35 research outputs found

    Une relecture du Moyen Âge arménien

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    This analysis of the two most recent books of Nina Garsoïan, a collection of articles published between 1984 and 1988, and a masterly study of the period of formation of the Armenian Church, highlights the doctrinal problems which had to be solued between the Church of the East and the Church of Constantinople in the Transcaucasian context : a slow and complicated process.REB 58 2000 France p. 199-213 Bernadette Martin-Hisard, Une relecture du Moyen Âge arménien. — L'analyse des deux derniers ouvrages de Nina Garsoïan, un recueil d'articles parus entre 1984 et 1988 et une magistrale étude de la période de formation de l'Église nationale d'Arménie, met en évidence l'ampleur des problèmes doctrinaux qui durent être peu à peu résolus, entre l'Église théodorienne d'Orient et l'Église chalcédonienne de Constantinople, et dans le cadre de la Transcaucasie, en suivant des voies qui ne furent ni rapides ni droites.Martin-Hisard Bernadette. Une relecture du Moyen Âge arménien. In: Revue des études byzantines, tome 58, 2000. pp. 199-213

    Moines et monastères géorgiens du 9e siècle : La Vie de saint Grigol de Xancta. Deuxième partie : une mise en perspective historique

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    Written in the mid-tenth century the Life of Grigol reveals a Byzantine background to the history of Georgia. Though it had passed under Arab domination, Eastern Georgia was nevertheless considered by the Byzantines as a part of their sphere of influence as recognised in 591. This explains the periodic reappearance from the mid- seventh to early ninth century of titles such as curopalates held by magnates in the regions bordering on Byzantine Chaldea, the field of action of the monk Grigol.REB 60 2002 France p. 5-64 Bernadette Martin, Moines et monastères géorgiens du 9e siècle : La Vie de saint Grigol de Xancta. Deuxième partie : une mise en perspective historique. — Écrite au milieu du 10e siècle, la Vie de Grigol témoigne du maintien d'un arrière-plan byzantin dans l'histoire de la Géorgie. En effet, bien que passée sous domination arabe, la Géorgie orientale n'en continua pas moins à être considérée par l'Empire byzantin comme relevant de la zone d'influence qui lui fut reconnue en 591. C'est ce qu'exprime, au cours de l'histoire complexe de la période qui va du milieu du 7e siècle au début du 9e siècle, la réapparition périodique dans le monde géorgien de dignités palatines, et notamment de la curopalatie, en faveur de seigneurs qui trouvèrent l'assise de leur pouvoir dans les régions proches de la Chaldie byzantine, où se déroula l'action du moine Grigol.Martin-Hisard Bernadette. Moines et monastères géorgiens du 9e siècle : La Vie de saint Grigol de Xancta. Deuxième partie : une mise en perspective historique. In: Revue des études byzantines, tome 60, 2002. pp. 5-64

    Note sur l'onomastique géorgienne médiévale

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    International audienc

    Le culte de l'archange Michel dans l'empire byzantin (VIIIe-XIe siècle)

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    C. Carletti, G. OtrantoInternational audienc

    La Vie de Georges l’Hagiorite (1009/1010-29 juin 1065). Introduction, traduction du texte géorgien, notes et éclaircissements

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    This translation of the Georgian text of the Life of George Hagiorites provides a basis for the study of the relations of the Byzantine empire with the Georgian kingdom of the Bagratids in the eleventh century, as well as the chronology of the Life, in particular for the period of George’s sojourn on Athos, and the institutional relations of the Georgian Church with the Patriarchate of Antioch. It also presents the religious debates between the Latins and Armenians in which George took part in Constantinople in 1065. The question concerning the various translations has been left open.La traduction du texte géorgien de la Vie de Georges l’Hagiorite sert de fondement à plusieurs développements concernant les relations entre l’Empire byzantin et le royaume bagratide géorgien au 11e siècle, la chronologie de la vie de Georges, notamment durant ses années athonites, l’évolution des relations institutionnelles entre l’Église géorgienne et le patriarcat d’Antioche et des débats religieux mettant en scène des Latins et des Arméniens auxquels Georges prit part à Constantinople en 1065. La question des traductions a été laissée de côté.Martin-Hisard Bernadette. La Vie de Georges l’Hagiorite (1009/1010-29 juin 1065). Introduction, traduction du texte géorgien, notes et éclaircissements. In: Revue des études byzantines, tome 64-65, 2006-2007. pp. 5-204

    L’impératrice Théodora et Bughâ le Turc dans une hagiographie géorgienne du milieu du ixe siècle

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    Dans les années 853-854, sur l’ordre du calife al-Mutawwakil (847-861), le général turc Bughâ conduisit une expédition dans la province d’Armîniya pour réduire la fronde de plus en plus ouverte non seulement de groupes de dhimmî, mais encore de certains émirs arabes. Même si al-Balâdhurî put prétendre que Bughâ donna à l’Armîniya « une paix complète, comme elle n’en avait jamais connu », les difficultés rencontrées firent prendre conscience au pouvoir califal de la complexité d’une province, ..

    L’historiographie aux marges orientales de l’Empire byzantin

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    Parmi les grandes particularités culturelles du Proche-Orient médiéval figure la diversité linguistique de ses littératures : grec byzantin, syriaque, copte, arabe, arménien et géorgien ont à des degrés divers donné naissance à des œuvres littéraires, au nombre desquelles une riche historiographie : les auteurs voulurent enregistrer les événements dont ils étaient témoins ou retrouver – quitte à les inventer – les souvenirs d’un passé plus lointain, dont ils voulaient garder et transmettre la..

    Le roi géorgien médiéval : christianisme et influences iraniennes

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    O. Redon et B. RosenbergerInternational audienc

    Jalons pour une histoire du culte de sainte Nino (fin IVe-début VIIIe s.)

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    J.-P. Mahé et R.W. ThomsonInternational audienc

    La Vie de Jean et Euthyme et le statut du monastère des Ibères sur l'Athos

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    REB 49 1991 France p. 67-142 Bernadette Martin-Hisard, La Vie de Jean et Euthyme et le statut du monastère des Ibères sur l'Athos. — A la suite du conflit qui opposa, de 1029 à 1041, les Grecs et les Ibères dans le monastère fondé par Jean et Euthyme sur l'Athos, les Ibères reçurent de Constantinople confirmation de leurs droits collectifs, héréditaires et inaliénables, sur le monastère et son patrimoine. Par sa structure, la Vie de Jean et Euthyme, texte géorgien dont on donne une traduction annotée, veut être un véritable document juridique, fondant historiquement et enregistrant les droits d'une communauté réduite aux seuls Ibères. Le monastère devient ainsi officiellement «le monastère des Ibères», Iviron.Martin-Hisard Bernadette. La Vie de Jean et Euthyme et le statut du monastère des Ibères sur l'Athos. In: Revue des études byzantines, tome 49, 1991. pp. 67-142
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