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Determinants Of Adherence To Highly Active Antiretroviral Therapy Among Hiv-Infected Children In Rwanda
Introduction: Adherence to antiretroviral therapy (ART) among
HIV-infected children is influenced by numerous socio-economic,
clinical, spiritual and psychological factors. Interrupted adherence
can result in resistance to first-line ART. In such cases, patients may
infect others with resistant virus strains and they may require a
significantly more expensive second-line ART regimens, which are more
difficult to procure and more difficult for patients to access. Thus,
ART adherence influences not only individual and population outcomes,
but also has significant implications for long-term healthcare
financing. It is essential to determine and address the factors that
impact a patientâs likelihood to adhere to ART. Objective: This
study investigates factors that are associated with HIV-infected
childrenâs adherence to highly active antiretroviral therapy
(HAART) in Rwanda. Methods: Five health facilities were visited in
August 2005. Each health facility was treating HIV-infected children
who had been receiving HAART for at least 12 months. Participants
included children under 15 years who were treated with HAART for at
least 12 months at the selected health facilities. A standard
questionnaire was employed for each caregiver participant and
administered in his or her home. Non-adherence was defined as missing
at least one dose of ART during a 12 month period of HAART treatment.
Results: Among the study participants 59% were girls and 41% were boys.
Thirty-four percent of children had missed at least one dose of HAART
in the past 12 months; forgetfulness (38%) and change in treatment
routine (27%) were the most common reasons for missing doses.
Caregivers who were members of an association for people living with
HIV or AIDS (PLWHA) were more likely to be adherent than those who were
not (p=0.031). The more time it took for children to be served at
health centers, the less likely they were to be adherent (p=0.043).
Finally, caregivers who were satisfied with the health care their
children were receiving had children who were more likely to be
adherent, compared to those caregivers who were unsatisfied (p=0.001).
Conclusion: In order for Rwanda to increase full pediatric adherence to
HAART, it must review the national counseling protocol to provide
caregivers and children with tools to combat forgetfulness; it must
sensitize child caregivers to join associations of PLWHA; and it must
promote improved âcustomer careâ practices at health
centers.Introduction: LâadhĂ©rence Ă la thĂ©rapie
antirétrovirale hautement active (TARHA) chez les enfants
infectés par le VIH est influencée par des facteurs
socio-Ă©conomiques, cliniques, spirituels et psychologiques. La non
adhérence peut entraßner une résistance à la TARHA
de premiĂšre ligne. Dans de tels cas, les patients peuvent infecter
les autres personnes avec des souches de virus résistantes et
nécessiter la mise sous une TARHA de deuxiÚme ligne, beaucoup
plus coûteuse, plus difficiles à obtenir et plus difficile
dâaccĂšs pour les patients. Ainsi, lâadhĂ©rence
à la TARHA influence non seulement les résultats individuels,
mais a également des implications importantes pour la santé
publique et les financements des soins de santé à long terme.
Câest pourquoi il est essentiel de dĂ©terminer et de trouver
une solution aux facteurs qui influencent négativement
lâadhĂ©rence dâun patient Ă la TARHA. Objectif:
Cette Ă©tude examine les facteurs qui sont associĂ©s Ă
lâadhĂ©rence des enfants infectĂ©s par le VIH Ă la
TARHA au Rwanda. Méthodes: Cinq établissements de santé
ont été visités en août 2005. Chacun des
établissements de santé avait traité des enfants
infectés par le VIH qui avaient reçu une TARHA pendant au
moins 12 mois. Les participants a lâĂ©tude comprenaient des
enfants de moins de 15 ans qui ont été traités par TARHA
pendant au moins 12 mois dans les établissements de santé
sélectionnés. Un questionnaire standard a été
utilisée pour chaque gardien - parent participant et été
administré a domicile. La définition de la non adhérence
est dâavoir manquĂ© au moins une dose du traitement
antirétroviral durant 12 mois de traitement HAART. Résultats:
Parmi les participants Ă lâĂ©tude 59% Ă©taient des
filles et 41% étaient des garçons. Trente-quatre pour cent
des enfants avaient manqué au moins une dose de TARHA au cours des
12 derniers mois; oubli (38%) et le changement dans la routine de
traitement (27%) sont les raisons les plus communes de non
adhérence. Les enfants qui ont des gardiens - parents membres
dâune association de personnes vivant avec le VIH ou le SIDA
(PVVIH) sont plus susceptibles dâĂȘtre adhĂ©rentes que
ceux qui ne le sont pas (p = 0,031). Plus le temps dâattente de
services Ă lâenfant dans les centres de santĂ©
Ă©tait long, moins lâenfant Ă©tait adhĂ©rant (p =
0,043). Enfin, lâadhĂ©rence des enfants Ă©tait plus
grande quand les gardiens - parents qui Ă©taient satisfaits des
soins de santé donnés à leurs enfants que
lorsquâils nâĂ©taient pas satisfaits (p = 0,001).
Conclusion: Pour que le Rwanda puisse augmenter lâadhĂ©rence
a la TARHA chez les enfants, il faut revoir le protocole de
consultation nationale Ă fournir aux gardiens - parents et aux
enfants des outils pour lutter contre lâoubli; il faut
sensibiliser les gardiens - parents des enfants Ă sâaffilier
a une association de PVVIH; et il faut favoriser
lâamĂ©lioration du âservice Ă la
clientĂšleâ dans les centres de santĂ©