7 research outputs found

    Typologie des démences dans un service de soins de longue durée

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    PARIS6-Bibl. St Antoine CHU (751122104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Variations saisonnières et circadiennes de la mortalité dans un service de gériatrie

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    Centre Technique Livre Ens. Sup. (774682301) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de l'efficacité d'un centre de jour interne sur les troubles du comportement d'une population âgée institutionnalisée en structure de soins de longue durée

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    Le centre de jour du service de gérontologie de l'hôpital Bicêtre a été crée en novemvre 2000 suite à une réflexion de l'équipe soignante sur la difficulté de la prise en charge des patients présentant des troubles du comportement en soins de longue durée. L'accueil des patients se deroule dans un appartement, au sein du service, une à plusieurs fois par semaine, en individuel ou en groupe. La prise en charge associe une psychothérapie de soutient, un travail sur l'affectif, une stimulation cognitive et des activités de socialisation. L'objectif de l'étude est d'évaluer, chez 21 patients, l'impact de ce suivi sur les troubles du comportement, mais aussi sur les fonctions cognitives, la dépression et l'autonomie. Quatre échelles ont alors été respectivement utilisées : l'échelle de Cohen Mansfield, le MMS, le Cornell Scale et l'ADL associé à l'IADL. Ces patients souffrent soit d'un syndrome démentiel (groupe majoritaire), soit d'une pathologie psychiatrique ou d'un handicap physique. Leur point commun est de présenter des troubles du comportement. L'évaluation a été réalisée avec une infirmière et une aide-soignante de l'unité dont dépend le patient à J0, J120 et J365 du suivi en centre de jour. Les résultats et l'analyse statistique sont d'interprétation difficle du fait des faiblesses méthodologiques. Cependant, nous pouvons observer que deux types de patients semblent tirer un bénéfice plus important de ce suivi : les patients ayant une altération des fonctions supérieures moyenne à modérée et les patients dépressifs. Par ailleurs, cette étude nous permet de réfléchir sur la place et le rôle du centre de jour intene au sein de l'institution. Grâce à l'expérience de cette structure originale et aux données de la littérature, nous avons pu envisager certaines perspectives. A l'avenir, la forme de prise en charge sera fonction de l'importance du déficit cognitif...PARIS7-Villemin (751102101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Utilisation par le médecin généraliste d'aides au dépistage et à la prise en charge de patients atteints de pathologies démentielles dans le Val de Marne

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    Introduction: D'ici 2020, le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus, atteint de pathologies démentielles serait de 613.000. 95% d'entre elles, dont 5.5% totalement dépendantes, vivent à domicile et souhaitent continuer à y vivre. L'objectif de ce travail est de développer l'action que doit mener le médecin généraliste, sur le département du Val de Marne, afin de répondre à l'attente de ces patients dans les meilleures conditions de confort et de sécurité. Rappel sur la maladie d'Alzheimer: La maladie d'Alzheimer est la démence dégénérative la plus fréquente. Elle se définit par des troubles cognitifs hétérogènes associés à des troubles du comportement. Le diagnostic est évoqué devant ces signes cliniques et conforté par des tests psychométriques et l'élimination des autres causes de démence. Epidémiologie: Par extrapolation des chiffres de prévalence de l'étude PAQUID, on considère qu'il y aurait 4.479 malades d'Alzheimer dans le Val de Marne. En France, 78% des malades vivent à domicile dont 58% bénéficiant de la présence d'un membre de leur famille (conjoint dans 35%). En général, la demande de mise en place de services de soins à domicile se fait, soit par la famille (40%), soit par le médecin traitant (21.6%). 30% des malades à domicile sont cotés en GIR IV, et ne bénéficient pas de la PSD, posant le problème de la prise en charge financière des aides. L'institution devient nécessaire quand les structures à domicile sont dépassées et le patient en situation d'insécurité. Méthodes: Cette enquête a été effectuée auprès de médecins généralistes du Val de Marne. Sur 1.077 médecins, 200 ont été choisis au hasard dans l'annuaire et ont reçu un questionnaire, 72 médecins ont répondu. Résultats: Les médecins ont en moyenne 4 à 5 déments parmi leur clientèle dont 2 à 3 malades d'Alzheimer, la plupart recevant un traitement anticholinestérasique. 32 médecins sur 72 utilisent un test de dépistage en cas de plaintes mnésiques (53 médecins sur 72) ou de troubles du comportement (45 médecins sur 72). Ils font appel à des spécialistes (63 médecins sur 72) et utilisent peu les centres mémoire. Les aides financières et les mesures juridiques sont mal connues Discussion: Le médecin a un quadruple rôle: - De dépistage en utilisant des tests rapides et référencés (IADL, MMS) - De diagnostic par un examen clinique et paraclinique et l'aide des spécialistes, utilisant des tests psychométriques confortant le diagnostic. - Dans la prise en charge globale de son patient par le traitement des déficits cognitifs, des troubles psychocomportementaux et des pathologies intercurrentes et par l'installation d'aides à domicile afin de préserver les fonctions psychiques et relationnelles de son patient. Il prévoit, en dehors de l'urgence, l'institution lorsqu'il en présage la nécessité. - Dans la diffusion d'informations concernant les aides financières et les mesures légales Conclusion: Notre enquête a permis de révéler les lacunes existantes dans le domaine de la diffusion des services utiles aux déments à domicile (centres mémoire, accueil de jour, sécurisation de l'habitat) et sur les aides financières. Les médecins souhaitent la création, dans le département, de réseaux de soins dont ils seraient les piliers mais pas les gestionnaires.PARIS13-BU Serge Lebovici (930082101) / SudocSudocFranceF

    Le syndicalisme dans la France occupée

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    Émanant d’historien(ne)s du patronat, des salariés, des fonctionnaires et, fait plus singulier, de responsables de l’Institut d’histoire sociale et des instituts fédéraux de la CGT - qui ont favorisé l’accès à des archives inédites - les contributions rassemblées ici s’attachent surtout à l’analyse de pratiques syndicales multiples, surtout à l’échelle fédérale, dans la situation d’exception de guerre et d’occupation. Avec in fine un constat, corroborant celui formulé par Ian Kershaw à propos de l’Allemagne : « Les pressions économiques de la guerre » constituent sans doute un déterminant plus probant que les choix idéologiques. Du fait des archives disponibles - qui reflètent pour partie la pression des institutions vichyssoises - le volume privilégie, par nécessité, les fédérations de syndicats « légaux » : les ex-confédérés de la CGT - surtout les « fédéraux » loyaux au régime - ainsi que les syndicats patronaux, minorant de fait les autres échelles d’observation ainsi que les syndicats professionnels, la CFTC et les exunitaires de la CGT. Mais les acteurs de ce syndicalisme « légal » ne pouvant faire abstraction de celui qui l’est moins ou ne l’est pas du tout - sous des formes d’ailleurs complexes de cohabitation - le croisement des regards et des échelles a été poussé au plus loin pour analyser les épreuves exceptionnelles subies par les diverses formes du syndicalisme et, une fois refermée la parenthèse des années noires, les traces parfois durables qu’elles y ont laissées
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