93 research outputs found
Pro Dynamique de l’Exploitation des Produits Forestiers non Ligneux Commercialisés dans le Département de Goudomp, Sénégal
Dans le contexte de rareté des ressources forestières, évaluer le degré d’exploitation des produits forestiers non ligneux est crucial pour comprendre les pressions exercées sur les produits forestiers non ligneux et in fine de mettre en place des stratégies visant une exploitation rationnelle et durable des produits forestiers non ligneux. Cette étude a pour objectifs d’analyser la dynamique d’exploitation des produits forestiers non ligneux. Un suivi de l’exploitation des produits forestiers non ligneux a été réalisé chez 260 exploitants répartis en 30 groupements. Un questionnaire et un guide d’entretien ont été utilisés pour la collecte des données complémentaires et ont été administrés auprès de 150 producteurs au niveau de quatre communes Les résultats montrent qu’entre 2012 et 2018, le volume d’exploitation du pain de singe est passé de 20,087 tonnes à 88,457 tonnes, de 1,19 T à 45,231 tonnes pour le Saba. Celui du miel est passé de 4 354 litres en 2012 à 6 694 litres, de10 280 litres à 35 563 litres pour l’huile de palme. Quant au Néré, son exploitation est passée de 79, 996 tonnes en 2012 à 263, 141 tonnes. La commercialisation des produits exploités a permis de générer plus de 208 859 000 millions de FCFA par an. Il ressort des enquêtes de perception que l’ensemble des produits forestiers subissent une forte pression et que leur disponibilité est de plus en plus faible. Dès lors, des stratégies résilientes sont à adopter allant de l’exploitation contrôlée à la conservation de ces ressources.
In the context of scarce forest resources, assessing the degree of exploitation of non-timber forest products is crucial to understanding the pressures exerted on non-timber forest products and, ultimately, to implementing strategies aimed at rational and sustainable exploitation of non-timber forest products. The aim of this study is to analyze the dynamics of non-timber forest product exploitation. Non-timber forest product harvesting was monitored among 260 farmers in 30 groups. A questionnaire and interview guide were used to collect additional data, and were administered to 150 producers in four communes. The results show that between 2012 and 2018, the volume of monkey bread harvested rose from 20.087 tonnes to 88.457 tonnes, and from 1.19 T to 45.231 tonnes for Saba. Honey production rose from 4,354 liters in 2012 to 6,694 liters, and palm oil from 10,280 liters to 35,563 liters. Néré production rose from 79.996 tonnes in 2012 to 263.141 tonnes. The marketing of harvested products generated more than 208,859,000 million FCFA per year. Perception surveys show that all forest products are under heavy pressure, and that their availability is becoming increasingly limited. Resilient strategies must therefore be adopted, ranging from controlled harvesting to conservation of these resources
Pro Dynamique de l’Exploitation des Produits Forestiers non Ligneux Commercialisés dans le Département de Goudomp, Sénégal
Dans le contexte de rareté des ressources forestières, évaluer le degré d’exploitation des produits forestiers non ligneux est crucial pour comprendre les pressions exercées sur les produits forestiers non ligneux et in fine de mettre en place des stratégies visant une exploitation rationnelle et durable des produits forestiers non ligneux. Cette étude a pour objectifs d’analyser la dynamique d’exploitation des produits forestiers non ligneux. Un suivi de l’exploitation des produits forestiers non ligneux a été réalisé chez 260 exploitants répartis en 30 groupements. Un questionnaire et un guide d’entretien ont été utilisés pour la collecte des données complémentaires et ont été administrés auprès de 150 producteurs au niveau de quatre communes Les résultats montrent qu’entre 2012 et 2018, le volume d’exploitation du pain de singe est passé de 20,087 tonnes à 88,457 tonnes, de 1,19 T à 45,231 tonnes pour le Saba. Celui du miel est passé de 4 354 litres en 2012 à 6 694 litres, de10 280 litres à 35 563 litres pour l’huile de palme. Quant au Néré, son exploitation est passée de 79, 996 tonnes en 2012 à 263, 141 tonnes. La commercialisation des produits exploités a permis de générer plus de 208 859 000 millions de FCFA par an. Il ressort des enquêtes de perception que l’ensemble des produits forestiers subissent une forte pression et que leur disponibilité est de plus en plus faible. Dès lors, des stratégies résilientes sont à adopter allant de l’exploitation contrôlée à la conservation de ces ressources.
In the context of scarce forest resources, assessing the degree of exploitation of non-timber forest products is crucial to understanding the pressures exerted on non-timber forest products and, ultimately, to implementing strategies aimed at rational and sustainable exploitation of non-timber forest products. The aim of this study is to analyze the dynamics of non-timber forest product exploitation. Non-timber forest product harvesting was monitored among 260 farmers in 30 groups. A questionnaire and interview guide were used to collect additional data, and were administered to 150 producers in four communes. The results show that between 2012 and 2018, the volume of monkey bread harvested rose from 20.087 tonnes to 88.457 tonnes, and from 1.19 T to 45.231 tonnes for Saba. Honey production rose from 4,354 liters in 2012 to 6,694 liters, and palm oil from 10,280 liters to 35,563 liters. Néré production rose from 79.996 tonnes in 2012 to 263.141 tonnes. The marketing of harvested products generated more than 208,859,000 million FCFA per year. Perception surveys show that all forest products are under heavy pressure, and that their availability is becoming increasingly limited. Resilient strategies must therefore be adopted, ranging from controlled harvesting to conservation of these resources
Dynamique de l’Exploitation des Produits Forestiers non Ligneux Commercialisés dans le Département de Goudomp, Sénégal
Dans le contexte de rareté des ressources forestières, évaluer le degré d’exploitation des produits forestiers non ligneux est crucial pour comprendre les pressions exercées sur les produits forestiers non ligneux et in fine de mettre en place des stratégies visant une exploitation rationnelle et durable des produits forestiers non ligneux. Cette étude a pour objectifs d’analyser la dynamique d’exploitation des produits forestiers non ligneux. Un suivi de l’exploitation des produits forestiers non ligneux a été réalisé chez 260 exploitants répartis en 30 groupements. Un questionnaire a été utilisé pour la collecte des données complémentaires et ont été administrés auprès de 150 producteurs au niveau de quatre communes Les résultats montrent qu’entre 2012 et 2018, le volume d’exploitation du pain de singe est passé de 20,087 tonnes à 88,457 tonnes, de 1,19 T à 45,231 tonnes pour le Saba. Celui du miel est passé de 4 354 litres en 2012 à 6 694 litres, de10 280 litres à 35 563 litres pour l’huile de palme. Quant au Néré, son exploitation est passée de 79, 996 tonnes en 2012 à 263, 141 tonnes. La commercialisation des produits exploités a permis de générer plus de 208 859 000 millions de FCFA par an. Il ressort des enquêtes de perception que l’ensemble des produits forestiers subissent une forte pression et que leur disponibilité est de plus en plus faible. Dès lors, des stratégies résilientes sont à adopter allant de l’exploitation contrôlée à la conservation de ces ressources.
In the context of scarce forest resources, assessing the degree of exploitation of non-timber forest products is crucial to understanding the pressures exerted on non-timber forest products and, ultimately, to implementing strategies aimed at rational and sustainable exploitation of non-timber forest products. The aim of this study is to analyze the dynamics of non-timber forest product exploitation. Non-timber forest product harvesting was monitored among 260 farmers in 30 groups. A questionnaire was used to collect additional data and was administered to 150 producers in four communes. The results show that between 2012 and 2018, the volume of monkey bread harvested rose from 20.087 tonnes to 88.457 tonnes, and from 1.19 T to 45.231 tonnes for Saba. Honey production rose from 4,354 liters in 2012 to 6,694 liters, and palm oil from 10,280 liters to 35,563 liters. Néré production rose from 79.996 tonnes in 2012 to 263.141 tonnes. The marketing of harvested products generated more than 208,859,000 million FCFA per year. Perception surveys show that all forest products are under heavy pressure and that their availability is becoming increasingly limited. Resilient strategies must therefore be adopted, ranging from controlled harvesting to conservation of these resources
ETIC : partenariat Nord-Sud et coopération décentralisée
D’où vient le projet ETIC – Espaces Technologies Information Communication ? Il se fonde sur une analyse critique et constructive de l’évolution de quelques pays ouest-africains en matière de technologies de l’information et de la communication (TIC), à partir de deux sources : d’abord, les travaux menés sur le terrain entre 1998 et 2001 par une équipe du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) de Bordeaux et de l’Institut universitaire d’études du développement (iuéd), au Sénégal..
Indications et résultats de la chirurgie de résection des bulles d’emphysème pulmonaire
La chirurgie d'exérèse des bulles ou bullectomie, principal moyen thérapeutique dans la prise en charge des bulles d'emphysème pulmonaire, est généralement réservée aux patients dont les bulles sont compliquées ou, sont à l'origine d'une dyspnée invalidante. Le but de notre étude était de déterminer les indications de la bullectomie et d'évaluer les résultats de cette chirurgie dans notre service. Nous avons mené une étude rétrospective descriptive de 24 patients (23 hommes et 1 femme), dont la moyenne d'âge était de 49 ans, et qui ont bénéficié d'une bullectomie entre 2004 et 2013. Les données recueillies étaient les facteurs favorisant la survenue d'un emphysème bulleux, les circonstances de découverte de la bulle, les données des examens radiologiques, les données de l'évaluation fonctionnelle respiratoire et cardiovasculaire, les données de la technique de la bullectomie, les données de l'évaluation clinique et fonctionnelle post opératoire. Le taux de morbidité était de 37,5%. La principale complication était la fuite aérienne persistante (7 cas). Un patient est décédé au 2e jour post opératoire suite à une insuffisance respiratoire aiguë. La durée moyenne de suivi était de 26 mois. Durant ce suivi, nous avons observé une amélioration de la dyspnée chez tous les patients et nous n'avons noté aucune complication. La bullectomie est une technique chirurgicale efficace, fiable et sûre qui peut permettre aux patients d'avoir une meilleure qualité de vie pendant quelques années
The fall armyworm Spodoptera frugiperda (J.E. Smith), a new pest of maize in Africa: monitoring, damage evaluation and identification of natural enemies on production areas of Senegal
The fall armyworm (FAW) Spodoptera frugiperda (J.E. Smith), an invasive pest of cereal crops in Africa, poses a real threat to food security in sub-Saharan African countries where cereals are the staple food. Since its appearance in Africa in 2016, the FAW has invaded almost all African countries due to its great dispersal capacity. Because of its resistance to a number of chemical pesticides but also the risks associated with the use of these, the search for an alternative method becomes essential. In order to report on the incidence of this pest and explore its associations with native natural enemies, a monitoring study of S. frugiperda populations, its damage as well as its natural enemies was carried out during the period of August to September 2020 in corn fields of two agro-ecological zones of Senegal and in the laboratory. Monitoring results show a heavy infestation with rates of up to nearly 75% of defoliated plants and more than 60% of attacked ears. The damage recorded remains low overall (score below 3/9). A wide range of auxiliary insects (17 families) made up of parasitoids and predators were identified in the field and in the laboratory as well as an endoparasitic nematode with a parasitism rate of 38.46% and a fungus in one of the sites. These results pave the way for the development of an approach to control CLA with these biological agents
Seasonal malaria chemoprevention combined with community case management of malaria in children under 10 years of age, over 5 months, in south-east Senegal: A cluster-randomised trial.
BACKGROUND: Seasonal malaria chemoprevention (SMC) is recommended in the Sahel region of Africa for children under 5 years of age, for up to 4 months of the year. It may be appropriate to include older children, and to provide protection for more than 4 months. We evaluated the effectiveness of SMC using sulfadoxine-pyrimethamine plus amodiaquine given over 5 months to children under 10 years of age in Saraya district in south-east Senegal in 2011. METHODS AND FINDINGS: Twenty-four villages, including 2,301 children aged 3-59 months and 2,245 aged 5-9 years, were randomised to receive SMC with community case management (CCM) (SMC villages) or CCM alone (control villages). In all villages, community health workers (CHWs) were trained to treat malaria cases with artemisinin combination therapy after testing with a rapid diagnostic test (RDT). In SMC villages, CHWs administered SMC to children aged 3 months to 9 years once a month for 5 months. The study was conducted from 27 July to 31 December 2011. The primary outcome was malaria (fever or history of fever with a positive RDT). The prevalence of anaemia and parasitaemia was measured in a survey at the end of the transmission season. Molecular markers associated with resistance to SMC drugs were analysed in samples from incident malaria cases and from children with parasitaemia in the survey. SMC was well tolerated with no serious adverse reactions. There were 1,472 RDT-confirmed malaria cases in the control villages and 270 in the SMC villages. Among children under 5 years of age, the rate difference was 110.8/1,000/month (95% CI 64.7, 156.8; p < 0.001) and among children 5-9 years of age, 101.3/1,000/month (95% CI 66.7, 136.0; p < 0.001). The mean haemoglobin concentration at the end of the transmission season was higher in SMC than control villages, by 6.5 g/l (95% CI 2.0, 11; p = 0.007) among children under 5 years of age, and by 5.2 g/l (95% CI 0.4, 9.9; p = 0.035) among children 5-9 years of age. The prevalence of parasitaemia was 18% in children under 5 years of age and 25% in children 5-9 years of age in the control villages, and 5.7% and 5.8%, respectively, in these 2 age groups in the SMC villages, with prevalence differences of 12.5% (95% CI 6.8%, 18.2%; p < 0.001) in children under 5 years of age and 19.3% (95% CI 8.3%, 30.2%; p < 0.001) in children 5-9 years of age. The pfdhps-540E mutation associated with clinical resistance to sulfadoxine-pyrimethamine was found in 0.8% of samples from malaria cases but not in the final survey. Twelve children died in the control group and 14 in the SMC group, a rate difference of 0.096/1,000 child-months (95% CI 0.99, 1.18; p = 0.895). Limitations of this study include that we were not able to obtain blood smears for microscopy for all suspected malaria cases, such that we had to rely on RDTs for confirmation, which may have included false positives. CONCLUSIONS: In this study SMC for children under 10 years of age given over 5 months was feasible, well tolerated, and effective in preventing malaria episodes, and reduced the prevalence of parasitaemia and anaemia. SMC with CCM achieved high coverage and ensured children with malaria were promptly treated with artemether-lumefantrine. TRIAL REGISTRATION: www.clinicaltrials.gov NCT01449045
Evaluation De La Prematurite Superieure Ou Egale A 32 Semaine D’amenorhée A L’hopital Regional De Ziguinchor Au Sud Du Senegal (Afrique De L’ouest)
Introduction: Prematurity is one of the leading causes of neonatal death in Africa. The objective of this work was to assess the preterm birth at the pediatric service of the regional hospital of Ziguinchor. Material and methods: This was a prospective, descriptive and analytical study of the case of hospitalized newborns whose age was between 32 SA to 36SA + 6 days. The study was conducted from May 21, 2013 to May 21, 2014. We included all premature infants at age ≥ 32SA.Those presenting a malformation were not included. We studied maternal socio-demographic, obstetric and neonatal parameters. Results: We have identified 140 newborns out of a total of 342 Preterm births and 2292 maternity births, a prevalence of 40.9% compared to preterm infants and 6.10% in relation to all births. 51.4 percent of mothers came from urban areas, 63.5 percent were between 20 and 34 years of age, not attending school in 45.7 percent, married in 72.9 percent and without work in 94.3 percent. The average gestures represented 3.09 . Arterial hypertension was the most common medical condition (67.7%). The followup was done by a midwife (82.1%) and 23.5% had received at least 4 NPC. Eclampsia and pre-eclampsia (48.9%) and RPM (42.8%) were common obstetric pathologies. The delivery was by caesarian (51.4%), hospital (92.1%), cephalic presentation (80%), with an average weight of 1816.79 g. An RCIU (16.4%), an RPM (61.9%). At birth, a DR (16.4%) was noted due to MMH (43.7%) and transitory tachypnea (50%). Asphyxia was reported in 3.5%. During hospitalization (6.7 days on average), 6.4% had RD caused by infection (77.7%). Other complications were infection (64.4%), hypoglycemia (28.5%), digestive hemorrhage (7.01%). The fatality rate was 7.9% due to infection (63.3%), DR (18%), haemorrhage (9%). The anthropometric measurements at the exit: P 1887.9g, T: 38.3cm, PC: 30.9cm; at 1 month P: 2387.1g, T: 46.6cm, PC: 32.8cm; at 30 months P: 12.1kg, T: 89.5cm, PC: 48.4cm. Conclusion: Moderate preterm birth accounts for almost half of the cases of prematurity in our series. Their optimal management would go through a better obstetric-neonatal collaboration but above all by the installation of kangaroo mother unit
Diversité et Occurrence des Ravageurs dans les Agroécosystèmes Maraîchers en Basse Casamance, Sénégal
Les arthropodes ravageurs des cultures constituent une menace permanente pour la production horticole. La plupart des familles d’arthropode sont très mal connues dans la zone agroécologique de la Casamance car peu de travaux de recherches ont été effectués. Une meilleure connaissance des ravageurs facilite le choix des stratégies de lutte. L’objectif de cette étude est de déterminer l’occurrence et la diversité spécifique des ravageurs associés aux cultures maraîchères. Une étude a été menée sur 144 parcelles situées dans trois localités de la zone agroécologique de la Casamance. L’inventaire des arthropodes ravageurs des cultures a été effectué dans les périmètres maraîchers. Des indices écologiques sont calculés pour évaluer diversité des ravageurs. Un nombre de 4882 spécimens de ravageurs dont 65 espèces réparties dans sept ordres et 28 familles sont collectés sur 17 plantes hôtes. Quatre ordres de ravageurs attaquent la moitié des plantes hôtes échantillonnées. Un total de 51 espèces a une présence de 100%. La diversité des ravageurs est plus élevée à Oussouye alors que l’abondance est plus élevée à Ziguinchor. La connaissance de la diversité et de la distribution des ravageurs facilitent la mise en place de stratégies alternatives de lutte en vue de préserver la filière maraîchère.
Arthropod pests of crops are a permanent threat to horticultural production. Most arthropod families are poorly known in the Casamance agroecological zone because little research has been done. A better knowledge of the pests facilitates the choice of control strategies. The objective of this study is to determine the occurrence and specific diversity of pests associated with crops. A study was conducted on 144 plots located in three localities of the Casamance agroecological zone. The inventory of crop pests were carried out in the market gardens. Ecological indices were calculated to assess pest diversity. A total of 4882 pest specimens including 65 species in seven orders and 28 families were collected from 17 host plants. Four orders of pests attacked half of the sampled host plants. A total of 51 species have a 100% occurrence. Pest diversity is higher in Oussouye, while abundance is higher in Ziguinchor. Knowledge of the diversity and distribution of pests facilitates the development of alternative control strategies to preserve the market gardening sector
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