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    Amélioration des systèmes d'observations pour la surveillance en temps réel de la structure thermique du Pacifique tropical

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    Grâce à l'aide du MRES, le groupe de recherche d'océanographie physique SURTROPAC, du Centre ORSTOM de Nouméa-Nouvelle-Calédonie a pu s'impliquer à fond dans une coopération internationale de mise en place et d'analyse des données issues d'un nouveau réseau de mesures dans le Pacifique. Ce réseau est constitué d'un ensemble de bouées, mouillées par grand fond, et équipées de chaîne à thermistance, de capteur de vent et d'un transmetteur de données ARGOS. Il permet de suivre en temps quasi réel la variabilité des vents de surface et de la structure thermique des couches de sub-surface de l'Océan Pacifique Equatorial et d'en comprendre les mécanismes. Parallèlement il a été testé un nouveau système de transmission de données bathythermographiques par satellite sur deux navires marchands que le groupe SURTROPAC utilise pour assurer la couverture de l'état thermique du Pacifique Tropical. Ces deux études font partie intégrante du grand programme international TOGA (Tropical Ocean and Global Atmosphere) de dix années qui a pour but essentiel la compréhension et la prédiction des fluctuations interannuelles du climat de notre planète. (Résumé d'auteur

    Observations physico-chimiques et biomasse végétale dans l'Océan Atlantique équatorial : programme PIRAL (juillet 1982 - Août 1984)

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    De juillet 1982 à août 1984, le N.O. CAPRICORNE a effectué neuf campagnes dans l'Océan Atlantique Tropical, dans le cadre du programme FOCAL. Au cours de cinq d'entre elles, des mesures d'oxygène, des paramètres du système du gaz carbonique, des sels nutritifs et des pigments chlorophylliens ont été réalisées pour étudier la réponse de l'Océan Tropical à l'accroissement du gaz carbonique atmosphérique (programme PIRAL). Ces observations permettent de préciser les variations spatiales et saisonnières des distributions verticales des principales propriétés chimiques et de la biomasse végétale en liaison avec la structure hydrologique et courantométrique de la région. Deux traits essentiels se dégagent de ces distributions. L'absence d'upwelling équatorial dans la partie occidentale (35°W) maintient un épuisement permanent de la couche superficielle en sels nutritifs. Les fortes pressions partielles de CO2 exercées par l'eau de mer de surface dans la ceinture équatoriale 5°N-5°S font de cette zone une source permanente de CO2 pour l'atmosphère. (Résumé d'auteur
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