6 research outputs found

    La décomposition thermique du propane

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    On étudie expérimentalement la pyrolyse du propane (pression initiale comprise entre 10 et 100 mm Hg) en présence de traces d'oxygène (0,5 à 2 %), vers 550°C, dans des réacteurs en « Pyrex » ou en silice. L’analyse chromatographique des produits de réaction indique que la stoechiométrie principale de la pyrolyse du propane n’est pas modifiée par la présence de traces d'oxygène. Mais on montre que, selon les conditions expérimentales (étendue, nature et état des parois, pressions initiales d’oxygène et de propane, avancement de la réaction), la vitesse de décomposition du propane est tantôt supérieure, tantôt inférieure à celle de pyrolyse du propane pur (à même avancement) ; dans certaines conditions, la réaction peut être inhibée de façon pratiquement complète

    Cinétique et mécanisme de la photo-oxydation du n-heptanal en phase liquide

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    On étudie la cinétique, à l’instant initial, de la photo-oxydation, par l’oxygène dissous, du n-heptanal (pur ou en solution dans le décane n-) en acide perheptanoïque. Contrairement à ceux de McNESBY et DAVIS (1954), les résultats expérimentaux de la présente étude sont compatibles avec un mécanisme radicalaire en chaînes analogue aux schémas proposés pour d’autres aldéhydes, mais seulement vérifiés, jusqu’ici, dans un cas limite

    La décomposition thermique du propane

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    On étudie expérimentalement la pyrolyse du propane (pression initiale comprise entre 10 et 100 mm Hg) en présence de traces d'oxygène (0,5 à 2 %), vers 550°C, dans des réacteurs en « Pyrex » ou en silice. L’analyse chromatographique des produits de réaction indique que la stoechiométrie principale de la pyrolyse du propane n’est pas modifiée par la présence de traces d'oxygène. Mais on montre que, selon les conditions expérimentales (étendue, nature et état des parois, pressions initiales d’oxygène et de propane, avancement de la réaction), la vitesse de décomposition du propane est tantôt supérieure, tantôt inférieure à celle de pyrolyse du propane pur (à même avancement) ; dans certaines conditions, la réaction peut être inhibée de façon pratiquement complète

    N° 74. — L’oxydation lente du méthane vers 450-500 °C dans des récipients en pyrex ou en silice

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    Le séjour de vapeur d’eau dans un récipient en pyrex ou en silice modifie l’état de sa paroi interne de telle sorte que l’oxydation du méthane dans un réacteur ainsi traité est accélérée. De même, au cours d’une expérience, l’état de la paroi évolue, en partie au moins sous l’influence de la vapeur d’eau formée. Le formaldéhyde qui apparaît intermédiairement n’est donc pas le seul responsable de l’allure auto-accélérée de l’oxydation du méthane dans un vase en pyrex ou en silice. Un autre facteur auto-accélérateur, qui était passé inaperçu, est l’évolution de l’état de la paroi pendant une manipulation. La prise en considération de ce nouveau phénomène auto-accélérateur permet de comprendre des faits expérimentaux restés inexpliqués jusqu’ici. Il est vraisemblable qu’au cours d’une expérience ou par traitement préalable à la vapeur d’eau, la paroi perd de son efficacité à rompre les chaînes

    La pyrolyse de l’isopentane pur

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    On étudie la pyrolyse, à faible avancement, de l’isopentane pur, dans des récipients en « Pyrex », vers 500 °C et 25 mm Hg de pression initiale. La composition des produits de la réaction est déterminée par chromatographie gazeuse. On montre que certaines modifications des parois des réacteurs n’affectent pratiquement pas la vitesse de pyrolyse de l’isopentane. On détermine les caractéristiques cinétiques de cette réaction à l’instant initial. Les résultats expérimentaux sont interprétés à l’aide d’un mécanisme radicalaire en chaînes
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