98 research outputs found

    Ecology and pathogenicity of the Hoplolaimidae (Nemata) from the sahelian zone of West Africa. 4. The genus Aphasmatylenchus Sher, 1965

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    La température du sol, le taux d'humidité du sol et la plante-hôte influent sur les taux de multiplication d'#Aphasmatylenchus straturatus et #A. variabilis; ces deux nématodes apparaissent incapables d'entrer en anhydrobiose et de survivre au dessèchement du sol pendant la saison sèche. #A. straturatus apparaît pathogène pour l'arachide et le niébé; #A. variabilis n'apparaît pas pathogène pour le mil aux taux d'inoculum testés. La répartition des trois espèces du genre #Aphasmatylenchus$ en Afrique de l'Ouest est discutée. (Résumé d'auteur

    Ecology and pathogenicity of the Hoplolaimidae (Nemata) from the sahelian zone of West Africa. 1. Field studies on Scutellonema cavenessi Sher, 1964

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    Les taux de population du nématode évoluent au rythme des saisons, avec un accroissement pendant la saison des pluies suivi d'une réduction lors de la saison sèche durant laquelle le nématode entre en anhydrobiose; Les taux de population endoracinaire restent toujours inférieurs à 25 % de la population totale. Les taux de population varient avec la localisation géographique, la pluviosité et l'humidité des sols (ces trois facteurs étant liés), l'hôte végétal. Durant toute l'année, les nématodes restent majoritairement localisés dans les couches supérieures du sol (0-20 cm). Les taux de multiplication sont faibles, généralement inférieurs à 25 alors que les taux de survie sont plus élevés, variant de 10 à 65 % ; ces taux varient suivant l'année d'observation et l'hôte végétal. La mise en évidence de corrélations positives significatives entre taux de population initiale du nématode et rendements de l'arachide ne confirme pas les données antérieures sur la nocuité de cette espèce vis-à-vis de l'arachide. (Résumé d'auteur

    Ecology and pathogenicity of the Hoplolaimidae (Nemata) from the sahelian zone of West Africa : 8. Senegalonema sorghi Germani, Luc & Baldwin, 1984 and comparison with Rotylenchulus reniformis Linford & Oliveira, 1940

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    La répartition géographique, les plantes hôtes, la dynamique et la répartition verticale des populations ont été étudiées au Sénégal pour #Senegalonema sorghi. L'observation des racines de sorgho parasitées par #S. sorghi montre l'absence de gangue gélatineuse et la présence d'une coque de nature inconnue chez les femelles matures dont le renflement provoque l'éclatement des tissus corticaux des racines. Les facteurs influençant le taux de multiplication et les effets de l'anhydrobiose ont été étudiés au laboratoire pour #S. sorghi et #Rotylenchulus reniformis. Ces deux espèces sont caractérisées par leur préférence pour des températures du sol relativement faibles et des humidités élevées; toutes deux sont capables d'entrer en anhydrobiose pendant la dessication des sols lors de la saison sèche avec des taux de survie de l'ordre de 20 à 40 %. #S. sorghi semble strictement inféodé aux céréales sauvages et cultivées; cette espèce est, pendant la saison sèche, active et localisée en profondeur dans les sols cultivés et en anhydrobiose dans les horizons superficiels dans les sols en jachère. Seule la gamme d'hôtes relativement étroite de #R. reniformis pourrait expliquer son absence des sols non irrigués dans la zone sahélienne ouest africaine, les autres caractéristiques écologiques étant identiques à celle de #S. sorghi$. (Résumé d'auteur

    Transport of nematodes by wind in the peanut cropping area of Senegal, West Africa

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    Des études ont été menées sur la dissémination éolienne des nématodes dans le bassin arachidier du Sénégal en piégeant le sable et les poussières dans des pots affleurant la surface du sol. Les quantités de sable et de poussières récupérées ne dépendant pas de la localisation géographique des sites d'étude ni de la culture en place pendant la saison des pluies précédente ; elles augmentent régulièrement au cours de la saison sèche, probablement en relation avec la destruction du couvert végétal sec par le bétail. Les populations de nématodes sont caractérisées par l'abondance des nématodes mycophages et bactériophages. Les dorylaimida et les nématodes phytoparasites de l'ordre des Tylenchida sont peu nombreux. L'abondance des nématodes piégés semble en relation avec les niveaux de population de nématodes dans le sol autour des pièges. Des tests de laboratoire montrent que ces nématodes transportés par le vent conservent leurs facultés biologiques de reproduction malgré les stress subis. (Résumé d'auteur

    Ecology and pathogenicity of the Hoplolaimidae (Nemata) from the sahelian zone of West Africa : 5. Aorolaimus macbethi (Sher, 1964) Fortuner 1987

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    #Aorolaimus macbethi$ a été trouvé en faibles nombres dans les sols de la zone sahélienne ouest africaine, jusqu'à 80 cm de profondeur. La température et l'humidité du sol, de même que la plante-hôte affectent significativement les taux de multiplication. Cette espèce, capable d'entrer en anhydrobiose pendant la saison sèche, est caractérisée par de faibles taux de multiplication. Sa nocuité vis-à-vis du mil à de faibles niveaux d'inoculum a été démontrée. (Résumé d'auteur

    Ecology and pathogenicity of the Hoplolaimidae (Nemata) from the sahelian zone of West Africa. 2. Laboratory studies on Scutellonema cavenessi Sher, 1964

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    La biologie du nématode apparaît être sous la dépendance de la température du sol, l'humidité du sol, la plante hôte, la plante sur laquelle le nématode a effectué son cycle précédent, la durée de la période de culture, l'âge du nématode et l'état physiologique du nématode (anhydrobiose ou hydrobiose) avant son inoculation. Cette espèce apparaît bien adaptée aux conditions écologiques de la zone sahélienne; elle est polyphage, se multipliant à de relativement hautes températures du sol (32-34°C) et faibles taux d'humidité du sol (> 5%), avec un cycle biologique d'une durée de 100 jours qui correspond à celle de la saison des pluies. L'anhydrobiose affecte la physiologie du nématode, notamment dans sa capacité reproductrice. Ces caractéristiques biologiques expliquent sa répartition en relation avec les températures du sol et la variation des taux de population en relation avec la pluviosité dans la zone sahélienne ouest-africaine. L'étude de la dynamique des populations montre que la reproduction de l'espèce comprend deux phases successives, la première corespondant à l'activité des nématodes issus de la saison sèche précédente, la seconde à celle des nématodes issus de la première phase. Aucun effet pathogène du nématode n'a pu être enregistré vis-à-vis des cultures pluviales ; ceci confirme les observations effectuées au champ et conduit à douter de la nocuité de cette espèce. (Résumé d'auteur

    Ecology and pathogenicity of the Hoplolaimidae (Nemata) from the sahelian zone of West Africa. 3. Scutellonema clathricaudatum Whitehead, 1959

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    La répartition géographique, les facteurs biotiques et abiotiques affectant le taux de multiplication et la nocuité de #Scutellonema clathricaudatum sont étudiés. Cette espèce apparaît bien adaptée aux conditions écologiques tant des zones semi-arides que des zones humides d'Afrique de l'Ouest. Aucun effet pathogène du nématode sur l'arachide et le mil n'a été mis en évidence. Des mâles étant apparus au cours des expérimentations de laboratoire et les "glandes vaginales" (en réalité le muscle constricteur du vagin) étant présentes chez cette espèce, les relations taxonomiques entre trois espèces très proches, #Scutellonema bradys, S. clathricaudatum, devraient être réexaminées. (Résumé d'auteur

    Ecology and pathogenicity of the Hoplolaimidae (Nemata) from sahelian zone of West Africa : 7. Helicotylenchus dihystera (Cobb, 1893) Sher, 1961 and comparison with Helicotylenchus multicinctus (Cobb, 1893) Golden, 1956

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    La répartition géographique et les plantes hôtes, la dynamique des populations et la répartition verticale ont été étudiées pour le nématode #Helicotylenchus dihystera. Les facteurs influençant le taux de multiplication et les effets de l'anhydrobiose ont été étudiés au laboratoire pour #H. dihystera et #H. multicinctus, montrant que l'absence d'#H. multicinctus de la zone sahélienne d'Afrique de l'Ouest pourrait être expliquée par les effets des fortes températures du sol et le faible taux de survie après le dessèchement du sol. Les observations conduites au champ et au laboratoire montrent que l'anhydrobiose induirait de profondes modifications physiologiques chez #H. dihystera, les taux de population dénombrés étant plus élevés après qu'avant le dessèchement du sol. La nocuité d'#H. dihystera vis-à-vis de l'arachide et du mil est démontrée. (Résumé d'auteur

    Ecology and pathogenicity of the Hoplolaimidae (Nemata) from the sahelian zone of West Africa : 6. Hoplolaimus pararobustus (Schuurmans Stekhoven & Teunissen, 1938) Sher, 1963 and comparison with Hoplolaimus seinhorsti Luc, 1958

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    La répartition géographique, la dynamique et la répartition verticale des populations sont étudiées pour le nématode #Hoplolaimus pararobustus. Les facteurs influençant les taux de multiplication et de survie sont étudiés au laboratoire pour #H. pararobustus et #H. seinhorsti. Ces travaux montrent que ces deux espèces sont parfaitement adaptées aux conditions climatiques régnant dans la zone sahélienne ouest africaine. L'absence d'#H. seinhorsti de ces biotopes reste donc inexpliquée; l'éventualité d'une perte de capacité reproductrice après l'entrée en anhydrobiose est évoquée. Aux taux d'inoculum testés, ces deux espèces n'ont pas d'effets sur la croissance des plantes à l'exception d'#H. pararobustus$ qui induit une diminution du poids frais des racines pour le niébé. (Résumé d'auteur
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