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Mantle cell lymphoma of the larynx: Primary case report
INTRODUCTION: Primary laryngeal lymphomas are exceedingly rare. Only about a hundred cases have been reported. They consist mainly of non-Hodgkin lymphoma, especially of diffuse large B-cell lymphoma and mucosa-associated lymphoid tissue. We report the first case of a primary laryngeal mantle cell lymphoma. CASE PRESENTATION: We report a case of a primary mantle cell lymphoma of the larynx in a 70-year-old North African non-smoker male. We present a detailed report of his clinical and paraclinical data as well as treatment options. CONCLUSIONS: Mantle cell lymphoma is a very aggressive lymphoma subset associated with poor prognosis. Laryngeal mantle cell lymphoma is exceedingly rare. To the best of our knowledge, this is the first case to ever be reported
Lâangiolipome cervical. A propos dâun cas
PrĂ©senteration dâun cas documentĂ© d'un angiolipome de la rĂ©gion submandibulaire et des donnĂ©es rĂ©centes
de la littérature sur ce sujet.
Il sâagit dâun patient ĂągĂ© de 22 ans avec une tumĂ©faction Ă©voluant depuis 8 ans dans la rĂ©gion submandibulaire
gauche qui sâest rĂ©vĂ©lĂ©e, Ă lâexamen anatomopathologique, aprĂšs exĂ©rĂšse chirurgicale complĂšte, ĂȘtre un
angiolipome.
AprĂšs trois ans de recul, il nây a aucun signe de rĂ©cidive tumorale.
L'angiolipome de la rĂ©gion cervicale, en particulier de la rĂ©gion submandibulaire est extrĂȘmement rare. Le
tableau clinique peut faire Ă©voquer une pathologie de la glande submandibulaire. Lâorigine extra-glandulaire
de la lĂ©sion est en gĂ©nĂ©ral facilement prĂ©cisĂ©e par les donnĂ©es de lâimagerie. LâexĂ©rĂšse chirurgicale est parfois
difficile car il existe une forme infiltrante dâangiolipome. (Med Buccale Chir Buccale 2006 ; 12 : 171-174)
Le syndrome de Pierre Robin et le dysfonctionnement néonatal du tronc cérébral
Le syndrome de Pierre Robin (SPR) touche un enfant sur 8 500 par an en France.
LâĂ©tiopathogĂ©nie est encore obscure. Toutefois, la thĂ©orie actuellement retenue est celle
dâun dysfonctionnement nĂ©onatal du tronc cĂ©rĂ©bral (ou rhombencĂ©phale), responsable des
signes malformatifs et des troubles oro-faciaux qui peuvent ĂȘtre dramatiques. Le SPR
constitue une urgence nĂ©onatale qui doit ĂȘtre bien prise en charge par une Ă©quipe
spécialisée multidisciplinaire
Un cas de kyste Ă©pidermoĂŻde du plancher buccal
Le kyste épidermoïde du plancher buccal est une tumeur bénigne et rare. Histologiquement, la paroi kystique
est constituée par un épithélium malpighien pluristratifié, kératinisant, et le contenu de la cavité est composé
par des squames de kĂ©ratine. Lâaspect histologique est bien diffĂ©rent de celui des autres kystes de type dermoĂŻde
ou tératoïde.
Câest un patient ĂągĂ© de 23 ans qui prĂ©sentait une tumĂ©faction du plancher buccal et de la rĂ©gion sus-hyoĂŻdienne.
DâĂ©volution lente, cette tumĂ©faction Ă©tait Ă lâorigine de troubles de lâĂ©locution et de la mastication.
LâĂ©chographie, complĂ©tĂ©e par lâexamen tomodensitomĂ©trique, a mis en Ă©vidence une masse kystique, Ă©chogĂšne
et bien limitĂ©e. Le traitement a consistĂ© en une exĂ©rĂšse chirurgicale par voie endobuccale ; lâaspect
macroscopique et lâexamen histologique ont permis de prĂ©ciser quâil sâagissait dâun kyste Ă©pidermoide.
Les différents caractÚres de ce cas sont identiques à ceux retrouvés dans la littérature. (Med Buccale Chir
Buccale 2006 ; 12 : 175-8)
Primary Hydatid Cyst of the Thyroid Gland
Primary hydatid cyst of thyroid gland is an exceptional localization even in Morocco where echinococcal disease is endemic. A 23-year-old woman presented with multiples cystic lesions of the thyroid revealed by neck mass and dyspnea. She underwent a subtotal thyroidectomy. The diagnosis of hydatid cyst was made preoperatively and was confirmed by histological studies. Further investigation failed to identify any other evidence of systemic hydatidosis. The patient has remained asymptomatic for 24 months after surgery. The possibility of hydatid disease, though rare, should be always kept in mind, for patients with cystic lesions of the thyroid, because a needle aspiration biopsy is a potentially harmful procedure
Myxome maxillaire gĂ©ant : prĂ©sentation dâun cas
Le myxome des maxillaires est une tumeur odontogĂšne
bénigne rare. Un cas de myxome géant localisé au maxillaire droit
est présenté. Les caractéristiques cliniques, radiologiques et histologiques
de cette tumeur ont permis de poser le diagnostic de myxome du maxillaire.
LâexĂ©rĂšse chirurgicale a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e et lâĂ©volution favorable sans
signes de récidive ni séquelles fonctionnelles ou esthétiques.
Le myxome du maxillaire se manifeste par une tuméfaction qui peut
ĂȘtre associĂ©e Ă des signes de compression des organes de voisinage.
Lâexamen tomodensitomĂ©trique permet dâĂ©valuer lâextension, surtout
osseuse, de la lĂ©sion tandis que lâimagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique
permet plutĂŽt dâĂ©valuer lâextension globale. Le traitement est avant tout
chirurgical. LâexĂ©rĂšse est en gĂ©nĂ©ral conservatrice, Ă type dâĂ©nuclĂ©ation
ou de curetage
Cas historique dâamĂ©loblastome mandibulaire gĂ©ant
LâamĂ©loblastome est une tumeur bĂ©nigne odontogĂšne, atteignant le plus souvent la
mandibule. Le diagnostic est gĂ©nĂ©ralement fait Ă lâoccasion de problĂšmes dentaires ou
devant lâapparition dâune tumĂ©faction mandibulaire. Son traitement est chirurgical, et
lâexĂ©rĂšse complĂšte ne doit pas empĂȘcher une surveillance rĂ©guliĂšre du fait du risque de
récidive.
Les auteurs rapportent un cas historique dâamĂ©loblastome mandibulaire gĂ©ant,
diagnostiquĂ© Ă un stade tardif du fait du retard de consultation, ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© dâune
exérÚse complÚte et reconstruction secondaire par un lambeau libre microanastomosé de
péroné
Cas historique d'améloblastome mandibulaire géant
L'améloblastome est une tumeur bénigne odontogÚne, atteignant le plus souvent la mandibule. Le diagnostic
est généralement fait à l'occasion de manifestations dentaires ou devant l'apparition d'une tuméfaction
mandibulaire. Son traitement est chirurgical, et l'exérÚse complÚte ne dispense pas d'une surveillance réguliÚre
en raison du risque de récidive.
Les auteurs rapportent un cas historique d'améloblastome mandibulaire géant, diagnostiqué à un stade avancé
du fait de la consultation tardive, ayant bénéficié d'une exérÚse complÚte et d'une reconstruction secondaire
par un lambeau libre micro-anastomosé de péroné. (Med Buccale Chir Buccale 2009 ; 15 : 101-105)