14 research outputs found

    Les villes de province byzantines et les échanges culturels

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    utriusque tamen lingue gnarus,Iohannes Scolasticus Constantinople fut le centre de culture par excellence de l’Empire byzantin. On pouvait y trouver écoles et professeurs, bibliothèques et archives, traducteurs et copistes, marchands de manuscrits et de parchemin. Nous savons qu’au xiie siècle un certain nombre de traducteurs ont été actifs tant à Constantinople que dans les villes italiennes : Jacques de Venise, Moïse de Bergame, Cerbanus Cerbani, Paschalis Romanus, les frères Léon Toscan et..

    M.D. Lauxtermann. —The Spring of Rhythm. An Essay on the Political Verse and Other Byzantine Metres. Vienne, Österreichischen Akademie d. Wissenschaften Verlag, 1999 (Byzantina Vindobonensia, XXII)

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    Ciggaar Krijnie. M.D. Lauxtermann. —The Spring of Rhythm. An Essay on the Political Verse and Other Byzantine Metres. Vienne, Österreichischen Akademie d. Wissenschaften Verlag, 1999 (Byzantina Vindobonensia, XXII). In: Cahiers de civilisation médiévale, 45e année (n°179), Juillet-septembre 2002. pp. 283-285

    Une description de Constantinople traduite par un pèlerin anglais

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    REB 34 1976 France p. 211-267 Krijnie N. Ciggaar, Une description de Constantinople traduite par un pèlerin anglais. — Une description anonyme des sanctuaires et des reliques de Constantinople, publiée par S. G. Mercati d'après l'Ottobonianus lat. 169, passait pour appartenir à la fin du XIIe siècle. La découverte d'un témoin plus complet, le Digbeianus 112 (Oxford), qui date de la première moitié du XIIe siècle, permet d'envisager un point de départ plus haut pour la composition de l'original grec (de 1063 à la fin du Xe siècle) et de situer la traduction latine vers la fin du XIe ou le début du XIIe siècle. L'hypothèse que l'auteur de la traduction est un clerc anglais apparaît comme très vraisemblable d'après l'origine du manuscrit et divers indices littéraires et historiques. Le texte est édité avec un index des sanctuaires et des reliques. En appendice est éditée une description brève de Jérusalem, jointe à celle de Constantinople dans les manuscrits.Ciggaar Krijnie N. Une description de Constantinople traduite par un pèlerin anglais. In: Revue des études byzantines, tome 34, 1976. pp. 211-268

    Corinne Jouanno. — Digénis Akritas, le héros des frontières. Une épopée byzantine [version de Grottaferrata]. Turnhout, Brepols, 1998 (Témoins de notre histoire).

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    Ciggaar Krijnie. Corinne Jouanno. — Digénis Akritas, le héros des frontières. Une épopée byzantine [version de Grottaferrata]. Turnhout, Brepols, 1998 (Témoins de notre histoire).. In: Cahiers de civilisation médiévale, 43e année (n°171), Juillet-septembre 2000. Regards croisés sur l'An Mil, sous la direction de Martin Aurell . pp. 310-311

    Une Description de Constantinople dans le Tarragonensis 55

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    REB 53 1995 France p. 117-140 Krijnie N. Ciggaar, Une Description de Constantinople dans le Tarragonensis 55. — Dans un manuscrit de la fin du 12e siècle, originaire du monastère de Santés Creus en Espagne et maintenant dans la Biblioteca Pública de Tarragone, se trouve une Description de Constantinople en latin. L'analyse du texte suggère que l'auteur anonyme, venu pour apprendre le grec dans l'école de Sainte-Sophie, était à Constantinople à la fin du 11e siècle, avant la première croisade. Il s'intéresse surtout à la richesse de la ville et au rôle de la Vierge dans la vie religieuse de la capitale byzantine. Il décrit des processions, des icônes et quelques reliques, et il insère dans son texte quelques miracles opérés par la Vierge. C'est la première description détaillée de la main d'un Occidental qui est publiée ici.Ciggaar Krijnie N. Une Description de Constantinople dans le Tarragonensis 55. In: Revue des études byzantines, tome 53, 1995. pp. 117-140

    L'émigration anglaise à Byzance après 1066. Un nouveau texte en latin sur les Varangues à Constantinople

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    REB 32 1974 France p. 301-342 Krijnie N. Ciggaar, L'émigration anglaise à Byzance après 1066. — La chronique occidentale de l'Anonymus Laudunensis s'est intéressée aux Anglais qui émigrèrent à Byzance après l'invasion de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant. Grâce à la découverte du manuscrit Phillips 1880, antérieur au Paris, lat. 5011, l'auteur édite les extraits relatifs aux Varangues. L'introduction et le commentaire tendent à dégager de la légende les données historiques concernant l'arrivée de ces émigrés avant 1080 et leur premier rôle dans la ville et dans l'empire.Ciggaar Krijnie N. L'émigration anglaise à Byzance après 1066. Un nouveau texte en latin sur les Varangues à Constantinople . In: Revue des études byzantines, tome 32, 1974. pp. 301-342

    Une description anonyme de Constantinople du XIIe s

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    REB 31 1973 France p. 335-354 Krijnie N. Ciggaar, Une description anonyme de Constantinople du XIIe siècle. — Une description en grec publiée par Lampros s'éclaire par la comparaison avec un texte latin antérieur. Un commentaire détaillé fait apparaître que le récit latin est d'origine anglaise, comme les manuscrits qui l'ont conservé, et qu'il doit être l'œuvre de quelque visiteur qui se rendit à Constantinople vers le milieu du XIIe siècle.Ciggaar Krijnie N. Une description anonyme de Constantinople du XIIe s. In: Revue des études byzantines, tome 31, 1973. pp. 335-354

    Réfugiés et employés occidentaux au Xe siècle

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    Ciggaar Krijnie. Réfugiés et employés occidentaux au Xe siècle. In: Médiévales, n°12, 1987. Toutes les routes mènent à Byzance, sous la direction de Evelyne Patlagean . pp. 19-24

    Corinne Jouanno. — Digénis Akritas, le héros des frontières. Une épopée byzantine [version de Grottaferrata]. Turnhout, Brepols, 1998 (Témoins de notre histoire).

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    Ciggaar Krijnie. Corinne Jouanno. — Digénis Akritas, le héros des frontières. Une épopée byzantine [version de Grottaferrata]. Turnhout, Brepols, 1998 (Témoins de notre histoire).. In: Cahiers de civilisation médiévale, 43e année (n°171), Juillet-septembre 2000. Regards croisés sur l'An Mil, sous la direction de Martin Aurell . pp. 310-311

    Chrétien de Troyes et la « matière byzantine » ; les demoiselles du Château de Pesme Aventure

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    The Château de Pesme Aventure in Chrétien de Troyes' Yvain has been interpreted in various ways. The author suggests a connection with the Byzantine world. The poor girls weaving and embroidering silks in the castle are possibly a reminiscence of the Greek silk weavers carried off as hostages by Roger II of Sicily when Louis VII of France and his wife Eleonore were entertained in Constantinople. Roger was keen on imitating the Byzantine emperors. By getting hold of the technology of silk weaving he broke a Greek monopoly. The events of 1147 are reported by Western sources. Eleonore who visited Sicily on the way home may have passed on details of the miserable condition of the silk weavers to her literary entourage.Le passage bien connu du Château de Pesme Aventure dans l'Yvain de Chrétien de Troyes a donné lieu à mainte interprétation. L'auteur propose une interprétation liée à l'histoire du monde byzantin. Les pauvres tisseuses et brodeuses de soieries pourraient être des captives grecques. En 1147 Roger II de Sicile envahit l'empire byzantin au moment où Louis VII de France et Aliénor d'Aquitaine étaient à Constantinople. Roger II essaya d'imiter les empereurs byzantins. Il s'empara de la technologie de l'industrie de la soie, un des monopoles byzantins. Sur le chemin du retour Aliénor fit escale en Sicile. C'est ainsi que les détails sur la déplorable situation des tisseuses ont pu être connus des milieux littéraires.Ciggaar Krijnie. Chrétien de Troyes et la « matière byzantine » ; les demoiselles du Château de Pesme Aventure. In: Cahiers de civilisation médiévale, 32e année (n°128), Octobre-décembre 1989. pp. 325-331
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