63 research outputs found
Volumetric feedback ablation of uterine fibroids using magnetic resonance-guided high intensity focused ultrasound therapy
Comparison of Acoustic Structure Quantification (ASQ), shearwave elastography and histology in patients with diffuse hepatopathies
Ultrasound elastography in liver
AbstractConventional imaging techniques cannot provide information about tissue mechanical properties. Many injuries can cause changes in tissue stiffness, especially tumors and fibrosis. In recent years, various non-invasive ultrasound methods have been developed to study tissue elasticity for a large number of applications (breast, thyroid, prostate, kidneys, blood vessels, liver…). For non-invasive assessment of liver diseases, several ultrasound elastography techniques have been investigated: Transient elastography (the most extensively used), Real Time Elastography (RTE), Acoustic Radiation Force Impulse Imaging (ARFI) and more recently Shear Wave Elastography (SWE). Even if evaluation of liver fibrosis in chronic liver disease remains the principal application, there are many others applications for liver: predicting cirrhosis-related complications; monitoring antiviral treatments in chronic viral liver disease; characterizing liver tumors; monitoring local treatments, etc. The aim of this article is to report on the different hepatic ultrasound elastography techniques, their advantages and disadvantages, their diagnostic accuracy, their applications in clinical practice
From a typical focal nodular hyperplasia to a fibrotic band with capsular retraction: A case report
US-WS-14 Activation in vivo de l’expression intra-renale d’un gene rapporteur par ultrasons focalises guides par IRM
Cancers du bas rectum localement évolués : peut-on changer le type de chirurgie après le traitement néoadjuvant ?
Préservation rectale après radiochimiothérapie pour cancer du rectum
Le traitement standard des cancers du rectum, associant radiochimiothérapie suivie d’une chirurgie radicale avec exérèse totale du mésorectum, permet d’assurer le contrôle local pelvien, au prix d’une morbidité importante et de séquelles fonctionnelles. La radiochimiothérapie permet par ailleurs de stériliser les tumeurs dans 15 à 25 % des cas selon les séries, remettant en question l’utilité d’une chirurgie radicale chez les patients bons répondeurs. Deux stratégies de préservation d’organe tendent à se développer : une stratégie de surveillance attentive ou watch and wait, qui repose sur l’évaluation clinique et radiologique de la réponse complète, ou une stratégie d’exérèse locale qui permet d’inclure les patients en réponse subcomplète. Les essais actuels évaluent différentes stratégies d’optimisation de la réponse par intensification de la chimiothérapie ou escalade de dose en radiothérapie. De nombreuses questions restent néanmoins à résoudre quant à la définition de la réponse complète, la stratégie de surveillance, la morbidité de la chirurgie de rattrapage en cas de récidive ainsi que les résultats oncologiques et fonctionnels à long terme.</jats:p
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