5 research outputs found

    Suitability of external controls for drug evaluation in Duchenne muscular dystrophy

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    OBJECTIVE: To evaluate the suitability of real-world data (RWD) and natural history data (NHD) for use as external controls in drug evaluations for ambulatory Duchenne muscular dystrophy (DMD). METHODS: The consistency of changes in the 6-minute walk distance (Δ6MWD) was assessed across multiple clinical trial placebo arms and sources of NHD/RWD. Six placebo arms reporting 48-week Δ6MWD were identified via literature review and represented 4 sets of inclusion/exclusion criteria (n = 383 patients in total). Five sources of RWD/NHD were contributed by Universitaire Ziekenhuizen Leuven, DMD Italian Group, The Cooperative International Neuromuscular Research Group, ImagingDMD, and the PRO-DMD-01 study (n = 430 patients, in total). Mean Δ6MWD was compared between each placebo arm and RWD/NHD source after subjecting the latter to the inclusion/exclusion criteria of the trial for baseline age, ambulatory function, and steroid use. Baseline covariate adjustment was investigated in a subset of patients with available data. RESULTS: Analyses included ∼1,200 patient-years of follow-up. Differences in mean Δ6MWD between trial placebo arms and RWD/NHD cohorts ranged from -19.4 m (i.e., better outcomes in RWD/NHD) to 19.5 m (i.e., worse outcomes in RWD/NHD) and were not statistically significant before or after covariate adjustment. CONCLUSIONS: We found that Δ6MWD was consistent between placebo arms and RWD/NHD subjected to equivalent inclusion/exclusion criteria. No evidence for systematic bias was detected. These findings are encouraging for the use of RWD/NHD to augment, or possibly replace, placebo controls in DMD trials. Multi-institution collaboration through the Collaborative Trajectory Analysis Project rendered this study feasible

    Qu'en est-il de la sécurité des personnes et des biens ?

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    Qu'en est-il, en ce début de XXIe siècle, de la sécurité des personnes et des biens ? Le constat est quasiment unanime, on observe, dans les différentes branches du droit, un double mouvement. D'une part, une extension considérable des domaines dans lesquels la sécurité des personnes et des biens est désormais prise en compte. À la vérité, elle semble être devenue une préoccupation inhérente à toute activité humaine. Chacun connaît, depuis longtemps, la sécurité sociale, la sécurité routière, la sécurité aérienne, la sécurité alimentaire, la sécurité médicale... À cette liste, déjà longue, s'ajoutent chaque jour de nouvelles conquêtes : la sécurité des jouets pour enfants, la sécurité des programmes informatiques, la sécurité des tunnels routiers... En quelques années, les normes de sécurité ont investi le droit du travail, le droit des contrats, et même le droit immobilier. En un mot, il n'y a plus de place dans notre société pour l'insécurité - si ce n'est comme source de responsabilité ou de sanction ! D'autre part, et dans le même temps, on constate un glissement de la sphère publique vers la sphère privée. Autrement dit, on assiste à une privatisation de la préoccupation de sécurité. Dans le passé, la sécurité des personnes et des biens relevait de la fonction étatique, au sens large. Elle concernait, au premier chef, les forces armées, la police, les tribunaux répressifs. Aujourd'hui, la sécurité n'est plus seulement l'affaire des pouvoirs publics, elle est devenue l'affaire de tous, individus ou entreprises. L'État se désengage, ou plus exactement déplace la charge d'une exigence de sécurité omniprésente, donc financièrement insupportable. À première vue, cette montée en puissance de la sécurité des personnes et des biens, à travers une réglementation de plus en plus contraignante, n'apparaît pas sans danger. Elle pourrait bien affecter, dans nos sociétés développées, deux valeurs aussi fondamentales que la liberté individuelle et le progrès technique. Mais il est vrai qu'il est également possible d'inverser le propos. On peut considérer, sans faire étalage d'un optimisme démesuré, que la sécurité est une condition nécessaire au plein épanouissement de la liberté et du progrès. Un monde plus sûr, cela peut être aussi un monde plus humain

    36-month clinical outcomes of patients with venous thromboembolism: GARFIELD-VTE

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    Background: Venous thromboembolism (VTE), encompassing both deep vein thrombosis (DVT) and pulmonary embolism (PE), is a leading cause of morbidity and mortality worldwide.Methods: GARFIELD-VTE is a prospective, non-interventional observational study of real-world treatment practices. We aimed to capture the 36-month clinical outcomes of 10,679 patients with objectively confirmed VTE enrolled between May 2014 and January 2017 from 415 sites in 28 countries.Findings: A total of 6582 (61.6 %) patients had DVT alone, 4097 (38.4 %) had PE +/- DVT. At baseline, 98.1 % of patients received anticoagulation (AC) with or without other modalities of therapy. The proportion of patients on AC therapy decreased over time: 87.6 % at 3 months, 73.0 % at 6 months, 54.2 % at 12 months and 42.0 % at 36 months. At 12-months follow-up, the incidences (95 % confidence interval [CI]) of all-cause mortality, recurrent VTE and major bleeding were 6.5 (7.0-8.1), 5.4 (4.9-5.9) and 2.7 (2.4-3.0) per 100 person-years, respectively. At 36-months, these decreased to 4.4 (4.2-4.7), 3.5 (3.2-2.7) and 1.4 (1.3-1.6) per 100 person-years, respectively. Over 36-months, the rate of all-cause mortality and major bleeds were highest in patients treated with parenteral therapy (PAR) versus oral anti-coagulants (OAC) and no OAC, and the rate of recurrent VTE was highest in patients on no OAC versus those on PAR and OAC. The most frequent cause of death after 36-month follow-up was cancer (n = 565, 48.6 %), followed by cardiac (n = 94, 8.1 %), and VTE (n = 38, 3.2 %). Most recurrent VTE events were DVT alone (n = 564, 63.3 %), with the remainder PE, (n = 236, 27.3 %), or PE in combination with DVT (n = 63, 7.3 %).Interpretation: GARFIELD-VTE provides a global perspective of anticoagulation patterns and highlights the accumulation of events within the first 12 months after diagnosis. These findings may help identify treatment gaps for subsequent interventions to improve patient outcomes in this patient population
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