27 research outputs found

    Mantle cell lymphoma of the larynx: Primary case report

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    INTRODUCTION: Primary laryngeal lymphomas are exceedingly rare. Only about a hundred cases have been reported. They consist mainly of non-Hodgkin lymphoma, especially of diffuse large B-cell lymphoma and mucosa-associated lymphoid tissue. We report the first case of a primary laryngeal mantle cell lymphoma. CASE PRESENTATION: We report a case of a primary mantle cell lymphoma of the larynx in a 70-year-old North African non-smoker male. We present a detailed report of his clinical and paraclinical data as well as treatment options. CONCLUSIONS: Mantle cell lymphoma is a very aggressive lymphoma subset associated with poor prognosis. Laryngeal mantle cell lymphoma is exceedingly rare. To the best of our knowledge, this is the first case to ever be reported

    L’angiolipome cervical. A propos d’un cas

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    PrĂ©senteration d’un cas documentĂ© d'un angiolipome de la rĂ©gion submandibulaire et des donnĂ©es rĂ©centes de la littĂ©rature sur ce sujet. Il s’agit d’un patient ĂągĂ© de 22 ans avec une tumĂ©faction Ă©voluant depuis 8 ans dans la rĂ©gion submandibulaire gauche qui s’est rĂ©vĂ©lĂ©e, Ă  l’examen anatomopathologique, aprĂšs exĂ©rĂšse chirurgicale complĂšte, ĂȘtre un angiolipome. AprĂšs trois ans de recul, il n’y a aucun signe de rĂ©cidive tumorale. L'angiolipome de la rĂ©gion cervicale, en particulier de la rĂ©gion submandibulaire est extrĂȘmement rare. Le tableau clinique peut faire Ă©voquer une pathologie de la glande submandibulaire. L’origine extra-glandulaire de la lĂ©sion est en gĂ©nĂ©ral facilement prĂ©cisĂ©e par les donnĂ©es de l’imagerie. L’exĂ©rĂšse chirurgicale est parfois difficile car il existe une forme infiltrante d’angiolipome. (Med Buccale Chir Buccale 2006 ; 12 : 171-174)

    Le syndrome de Pierre Robin et le dysfonctionnement néonatal du tronc cérébral

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    Le syndrome de Pierre Robin (SPR) touche un enfant sur 8 500 par an en France. L’étiopathogĂ©nie est encore obscure. Toutefois, la thĂ©orie actuellement retenue est celle d’un dysfonctionnement nĂ©onatal du tronc cĂ©rĂ©bral (ou rhombencĂ©phale), responsable des signes malformatifs et des troubles oro-faciaux qui peuvent ĂȘtre dramatiques. Le SPR constitue une urgence nĂ©onatale qui doit ĂȘtre bien prise en charge par une Ă©quipe spĂ©cialisĂ©e multidisciplinaire

    Un cas de kyste Ă©pidermoĂŻde du plancher buccal

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    Le kyste Ă©pidermoĂŻde du plancher buccal est une tumeur bĂ©nigne et rare. Histologiquement, la paroi kystique est constituĂ©e par un Ă©pithĂ©lium malpighien pluristratifiĂ©, kĂ©ratinisant, et le contenu de la cavitĂ© est composĂ© par des squames de kĂ©ratine. L’aspect histologique est bien diffĂ©rent de celui des autres kystes de type dermoĂŻde ou tĂ©ratoĂŻde. C’est un patient ĂągĂ© de 23 ans qui prĂ©sentait une tumĂ©faction du plancher buccal et de la rĂ©gion sus-hyoĂŻdienne. D’évolution lente, cette tumĂ©faction Ă©tait Ă  l’origine de troubles de l’élocution et de la mastication. L’échographie, complĂ©tĂ©e par l’examen tomodensitomĂ©trique, a mis en Ă©vidence une masse kystique, Ă©chogĂšne et bien limitĂ©e. Le traitement a consistĂ© en une exĂ©rĂšse chirurgicale par voie endobuccale ; l’aspect macroscopique et l’examen histologique ont permis de prĂ©ciser qu’il s’agissait d’un kyste Ă©pidermoide. Les diffĂ©rents caractĂšres de ce cas sont identiques Ă  ceux retrouvĂ©s dans la littĂ©rature. (Med Buccale Chir Buccale 2006 ; 12 : 175-8)

    Primary Hydatid Cyst of the Thyroid Gland

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    Primary hydatid cyst of thyroid gland is an exceptional localization even in Morocco where echinococcal disease is endemic. A 23-year-old woman presented with multiples cystic lesions of the thyroid revealed by neck mass and dyspnea. She underwent a subtotal thyroidectomy. The diagnosis of hydatid cyst was made preoperatively and was confirmed by histological studies. Further investigation failed to identify any other evidence of systemic hydatidosis. The patient has remained asymptomatic for 24 months after surgery. The possibility of hydatid disease, though rare, should be always kept in mind, for patients with cystic lesions of the thyroid, because a needle aspiration biopsy is a potentially harmful procedure

    Myxome maxillaire gĂ©ant : prĂ©sentation d’un cas

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    Le myxome des maxillaires est une tumeur odontogĂšne bĂ©nigne rare. Un cas de myxome gĂ©ant localisĂ© au maxillaire droit est prĂ©sentĂ©. Les caractĂ©ristiques cliniques, radiologiques et histologiques de cette tumeur ont permis de poser le diagnostic de myxome du maxillaire. L’exĂ©rĂšse chirurgicale a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e et l’évolution favorable sans signes de rĂ©cidive ni sĂ©quelles fonctionnelles ou esthĂ©tiques. Le myxome du maxillaire se manifeste par une tumĂ©faction qui peut ĂȘtre associĂ©e Ă  des signes de compression des organes de voisinage. L’examen tomodensitomĂ©trique permet d’évaluer l’extension, surtout osseuse, de la lĂ©sion tandis que l’imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique permet plutĂŽt d’évaluer l’extension globale. Le traitement est avant tout chirurgical. L’exĂ©rĂšse est en gĂ©nĂ©ral conservatrice, Ă  type d’énuclĂ©ation ou de curetage

    Cas historique d’amĂ©loblastome mandibulaire gĂ©ant

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    L’amĂ©loblastome est une tumeur bĂ©nigne odontogĂšne, atteignant le plus souvent la mandibule. Le diagnostic est gĂ©nĂ©ralement fait Ă  l’occasion de problĂšmes dentaires ou devant l’apparition d’une tumĂ©faction mandibulaire. Son traitement est chirurgical, et l’exĂ©rĂšse complĂšte ne doit pas empĂȘcher une surveillance rĂ©guliĂšre du fait du risque de rĂ©cidive. Les auteurs rapportent un cas historique d’amĂ©loblastome mandibulaire gĂ©ant, diagnostiquĂ© Ă  un stade tardif du fait du retard de consultation, ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une exĂ©rĂšse complĂšte et reconstruction secondaire par un lambeau libre microanastomosĂ© de pĂ©ronĂ©

    Cas historique d'améloblastome mandibulaire géant

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    L'améloblastome est une tumeur bénigne odontogÚne, atteignant le plus souvent la mandibule. Le diagnostic est généralement fait à l'occasion de manifestations dentaires ou devant l'apparition d'une tuméfaction mandibulaire. Son traitement est chirurgical, et l'exérÚse complÚte ne dispense pas d'une surveillance réguliÚre en raison du risque de récidive. Les auteurs rapportent un cas historique d'améloblastome mandibulaire géant, diagnostiqué à un stade avancé du fait de la consultation tardive, ayant bénéficié d'une exérÚse complÚte et d'une reconstruction secondaire par un lambeau libre micro-anastomosé de péroné. (Med Buccale Chir Buccale 2009 ; 15 : 101-105)
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