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    Оцінка якості життя у вікових першовагітних та вагітних з великим інтергенетичним інтервалом

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    Проведено изучение показателей качества жизни у 120 возрастных первобеременных и 240 беременных с большим интергенетическим интервалом с использованием опросника SF-36 Health Status Survey, разработанного The Health Institute, New England Medical Center, Boston, USA. Исследование показало, что пациентки обеих групп имеют низкие показатели качества жизни. При сравнении большинство изучаемых параметров оценки качества жизни в обследованных группах не отличались, однако у пациенток с большим интергенетическим интервалом – достоверно выше оценка социальной роли и энергетичности. Оценка качества жизни у возрастных первобеременных и беременных с большим интергенетическим интервалом является важным сегментом наблюдения во время беременности, который оценивает перспективы развития беременности в психологическом, физическом и социальном аспектах.A study of the life quality of 120 over-age primigravidas and of 240 women with a large intergenetic interval has been carried out using the questionnaire SF-36 Health Status Survey developed by The Health Institute, New England Medical Center, Boston, USA. This research has shown that the patients in the both groups have a low quality of life. The major part of the life quality parameters were the same in the both groups, however, in patients with a large interval between births the values of the social role and the energy level were significantly higher. The life quality of over-age primigravidas and pregnant women with a large interval between successive births is an important sector of observation during pregnancy, which allows assessing the prospects of pregnancy in the psychological, physical, and social aspects

    Combien d’espèces de mollusques y a-t-il dans les océans, et qui va les décrire ?

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    International audienceCurrently 46,000 valid species of Recent marine molluscs are known, which is increasing by a yearly increment of 443 new species, mostly (51.5 %) from the tropical Indo-Pacific. In the last 15 years, the Tropical Deep-Sea Benthos programme has been the single largest source of new species descriptions, and many thousands more species are awaiting description. Seventy-eight percent of the new species are described in journals/books without an Impact Factor. The population of molluscan taxonomists worldwide is on the order of 500 individuals, but 34 authors alone are responsible for 50 % of the new species descriptions; 40 % of the first authors are citizen scientists (“amateur” taxonomists) but they are responsible for 57 % of the new species descriptions. In the last 5 years, 9 % of the new species have been described in a molecular context, a steady increase from 1.5 % in the preceding five-year period. Although the yearly increment of newly described species is on the rise, at the current pace it will take 300 years to name the estimated ~150,000 marine mollusc species awaiting description. With little institutional support from academic institutions and funding agencies for baseline alphataxonomy, the future inventorying of the marine molluscan diversity of the world rests on the massive involvement of citizen scientists.On connait 46.000 espèces valides de mollusques marins actuels, et ce chiffre s’accroit chaque année en moyenne de 443 nouvelles espèces, principalement (51,5 %) en provenance de la région tropicale Indo-Pacifique. Au cours des 15 dernières années, le programme Tropical Deep-Sea Benthos a été la première source de descriptions de nouvelles espèces, et des milliers d’autres attendent d’être décrites. Soixante dix-huit pour cent des espèces nouvelles sont décrites dans des livres ou des périodiques sans facteur d’impact. L’effectif mondial de systématiciens spécialistes des mollusques est de l’ordre de 500 personnes ; cependant, 34 auteurs sont responsables à eux seuls de 50 % des descriptions de nouvelles espèces ; 40 % des premiers auteurs sont des «amateurs», mais ceux-ci ont publié 57 % des descriptions d’espèces nouvelles. Au cours des cinq dernières années, 9 % des descriptions d’espèces nouvelles ont inclus une partie moléculaire, un pourcentage en augmentation sensible par rapport aux 5 ans précédents (1,5 %). Bien que les additions à l’inventaire des mollusques du monde soient en augmentation, il faudra 300 ans au rythme actuel pour nommer les quelque 150.000 espèces de mollusques marins en attente d’une description. Le soutien de base des institutions et sources de financement de la recherche pour la taxonomie étant notoirement inadaptés, l’inventaire de la diversité des faunes malacologiques du monde ne pourra continuer à se faire qu’avec l’implication massive des amateurs

    Bilan scientifiqueLA PLANÈTE REVISITÉE EN CORSE: Volet marin 2019-2021

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    Le projet La Planète Revisitée en Corse est mené par le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), la Collectivité de Corse (CdC) et l’Office français de la biodiversité (OFB), en collaboration avec l’Università di Corsica et le CNRS (Laboratoire Sciences Pour l’Environnement, Laboratoire Stella Mare, Laboratoire Lieux, Identités, eSpaces et Activités), l’Office de l’Environnement de la Corse (OEC), le Conservatoire botanique national de Corse (CBNC), le Parc naturel u Capicorsu et de l’Agriate, l’Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer (Ifremer), l’Office national des Forêts (ONF), le Conservatoire dulittoral, le Parc Naturel Régional de Corse (PNRC) et l’Académie de Corse, avec l’appui de la Communauté de Communes de l’Alta Rocca, l’Institution de gestion sociale des armées La Marana (IGESA), le Centre d’Études Sous-Marine de San Fiurenzu (CESM), le Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement de Bastia (CPIE, U Marinu), le Shom, service hydrographique national, l’infrastructure RECOLNAT, la base aérienne 126 de Vintisari-Sulinzara et la mairie d’Ota

    Bilan scientifiqueLA PLANÈTE REVISITÉE EN CORSE: Volet marin 2019-2021

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    Le projet La Planète Revisitée en Corse est mené par le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), la Collectivité de Corse (CdC) et l’Office français de la biodiversité (OFB), en collaboration avec l’Università di Corsica et le CNRS (Laboratoire Sciences Pour l’Environnement, Laboratoire Stella Mare, Laboratoire Lieux, Identités, eSpaces et Activités), l’Office de l’Environnement de la Corse (OEC), le Conservatoire botanique national de Corse (CBNC), le Parc naturel u Capicorsu et de l’Agriate, l’Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer (Ifremer), l’Office national des Forêts (ONF), le Conservatoire dulittoral, le Parc Naturel Régional de Corse (PNRC) et l’Académie de Corse, avec l’appui de la Communauté de Communes de l’Alta Rocca, l’Institution de gestion sociale des armées La Marana (IGESA), le Centre d’Études Sous-Marine de San Fiurenzu (CESM), le Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement de Bastia (CPIE, U Marinu), le Shom, service hydrographique national, l’infrastructure RECOLNAT, la base aérienne 126 de Vintisari-Sulinzara et la mairie d’Ota

    Bilan scientifiqueLA PLANÈTE REVISITÉE EN CORSE: Volet marin 2019-2021

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    Le projet La Planète Revisitée en Corse est mené par le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), la Collectivité de Corse (CdC) et l’Office français de la biodiversité (OFB), en collaboration avec l’Università di Corsica et le CNRS (Laboratoire Sciences Pour l’Environnement, Laboratoire Stella Mare, Laboratoire Lieux, Identités, eSpaces et Activités), l’Office de l’Environnement de la Corse (OEC), le Conservatoire botanique national de Corse (CBNC), le Parc naturel u Capicorsu et de l’Agriate, l’Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer (Ifremer), l’Office national des Forêts (ONF), le Conservatoire dulittoral, le Parc Naturel Régional de Corse (PNRC) et l’Académie de Corse, avec l’appui de la Communauté de Communes de l’Alta Rocca, l’Institution de gestion sociale des armées La Marana (IGESA), le Centre d’Études Sous-Marine de San Fiurenzu (CESM), le Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement de Bastia (CPIE, U Marinu), le Shom, service hydrographique national, l’infrastructure RECOLNAT, la base aérienne 126 de Vintisari-Sulinzara et la mairie d’Ota

    A New Background Method for Greenhouse Gases Flux Calculation Based in Back-Trajectories Over the Amazon

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    The large amount of carbon stored in trees and soils of the Amazon rain forest is under pressure from land use as well as climate change. Therefore, various efforts to monitor greenhouse gas exchange between the Amazon forest and the atmosphere are now ongoing, including regular vertical profile (surface to 4.5 km) greenhouse gas measurements across the Amazon. These profile measurements can be used to calculate fluxes to and from the rain forest to the atmosphere at large spatial scales by considering the enhancement or depletion relative to the mole fraction of air entering the Amazon basin from the Atlantic, providing an important diagnostic of the state, changes and sensitivities of the forests. Previous studies have estimated greenhouse gas mole fractions of incoming air ('background') as a weighted mean of mole fractions measured at two background sites, Barbados (Northern Hemisphere) and Ascension (Southern hemisphere) in the Tropical Atlantic, where the weights were based on sulphur hexafluoride (SF6) measured locally (in the Amazon vertical profiles) and at the two background sites. However, this method requires the accuracy and precision of SF(6)measurements to be significantly better than 0.1 parts per trillion (picomole mole(-1)), which is near the limit for the best SF(6)measurements and assumes that there are no SF(6)sources in the Amazon basin. We therefore present here an alternative method. Instead of using SF6, we use the geographical position of each air-mass back-trajectory when it intersects the limit connecting these two sites to estimate contributions from Barbados versus Ascension. We furthermore extend the approach to include an observation site further south, Cape Point, South Africa. We evaluate our method using CO(2)vertical profile measurements at a coastal site in Brazil comparing with values obtained using this method where we find a high correlation (r(2)= 0.77). Similarly, we obtain good agreement for CO(2)background when comparing our results with those based on SF6, for the period 2010-2011 when the SF(6)measurements had excellent precision and accuracy. We also found high correspondence between the methods for background values of CO, N2O and CH4. Finally, flux estimates based on our new method agree well with the CO(2)flux estimates for 2010 and 2011 estimated using the SF6-based method. Together, our findings suggest that our trajectory-based method is a robust new way to derive background air concentrations for the purpose of greenhouse gas flux estimation using vertical profile data
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