ai rêvé dans la grotte où nage la sirène... Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron ; Modulant tout à tour sur la lyre d'Orphée Les soupirs de la sainte et les cris de la fée. » Gérard de Nerval, Les Filles du feu , « El Desdichado », 1854. >Texte intégral dans Gallica : Paris, Giraud, 1854téléchargeabl

    Les Filles du Feu : Isis

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    1 vol. (XXXVII-250 p.-[6] f. de pl.) : ill. ; 21 cmLes Filles du feu est un recueil composĂ© de huit nouvelles et d’un recueil poĂ©tique, Les Chimères . L’œuvre est parue en 1854 et rĂ©unit des rĂ©cits publiĂ©s dans la presse et des inĂ©dits dont l’assemblage traduit une volontĂ© d’orchestration qui, pour ĂŞtre remarquable, n’en est pas moins dĂ©concertante. Au prisme d’une quĂŞte identitaire marquĂ©e par la thĂ©matique amoureuse et par une rĂ©flexion religieuse et mythologique syncrĂ©tique, elle constitue une « descente aux enfers Â» selon les mots mĂŞmes de l’auteur qui affronte lĂ  ses dĂ©mons personnels et le plus effrayant de tous : la folie.tĂ©lĂ©chargeabl

    La Bohème galante

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    Dans les annĂ©es 1830 commence un premier mode de vie « bohème » dans le quartier du DoyennĂ©, autour du peintre Camille Rougier et de GĂ©rard Labrunie (Nerval), bientĂ´t rejoints par Arsène Houssaye et ThĂ©ophile Gautier. C’est un moment de grande libertĂ© crĂ©ative et de fraternitĂ© entre les Ă©crivains et les peintres. Ce quartier qui se trouve Ă  l’intĂ©rieur du Louvre, place du Carrousel, sera rasĂ© en 1850. RĂ©trospectivement, Nerval reconsidère ce moment comme prĂ©curseur dans l’histoire de la bohème littĂ©raire lorsqu’il publie en 1855 son livre La Bohème galante .tĂ©lĂ©chargeabl
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