77 research outputs found

    Getting by at the Benjamin Mays Black Branch: Library Access for African Americans in Jim Crow South Carolina, 1940-1971

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    This thesis examines a chapter of South Carolina history that has been neglected in the historical record, namely segregated libraries of the twentieth century. Previous works have covered the history of black libraries in the entire South, but details of South Carolina\u27s segregated libraries are incomplete. This study looks first at the broader context of segregated libraries in the American South and then reviews the history of African American libraries in South Carolina. Finally, this study provides a case study of the Benjamin Mays Library, a segregated, African American library in Greenwood, South Carolina. The case study uses primary source documents and oral history interviews to establish the library\u27s background and history, with a focus on progress toward integration. The record of this library and the broader background on South Carolina\u27s black libraries will illustrate that there was no one single catalyst for black library establishment in South Carolina. Rather several agents developed and maintained segregated libraries throughout the state until desegregation in the 1960s and 1970s

    Focus on Korean Art. : Korean Studies Workshop on Contemporary and Modern Korea (Workshop EUKOPAC, Paris 2014)

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    Fonds audiovisuel du programme ESCoM-AAR (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2001 - 2016).Members of EUKOPAC (EUropean research network on KOrean Political ACtors), were able to provide papers about various subjects such as studies about North Korea or South Korea, the Korean diaspora and Korean Art. This workshop has been fully recorded in English.Cette journée d’étude donne la parole aux membres d’EUKOPAC (EUropean research network on KOrean Political ACtors), proposant ainsi des interventions axées sur plusieurs domaines : les recherches concernant la Corée du Nord, la Corée du Sud, celles s’intéressant à la diaspora coréenne et une partie consacrée à l’art coréen. Cette journée d’étude s’est intégralement déroulée en anglais

    Atelier "Enjeux sociaux, culturels et politique de la traduction". Interventions de l'atelier 3. : Etudes coréennes, traduction, sciences sociales : pratiques et institutions (Atelier de recherche du Réseau des Etudes sur la Corée, Paris 2012)

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    Fonds audiovisuel du programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche. Paris, France, 2000 - 2016).Le programme de recherche pluriannuel « Le Réseau des études sur la Corée – Paris Consortium » (2010-2015) est un programme créé en 2010 et subventionné par l’Academy of Korean Studies (AKS). Il est composé de l’université Paris Diderot (établissement principal, M. Yannick Bruneton), de l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO, M. Kim Daeyeol) et de l’Ecole des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS, M. Alain Delissen et Mme Valérie Gelézeau). Les enjeux du Réseau des études sur la Corée consistent à produire des ressources numériques en langue française (travaux de recherches, traduction, ressources pédagogiques) mis en ligne sur le site web du Réseau et à organiser annuellement un atelier de recherche. L’atelier 2012, « Etudes coréennes, Traduction, Sciences sociales : Pratiques et institutions », souhaite rendre compte des problématiques liées aux pratiques de traductions en études coréennes et en sciences sociales.Outre les établissements partenaires du Réseau des études sur la Corée, sont représentés les membres du groupe de recherche « Traductions, Sciences sociales de la Corée » mis en place depuis dix ans dans l’équipe Chine, Corée, Japon (UMR 8173), ainsi que le Korean Literature Translation Institute et l’Institute for the Translation of Korean Classics.Le premier atelier « La traduction en pratiques : retour d’expériences et chantiers en cours » (non enregistré) revient sur les travaux en cours en ce qui concerne la traduction entre le coréen et le français, et les expériences et observations mises en avant par Alain DELISSEN (EHESS), Yannick BRUNETON (Paris Diderot) et Eunjin JEONG (INALCO).Le deuxième atelier « Traduire le chinois classique en Corée et en France » met en avant les papiers de chercheurs coréens et français (Kyoungyeol KWON (Institute for the Translation of Korean Classics) et Isabelle SANCHO (CNRS) sur la traduction spécifique du chinois classique vers le coréen et/ou le français et les difficultés rencontrées qu’elles soient linguistiques ou institutionnelles.Le troisième atelier « Enjeux sociaux, culturels et politique de la traduction » poursuit la réflexion menée lors du deuxième atelier en soulevant des problématiques liées à la politique et aux enjeux de la traduction du coréen vers le français et inversement, selon le point de vue de chercheurs et d’institutions des deux pays (Alain DELISSEN (EHESS), Jinkwon JUNG (Korea Literature Translation Institute), Kyoungyeol KWON (Institute for the Translation of Korean Classics), Hyungjoon CHIN (Université Hongik).Le dernier atelier (non enregistré) « Outils du web, éditions électroniques et traductions » fait le point sur le blog et le site web du Réseau des études sur la Corée. Camille HARANG (Yooook.net) termine cet atelier en exposant un nouveau modèle numérique qu’il est en train de développer : Le Web et la TEI au service de la traduction numérique

    Colloque Voix Contemporaines <br>: Première partie du colloque "Voix contemporaines" (Université Sorbonne-Nouvelle et Sorbonne Université).

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    Colloque Voix contemporaines, organisé les 18 et 19 mai 2010 à la Maison de la recherche de l’université Sorbonne-Nouvelle, par l’ED Arts & Médias (Paris 3) et l’Observatoire musical français (Paris 4). Ce colloque regroupe une douzaine de conférences relatives aux voix parlées et chantées de notre temps, de la physiologie à la pédagogie, comme de l’interprétation à la critique ou à divers modes d’expression spécifiques (cri, jazz-poem, théâtre musical…). Créé en 1989, l’Observatoire Musical Français (OMF) – regroupant quelque 20 permanents et une cinquantaine d’associés – a consacré l’essentiel de ses travaux à la musique des XIXe et XXe siècles autour de différents axes : jazz, chanson et musiques populaires ; esthétique ; musicologie, informatique et nouvelles technologies (MINT) ; musique et arts plastiques (MAP) ; musique, société, enseignement et cognition (MUSECO).Plus de 150 colloques ou journées d’études y ont été organisés ou co-organisés, et 224 thèses y ont été soutenues jusqu’en décembre 2013, date de sa fusion avec deux autres unités dans un nouvel Institut de Recherche en Musicologie (IReMus, UMR 8223), placé sous une quadruple tutelle : BnF, CNRS, Ministère de la Culture, université Paris-Sorbonne. La maison d’édition OMF, regroupant plus de 200 titres à cette date, subsiste désormais seule sous cette appellation

    Que vient-on chercher dans un lieu saint? : Conférence de Jean-Michel Butel (INALCO).

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    Jean-Michel BUTEL présente une conférence dans le cadre de l'exposition OFUDA au Musée Guimet.Bernard Franck a parcouru tout le Japon et visité des milliers de lieux saints pour rassembler son incroyable collection d'ofuda. Peu de pèlerins japonais auront été aussi assidus que lui sans doute. Pourtant, il n'est pas rare qu'une même personne fréquente plusieurs temples ou sanctuaires au Japon. Ceux-ci proposent d'ailleurs un panel de services non exclusifs, sur un marché du religieux pour lequel ofuda et amulettes (omomori) sont des produits centraux. Nous souhaiterions, dans cet exposé, retracer rapidement l'histoire de la diffusion des ofuda depuis le Japon pré-moderne. Ce faisant, nous examinerons les demandes faites aux divinités, et l'efficace qui leur est reconnue

    Économie du bien-être et de la justice sociale. : Entretien patrimonial avec Stéphane ZUBER (CNRS) réalisé par Neli Dobreva (ESCoM-AAR) dans le cadre du programme AAR.

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    Fonds audiovisuel du programme ESCoM-AAR (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2001 - 2016).L’entretien porte sur le parcours professionnel de Stéphane ZUBER, chargé de recherche au CNRS, spécialiste de philosophie et d’économie. Les grands thèmes et les axes actuels de la recherche de Stéphane ZUBER, qu’il explique au fur et mesure avec des exemples concrets sont: la prévention de risques climatiques, l'équité intergénérationnelle, les risques catastrophiques. Stéphane ZUBER est actuellement affecté au Centre d’Economie de la Sorbonne et chercheur associé à la Chaire « Economie du Bien-Être et de la Justice Sociale » au Collège d’Etudes Mondiales de la Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH). Il dispose également d'une expérience internationale : Université de Princeton aux États-Unis, Université de Californie à Berkeley aux États-Unis, Centre suédois d’études avancées, Université Catholique de Louvain etc. Après un Master « Analyse et Politique Economiques » à l’Ecole normale supérieure et à l’EHESS et une Maîtrise de Philosophie à l’Université Paris 4, il a réalisé sa thèse de doctorat en Economie à l’Université Toulouse 1 sous la direction d’Antoine Bommier. Il a ensuite effectué un post-doctorat de deux ans au CORE de l’Université Catholique de Louvain (Belgique). Recruté au CNRS en 2010, il a d’abord été affecté à un laboratoire interdisciplinaire à l’Université Paris Descartes avant de rejoindre le Centre d'Economie de la Sorbonne. Ses travaux de thèse portent sur différentes questions théoriques sur le choix social inter-temporel. Sa recherche aborde plus précisément la question du taux d’escompte social et de l’équité entre générations ; et la question de l’agrégation des préférences dans un cadre temporel mettant en jeu du risque. Actuellement, le premier axe reste dans le cœur de ses préoccupations, avec une attention plus particulière pour la question des risques catastrophiques. Le deuxième axe s’est transformé en un questionnement plus large autour de la notion d’équité dans des contextes mettant en jeu de l’incertitude, en adoptant notamment une approche ex-post. Stéphane ZUBER s'intéresse de plus en plus aux questions d’éthique de population et d’évaluation de situations impliquant des populations de taille variable

    Atelier "Enjeux sociaux, culturels et politique de la traduction". Interventions de l'atelier 3. : Etudes coréennes, traduction, sciences sociales : pratiques et institutions (Atelier de recherche du Réseau des Etudes sur la Corée, Paris 2012)

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    Fonds audiovisuel du programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche. Paris, France, 2000 - 2016).Le programme de recherche pluriannuel « Le Réseau des études sur la Corée – Paris Consortium » (2010-2015) est un programme créé en 2010 et subventionné par l’Academy of Korean Studies (AKS). Il est composé de l’université Paris Diderot (établissement principal, M. Yannick Bruneton), de l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO, M. Kim Daeyeol) et de l’Ecole des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS, M. Alain Delissen et Mme Valérie Gelézeau). Les enjeux du Réseau des études sur la Corée consistent à produire des ressources numériques en langue française (travaux de recherches, traduction, ressources pédagogiques) mis en ligne sur le site web du Réseau et à organiser annuellement un atelier de recherche. L’atelier 2012, « Etudes coréennes, Traduction, Sciences sociales : Pratiques et institutions », souhaite rendre compte des problématiques liées aux pratiques de traductions en études coréennes et en sciences sociales.Outre les établissements partenaires du Réseau des études sur la Corée, sont représentés les membres du groupe de recherche « Traductions, Sciences sociales de la Corée » mis en place depuis dix ans dans l’équipe Chine, Corée, Japon (UMR 8173), ainsi que le Korean Literature Translation Institute et l’Institute for the Translation of Korean Classics.Le premier atelier « La traduction en pratiques : retour d’expériences et chantiers en cours » (non enregistré) revient sur les travaux en cours en ce qui concerne la traduction entre le coréen et le français, et les expériences et observations mises en avant par Alain DELISSEN (EHESS), Yannick BRUNETON (Paris Diderot) et Eunjin JEONG (INALCO).Le deuxième atelier « Traduire le chinois classique en Corée et en France » met en avant les papiers de chercheurs coréens et français (Kyoungyeol KWON (Institute for the Translation of Korean Classics) et Isabelle SANCHO (CNRS) sur la traduction spécifique du chinois classique vers le coréen et/ou le français et les difficultés rencontrées qu’elles soient linguistiques ou institutionnelles.Le troisième atelier « Enjeux sociaux, culturels et politique de la traduction » poursuit la réflexion menée lors du deuxième atelier en soulevant des problématiques liées à la politique et aux enjeux de la traduction du coréen vers le français et inversement, selon le point de vue de chercheurs et d’institutions des deux pays (Alain DELISSEN (EHESS), Jinkwon JUNG (Korea Literature Translation Institute), Kyoungyeol KWON (Institute for the Translation of Korean Classics), Hyungjoon CHIN (Université Hongik).Le dernier atelier (non enregistré) « Outils du web, éditions électroniques et traductions » fait le point sur le blog et le site web du Réseau des études sur la Corée. Camille HARANG (Yooook.net) termine cet atelier en exposant un nouveau modèle numérique qu’il est en train de développer : Le Web et la TEI au service de la traduction numérique

    Colloque Voix Contemporaines <br>: Quatrième et dernière partie

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    Colloque Voix contemporaines, organisé les 18 et 19 mai 2010 à la Maison de la recherche de l’université Sorbonne-Nouvelle, par l’ED Arts & Médias (Paris 3) et l’Observatoire musical français (Paris 4). Ce colloque regroupe une douzaine de conférences relatives aux voix parlées et chantées de notre temps, de la physiologie à la pédagogie, comme de l’interprétation à la critique ou à divers modes d’expression spécifiques (cri, jazz-poem, théâtre musical…). Créé en 1989, l’Observatoire Musical Français (OMF) – regroupant quelque 20 permanents et une cinquantaine d’associés – a consacré l’essentiel de ses travaux à la musique des XIXe et XXe siècles autour de différents axes : jazz, chanson et musiques populaires ; esthétique ; musicologie, informatique et nouvelles technologies (MINT) ; musique et arts plastiques (MAP) ; musique, société, enseignement et cognition (MUSECO). Plus de 150 colloques ou journées d’études y ont été organisés ou co-organisés, et 224 thèses y ont été soutenues jusqu’en décembre 2013, date de sa fusion avec deux autres unités dans un nouvel Institut de Recherche en Musicologie (IReMus, UMR 8223), placé sous une quadruple tutelle : BnF, CNRS, Ministère de la Culture, université Paris-Sorbonne. La maison d’édition OMF, regroupant plus de 200 titres à cette date, subsiste désormais seule sous cette appellation

    Colloque Voix Contemporaines <br>: Troisième partie

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    Colloque Voix contemporaines, organisé les 18 et 19 mai 2010 à la Maison de la recherche de l’université Sorbonne-Nouvelle, par l’ED Arts & Médias (Paris 3) et l’Observatoire musical français (Paris 4). Ce colloque regroupe une douzaine de conférences relatives aux voix parlées et chantées de notre temps, de la physiologie à la pédagogie, comme de l’interprétation à la critique ou à divers modes d’expression spécifiques (cri, jazz-poem, théâtre musical…). Créé en 1989, l’Observatoire Musical Français (OMF) – regroupant quelque 20 permanents et une cinquantaine d’associés – a consacré l’essentiel de ses travaux à la musique des XIXe et XXe siècles autour de différents axes : jazz, chanson et musiques populaires ; esthétique ; musicologie, informatique et nouvelles technologies (MINT) ; musique et arts plastiques (MAP) ; musique, société, enseignement et cognition (MUSECO). Plus de 150 colloques ou journées d’études y ont été organisés ou co-organisés, et 224 thèses y ont été soutenues jusqu’en décembre 2013, date de sa fusion avec deux autres unités dans un nouvel Institut de Recherche en Musicologie (IReMus, UMR 8223), placé sous une quadruple tutelle : BnF, CNRS, Ministère de la Culture, université Paris-Sorbonne. La maison d’édition OMF, regroupant plus de 200 titres à cette date, subsiste désormais seule sous cette appellation
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