61 research outputs found

    Uncommon external abdominal oblique muscle strain in a professional soccer player: a case report

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    BACKGROUND: This is the first report of external abdominal oblique muscle injury occurring in a professional soccer player. CASE PRESENTATION: A 28-year-old Caucasian professional soccer player presented after experiencing a popping sensation associated with strong parietal pain localized between the left 11th and 12th ribs. Ultrasound examination revealed a collection of fluid under the 11th rib, suggesting injury of the left external oblique muscle. Platelet-rich plasma treatment was administered and the soccer player returned to competition on the 21st day after treatment. CONCLUSION: This rare injury results from a sudden intrinsic eccentric contraction of the internal oblique muscle while in a stretched position. Ultrasound can help to confirm the diagnosis and to monitor clinical follow-up. Platelet-rich plasma treatment could aid recovery in high-level athletes

    Comparison of total ankle replacement and ankle arthrodesis in patients with haemophilia using gait analysis : two case reports

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    BACKGROUND: Severe hemophilia is an inherited, lifelong bleeding disorder characterized by spontaneous bleeding, which results in painful joint deformities. Currently two surgical treatments are available to treat haemophilia-related ankle joint destruction: ankle arthrodesis and total ankle replacement. The aim of the present study was to compare these two surgical procedures in haemophiliac subjects. CASE PRESENTATION: Kinematic and dynamic parameters were quantified using a three-dimensional gait-analysis system in two similar clinical cases. In Caucasian case 1, ankle arthrodesis was chosen because of a kinematic ankle flexion defect and lack of dynamic power regeneration. The defect in energy absorption was compensated for by the contralateral side. Total ankle replacement in Caucasian case 2 allowed sparing the ipsilateral knee (maximum 0.27 preoperatively vs. 0.71 W/kg postoperatively) and hip joints powers (maximum 0.43 preoperatively vs. 1.25 W/kg postoperatively) because of the small ankle dorsiflexion motion. CONCLUSIONS: Total ankle replacement is recommended for haemophiliac patients who present with a preserved ankle range of motion

    Anatomical and Neuromuscular Factors Associated to Non-Contact Anterior Cruciate Ligament Injury

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    The majority of anterior cruciate ligament (ACL) injuries occur during non-contact mechanisms. Knowledge of the risk factors would be relevant to help prevent athletes’ injuries. We aimed to study risk factors associated with non-contact ACL injuries in a population of athletes after ACL reconstruction. From a cohort of 307 athletes, two populations were compared according to the non-contact or contact mechanism of ACL injury. Gender, age and body mass index (BMI) were reported. Passive knee alignment (valgus and extension), knee laxity (KT-1000 test), and isokinetic knee strength were measured on the non-injured limb. The relationship between these factors and the non-contact sport mechanism was established with models using logistic regression analysis for the population and after selection of gender and cut-offs of age, BMI and knee laxity calculated from Receiver Operating Characteristics curve area and Youden index. Age, BMI, antero-posterior laxity, isokinetic knee strength, passive knee valgus and passive knee extension were associated with non-contact ACL injury. According to the multivariate model, a non-contact ACL injury was associated with non-modifiable factors, age (OR: 1.05; p = 0.001), passive knee extension (OR: 1.14; p = 0.001), and with one modifiable factor (Hamstring strength: OR: 0.27; p = 0.01). For women, only passive knee valgus was reported (OR: 1.27; p = 0.01). Age, passive knee extension and weak Hamstring strength were associated with a non-contact ACL injury. Hamstring strengthening could be proposed to prevent ACL injury in young male athletes or in case of knee laxity

    Évaluation de la prise en charge médicale de la gonarthrose en médecine de ville (à partir d'une étude rétrospective de 284 patients opérés d'une prothèse totale de genou)

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    La gonarthrose est une maladie fréquente dont l'incidence va augmenter dans les années à venir du fait du vieillissement de la population générale. Afin d'améliorer sa prise en charge, des recommandations ont été émises en 2003 par l'EULAR. Il était donc intéressant d'étudier leurs applications au niveau de la pratique médicale de ville. Une étude rétrospective portant sur 284 patients opérés d'une prothèse totale de genou sur gonarthrose a permis de relever les différentes thérapeutiques réalisées avant l'intervention. Les résultats montrent que les recommandations ne sont pas entièrement suivies. Seul le paracétamol et les AINS sont largement prescrits. Les autres thérapeutiques, notamment non médicamenteuses, ne dépassent pas 50% des prescriptions soit un taux largement insuffisant en regard de leur coût et de leur efficacité. Les traitements à type d'infiltrations de corticoïdes et d'acide hyaluronique sont utilisés en seconde intention comme recommandé. L'évolution des prescriptions dans le temps ne montre pas d'amélioration du suivi des recommandations entre 2004 et 2007. Une nouvelle sensibilisation des praticiens pourrait être souhaitable.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    REEDUCATION DES RUPTURES DE COIFFE DE L'EPAULE OPEREES. PRISE EN CHARGE EN HOSPITALISATION CONVENTIONNELLE,HOSPITALISATION DE JOUR,OU EN VILLE (A PROPOS DE 84 OBSERVATIONS)

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    NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Réentraînement entre 4 et 6 mois post-opératoires d'une reconstruction du LCAE au tendon rotulien ou aux ischio-jambiers (comparaison entre footing fractionné et sujet non entraîné)

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    La rupture du LCAE est un événement fréquemment rencontré dans la pratique d'activités physiques notamment les sports de pivot et de contact. Le sujet sportif souhaite après une reconstruction du LCAE pouvoir reprendre au plus vite et au niveau de pratique antérieur son activité physique. Nous avons voulu étudier l effet d un protocole de réentraînement basé sur la pratique de footing fractionné, entre le quatrième et le sixième mois post-opératoires, par rapport à un groupe non réentraîné. Nous avons donc comparé 2 groupes de 30 patients ( opérés selon la technique au tendon rotulien ou aux ischio-jambiers) au 4éme et 6éme mois post-opératoires, en réalisant des test isocinétiques mesurant la force musculaire des fléchisseurs et des extenseurs du genou, en pratiquant un examen clinique de laxité et un test de saut monopodal et en contrôlant la tolérance du programme de réentraînement à l aide de score fonctionnel ( score de Lysholm). Ces mêmes comparaisons ont été effectuées entre des sous populations que nous avons définies en fonction du pourcentage du protocole de réentraînement effectué, du type de chirurgie, et des déficits pré-entrainement aux deux vitesses. Les résultats n ont pas mis en évidence de différence significative sur les déficits de force isocinétique et en terme de progrès entre le 4éme et le 6éme mois entre les groupes entraînés et non entraînés. Une différence significative à 4 et 6 mois a été mis en évidence en fonction du type de chirurgie avec des déficits plus importants sur les extenseurs pour les sujets opérés selon la technique au tendon rotulien et sur les fléchisseurs pour ceux opérés selon la technique aux ischio-jambiers et cela quelque soit le type de réentraînement. La tolérance du réentraînement à l effort est très bonne comme en témoigne l examen clinique des laxités et l échelle fonctionnelle de Lysholm. Pour retrouver son niveau de pratique antérieur le sportif doit retrouver des capacités aérobies. Le protocole d intervalle training-vitesse que nous avons proposé a un rôle limité sur la récupération de la force musculaire développé au niveau du genou opéré mais est bien toléré.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Description de la prise en charge médicale de l'omarthrose avant prothèse d'épaule selon le vécu du patient (à partir de 21 cas)

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    Introduction : l'omarthrose représente pour les médecins généralistes une difficulté dans sa prise en charge du fait de l'absence de recommandation. Elle représentera un problème de santé publique dans les années à venir en raison du vieillissement de la population. L'objectif de cette étude était de décrire les traitements pharmacologiques et non pharmacologiques utilisés par les patients présentant une omarthrose avant mise en place d'une prothèse d'épaule. Nous nous sommes appuyés sur des recommandations pour les autres localisations de l'arthrose : EULAR (2003) et OARSI (2009), et pour les autres pathologies de l'épaule : HAS (2005). Le but de l'étude était d'établir des recommandations sur la prise en charge médicale de l'omarthrose pour les médecins généralistes. Méthode : Entre Juin 2011 et Juin 2012, ont été inclus des patients admis en CRRF pour rééducation de l'épaule après la mise en place récente d'une prothèse d'épaule pour omarthrose. A l'aide d'un questionnaire semi-directif, nous avons étudié la prise de traitements pharmacologiques et non pharmacologiques dans les 5 ans qui ont précédé la chirurgie : antalgiques, anti-inflammatoires, anti-arthrosiques symptomatiques d'action lente, infiltrations de corticoïdes retard et d'acide hyaluronique, soins de masso-kinésithérapie. Nous avons parallèlement étudié les facteurs limitant ces prescriptions. Résultats : Vingt-et-un patients âgés en moyenne de 76 ans +- 7 ont été inclus. Les antalgiques ont été consommé dans 95% des cas avec une prépondérance des opioïdes faibles (75% des antalgiques). Les anti-inflammatoires ont été moins souvent utilisés, dans 62% des cas, quoique de façon relativement importante pour cette population âgée. Les anti-arthrosiques symptomatiques d'action lente ont été peu utilisés, dans seulement 9,5% des cas, certainement en raison des controverses concernant l'efficacité de ces molécules. Les infiltrations intra-articulaires de corticoïdes de longue durée d'action ont été utilisées dans 52% des cas, peut être en raison de sa faible réalisation par les médecins généralistes (27% des patients infiltrés). Les infiltrations d'acide hyaluronique ont été peu utilisées, dans 14% des cas. Bien que leur efficacité soit démontrée dans la gonarthrose, elle est encore à démontrer pour l'omarthrose. Enfin, la kinésithérapie n'a été que trop peu utilisée dans 43% des cas. Alors qu'elle est très utile dans la gestion de la douleur et dans l'amélioration de la fonctionnalité de l'épaule, son intérêt semble peu présent à l'esprit des patients et des médecins. Les pratiques sont à améliorées dans ce domaine pour permettre aux patients d'avoir recours à une prise en charge optimale et globale. Conclusion : nous recommandons l'utilisation des antalgiques, des anti-inflammatoires et de la kinésithérapie en première intention. Les anti-arthrosiques et les infiltrations doivent intervenir en seconde intention. La kinésithérapie doit être associée aux traitements pharmacologiques. Des études devront valider cette prise en charge dans l'omarthrose afin de fournir aux praticiens un cadre de prescription et aux patients un traitement médical optimal avant d'avoir recours à la chirurgie prothétique.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Etude prospective descriptive des tests isocinétiques des muscles fléchisseurs et extenseurs de genou et des échelles fonctionnelles à 4, 6, 9 et 12 mois post-opératoires d'une reconstruction du ligament croisé antéro-externe par la technique au DIDT (à propos de 58 cas)

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    Cette étude prospective décrit l'évolution des tests isocinétiques et des échelles fonctionnelles au cours de la première année post-opératoire d'une ligamentoplastie de LCAE par technique au DIDT. Cette étude a inclus 58 patients tous opérés par le même chirurgien et évalués à 4, 6, 9 et 12 mois post-opératoires avec un bon résultat clinique sur la laxité avec seulement deux échecs. Une progression des échelles fonctionnelles et de la force musculaire des fléchisseurs et des extenseurs a été montrée par cette étude au cours du suivi longitudinal. Il persiste à un an post-opératoire un déficit de force des extenseurs de 15,4% à 60/sec et 12,4% à 180/sec et des fléchisseurs de 11,6% à 60/sec et 10,6% à 180/sec. Malgré une bonne satisfaction de nos patients vis-à-vis de la chirurgie, seulement 64% d'entre eux ont obtenu leur objectif sportif à un an selon l'échelle de Tegner. La technique au DIDT est donc fiable sur une durée de 12 mois avec une bonne satisfaction clinique, fonctionnelle et subjective des patients mais avec une reprise sportive au même niveau qui peut être différée au-delà de 1 an. Les tests isocinétiques réalisés à intervalles réguliers et couplés à l'examen clinique permettent d'adapter la prise en charge rééducative et de surveiller la progression de la force musculaire afin d'envisager avec le patient le délai de reprise sportive notamment en cas de complications douloureuses.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Exploration isocinétique des muscles rotateurs de l'épaule chez des sportifs professionnels pratiquant la voile (intérêt en pratique de médecine sportive)

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    Une étude cas-témoin à été réalisée dans le service de médecine sportive de l'hôpital Saint-Jacques afin d'évaluer la force musculaire des rotateurs externes et internes de l'épaule, dans le plan scapulaire, chez une population de 12 sportifs de haut niveau pratiquant la voile comparée à 12 sujets témoins sédentaires. L'exploration isocinétique des muscles rotateurs à été réalisé sur un CYBEX Norm à la vitesse angulaire de 60, 120 et 300 degrés par seconde. La population des sportifs professionnels qui était âgée entre 24 et 42 ans (33,25 +/- 5,02) a montré des résultats significativement supérieurs sur les pics de force des rotateurs externes et internes par rapport aux sujets sédentaires âgés de 27 à 46 ans (33,16 +/- 6,5). Ces résultats étaient retrouvés quelle que soit la vitesse et l'épaule évaluée. La comparaison des ratios des rotateurs externes sur les rotateurs internes n'a pas montré de différence significative dans les deux populations. Lors du test de fatigue à 300 degrés par seconde, les sujets sportifs développent un travail plus important en ce qui concerne les rotateurs externes et internes aux deux épaules par rapport aux sujets témoins. Une différence significative entre le bras dominant et non dominant a été retrouvée seulement pour la force des rotateurs internes chez les sportifs lors de l'évaluation réalisée à la vitesse angulaire de 120 et 300 degrés par seconde. Chez les sportifs il a été trouvé de nombreux liens entre les différents paramètres de force. Liens qui n'ont pas été retrouvés chez les témoins. La pratique de la voile au niveau international entraîne une amélioration des performances musculaires et de la résistance à la fatigue des rotateurs internes du bras dominant. Ceci présente un intérêt en médecine du sport pour déterminer le profil musculaire des marins aux différents postes du bateau avec des résultats supérieurs chez les utilisateurs du winch ou de la colonne par rapport aux skippers.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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